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"Pour enterrer définitivement l’étude controversée du professeur Gilles-Eric Séralini tendant à démontrer la nocivité potentielle d’un maïs OGM et de l’herbicide Roundup,ses détracteurs ont trouvé un moyen simple : obtenir de la très sérieuse revue Food and Chemical Toxicology (FCT) qui l’a publiée, qu’elle se rétracte et « retire » l’étude de la liste de ses publications."
"Frédéric Jacquemart est docteur en médecine, spécialiste de biologie médicale et docteur es sciences, président fondateur du GIET (Groupe International d'Etudes Transdisciplinaires), copilote de la mission biotechnologies de France Nature Environnement (FNE) et préside Inf'OGM, organe de veille citoyenne et d'information sur les OGM, depuis 2010. Il répond à cette question sur la rigueur et l'honnêteté des études d'évaluations publiques des OGM dans un rapport intitulé « Expertise des OGM, l’évaluation tourne le dos à la science ». Il vient d’être mis en ligne ici par Inf'OGM. "
"L'étude de Gilles-Eric Séralini (université de Caen, Criigen) se trouve, à nouveau, sous le feu roulant des critiques. A la suite de ses homologues européenne, allemande, danoise et néerlandaise, l'agence de sécurité sanitaire française (Anses) a rendu publique, lundi 22 octobre, son opinion scientifique sur les résultats du biologiste français. Et ce, quelques heures à peine après que le Haut Conseil des biotechnologies (HCB) en a fait de même."
"L'organisme de recherche sur les OGM dont le Pr Gilles-Eric Séralini est un membre-clé, le Criigen (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie genétique), a accusé vendredi 26 octobre l'autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) de "mauvaise foi", en réponse à la réaction de l'agence qui avait déploré lundi son refus de lui transmettre ses données brutes.
"Nous déplorons la mauvaise de foi de l'EFSA", écrivent dans un communiqué les membres du Criigen, qui a géré le financement de l'étude controversée du professeur sur le maïs OGM NK603 et le Roundup, publiée en septembre. L'équipe du Pr Séralini demande la publication des données sur la base desquelles l'EFSA a autorisé le NK603 et le Roundup, herbicide du groupe Monsanto le plus utilisé au monde, avant de transmettre ses propres données."
"Dans le même temps, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) et l'Agence Nationale de Sécurité Sanitaire (Anses) ont réfuté les conclusions des travaux du professeur Séralini sur la toxicité d'un maïs OGM de Monsanto."
Ce que je retiens de cette histoire : l'étude du Professeur Séralini est invalidée par la communauté scientifique. Celles de Monsanto, menées sur des périodes plus courtes, avec encore moins de rats restent valides... Cherchez l'erreur.
"L'étude de Gilles-Eric Séralini est de nouveau remise en question. Lundi 22 octobre, le Haut conseil des biotechnologies (HCB) a réfuté les conclusions du biologiste de l'université de Caen sur la toxicité d'un maïs génétiquement modifié, mais il a recommandé une étude "indépendante" de long terme sur ce maïs."
"Les voies des académies scientifiques sont décidément bien mystérieuses. Dans un communiqué de presse [PDF] émis vendredi 19 octobre, les académies de science, médecine, pharmacie et leurs consœurs désavouent les travaux du Professeur Séralini sur le maïs GM NK603 et le Roundup.
Les académiciens annoncent :
« Les données présentées ne peuvent remettre en cause les études ayant conclu à l’innocuité sanitaire [...] des plantes génétiquement modifiées. »"
"Quelques jours après la révélation, le 19 septembre, des conclusions d'une étude choc sur la toxicité d'un OGM, le professeur Gilles-Eric Séralini s'est dit, lundi 24 septembre, "attaqué de manière extrêmement malhonnête par des lobbies, qui se font passer pour la communauté scientifique"."
"Shakespeare l'écrivait : "Les mauvaises nouvelles sont fatales à celui qui les apporte" (Antoine et Cléopâtre). Ainsi les critiques pleuvent-elles sur l'étude publiée par Gilles-Eric Séralini dans Food and Chemical Toxicology."
"L'étude publiée le 19 septembre par le biologiste Gilles-Eric Séralini (Université de Caen) montrerait les effets délétères sur des rats, d’une alimentation à base d’un maïs fabriqué par Monsanto. Mais des experts s'interrogent sur la validité de l'étude étant donné la fragilité des cobayes choisis."
"Une expérience contestée sur deux cents rongeurs de laboratoire affole le gouvernement français. Bruxelles dit s’inquiéter. De quoi, au juste, s’agit-il?"
"Des chercheurs français ont étudié secrètement, pendant deux ans, 200 rats nourris au maïs transgénique. Tumeurs, pathologies lourdes… une hécatombe. Et une bombe pour l'industrie OGM."