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La mise en examen, qui remonte à décembre 2023, a été confirmée jeudi par le parquet général de la Cour de cassation.
Dénonçant le climat social délétère, une centaine de salariés de la FFT ont interpellé leur président, Gilles Moretton, dans une lettre ouverte. En réponse, celui-ci leur annonce la saisine d’un « cabinet externe indépendant ». L’affaire éclabousse Amélie Oudéa-Castéra.
Après plus de trois années à son poste, Christophe Kerrero a annoncé ce vendredi dans une lettre aux personnels de l’académie de Paris qu’il quittait ses fonctions de recteur.
Mercredi, le ministère de l’éducation nationale a suspendu un projet du rectorat visant à fermer plusieurs classes préparatoires à la rentrée 2024 et en ouvrir trois autres à vocation « plus sociale ». « Je quitte aujourd’hui mes fonctions quand notre école est en proie au doute et que la situation exige pourtant une mobilisation de chacun de ses acteurs », écrit Christophe Kerrero dans une lettre au personnel de l’académie.
Christophe Kerrero projetait de réformer en partie le système des classes préparatoires pour y intégrer davantage de mixité, projet suspendu par Amélie Oudéa-Castéra.
Le recteur Christophe Kerrero, qui "ne pouvait pas continuer à porter la carte scolaire après que la ministre Oudéa-Castéra l'a désavoué sans l'en prévenir" selon une source proche du rectorat, a annoncé ce vendredi sa démission. Une décision rarissime.
Quand elle était ministre des sports, Amélie Oudéa-Castéra a fait la promotion d’une école privée hors contrat. Récemment, elle est allée jusqu’à soutenir sa demande de passer sous contrat avec l’État, contre l’avis des services de l’éducation nationale. Nos révélations.
Après avoir prétexté avoir retiré son fils du public à cause d’un « paquet d’heures d’absences non remplacées », la ministre de l’éducation nationale a dû reconnaître qu’il n’y avait passé que six mois en maternelle. Les appels à la démission se multiplient.
Selon nos informations, la ministre des sports a rencontré secrètement l’ex-directrice générale de la Fédération française de football, alors encore en poste, le 9 janvier 2023, en pleine mission de l’inspection générale à la FFF.
La commission d’enquête sur les fédérations sportives met vivement en cause la ministre pour son rôle et son salaire au sein de la fédération de tennis. Elle dénonce en outre une défaillance généralisée de l’État dans le contrôle et la régulation du monde sportif.
Le ministère de l’enseignement supérieur vient de rappeler à l’ordre le lycée Stanislas, dans un courrier que Mediapart s’est procuré, évoquant « un contournement » de Parcoursup. Selon des documents que nous avons consultés, le fils aîné de la ministre de l’éducation nationale, admis en prépa dans cet établissement l’an dernier, a bénéficié de ce système « maison » qui contrevient au principe d’égalité des chances.
Le document, rendu public mardi 23 janvier, détaille les conditions salariales très favorables de l’actuelle ministre de l’éducation et des sports lorsqu’elle était à la tête du tennis français et souligne son peu d’empressement à mettre en place des structures veillant à l’éthique.
Interrogée ce mercredi, la ministre de l’éducation minimise les accusations visant l’établissement de ses enfants et affirme qu’un seul cas d’homophobie est relevé dans le rapport d’inspection. Mediapart publie de nouveaux documents qui prouvent le contraire.
Depuis août, le ministère de l’éducation refuse de rendre publique l’enquête administrative visant l’établissement privé catholique où sont scolarisés les enfants de la ministre. Discours homophobes, sexisme, humiliations… : le rapport demande à Stanislas de se mettre en conformité avec la loi.
«Mediapart» s’est procuré la fameuse enquête administrative, commandée à l’Inspection générale, qui dormait dans un tiroir du bureau du ministre depuis le mois de juillet. De quoi relancer la polémique dans laquelle se retrouve engluée la nouvelle ministre de l’Education, Amélie Oudéa-Castéra, qui a scolarisé ses enfants dans cet établissement.
Amélie Oudéa-Castéra va-t-elle aussi se prendre les pieds dans la FFF ? - France - FFF - SO FOOT.com
La toute nouvelle « superministre » de l’Éducation nationale, des Sports et des Jeux olympiques, Amélie Oudéa-Castéra, se découvre des casseroles tous les jours. Après le scandale du lycée Stanislas, c’est désormais son dépassement de fonctions dans l’épineux dossier de la FFF qui la rattrape.
Une vingtaine de présidents de fédérations (rugby, handball, tennis, basket...) apportent leur soutien à la ministre des Sports, dans la tourmente depuis sa nomination à l'Education nationale.
À Mediapart, Amélie Oudéa-Castéra justifie son choix de scolariser ses enfants dans le très catholique collège-lycée Stanislas en raison « des paquets d’heures pas sérieusement remplacées » dans le public. Nos révélations sur cet établissement ont conduit à un rapport de l’inspection resté confidentiel, dont la ministre affirme qu’il « n’est à l’heure actuelle pas sur son bureau ».
La ministre de l’Éducation Amélie Oudéa-Castéra se trouve au cœur d’une polémique après avoir maladroitement défendu l’inscription de ses enfants dans l’établissement privé Stanislas, à Paris.
La tension ne faiblit pas autour d’Amélie Oudéa-Castéra, qui a reconnu avoir pu « blesser » les enseignants. Interrogée par Mediapart sur son choix de l’établissement privé Stanislas pour ses enfants vendredi, Amélie Oudéa-Castéra a invoqué le « paquet d’heures non remplacées » dans le public. Sur le fond, la ministre ne lâche pas l’institution catholique, pourtant visée par une enquête administrative.