"Lors de son audition par les sénateurs mardi soir, le président du CSA Olivier Schrameck a assuré que le CSA n'avait pas vocation à réguler les contenus amateurs, mais uniquement les contenus audiovisuels professionnels sur Internet. Problème : ils sont souvent sur les mêmes plateformes."

"Officillement il ne s'agira pas de régulation, mais de "corégulation". Le CSA a fait connaître la méthodologie qu'il entendait appliquer pour étendre à Internet le contrôle des contenus qu'il opère à la télévision et à la radio. Les plateformes comme YouTube et Dailymotion seront invitées à signer des chartes, avec en échange l'obtention d'un label qui pourrait valoir laissez-passer sur les logiciels de contrôle parental imposés par les FAI.
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