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La marge de manœuvre des députés sera faible durant l’examen de la « loi olympique » à l’Assemblée nationale.
Une des choses que je redoutais le plus au monde est arrivée : Paris organisera les Jeux Olympiques en 2024. Les opposants à ce projet n’ont pas réussi à faire entendre leur voix, alors que l…
"Mark Shuttleworth, le patron de Canonical, a présenté ses excuses après la mise en demeure d'un site internet critiquant Ubuntu. Le créateur de la distribution Linux assure qu'il s'agissait d'une erreur, d'un "bug" commis par un juriste, comparable à un bug que peut écrire un développeur dans un logiciel réalisé par des centaines de personnes."
"Canonical s’attire de nouveau les foudres de la communauté de l’open source.
Critiqué pour les choix et le modèle de développement adoptés pour la célèbre distribution Linux Ubuntu, Canonical a brandi la carte de ses droits de propriétés intellectuelles pour intimider le détenteur d’un site Web qui fournissait une solution pour remédier à une fonctionnalité polémique du système d’exploitation."
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♥♥♥ 23/08/2013 à 12h42
Droit d’auteur : on ne badine pas avec « I ♥ NY »
Paul Nicoud, avocat, le PI scope
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Everyman Expresso est une chaîne de deux « coffeehouses » de New York aux cafés particulièrement appréciés et récompensés. A sa tête, Sam Penix, un homme passionné de café jusqu’au bout des phalanges – sur lesquelles il s’est fait tatouer « I mug NY », sur le modèle de « I love NY » et remplaçant le cœur par un mug.
Making of
Cet article a été publié originellement sur le blog Le PIscope, que l’auteur, un avocat passionné de droit de la propriété intellectuelle, anime avec Mathieu Guiraud. Ce blog a pour objectif de traiter d’événements d’actualité sous le prisme du droit de la propriété intellectuelle. Pascal Riché
Tout allait bien pour monsieur Penix jusqu’à ce qu’il eut l’outrecuidante idée de faire de sa main un logo pour son coffeehouse.
Bien mal lui en prit, car il ne fallut que peu de temps à l’Etat de New York, propriétaire de la marque « I ♥ NY », pour le rappeler à l’ordre."
"Il est temps que nous arrêtions de donner aux tyrans des marques un blanc-seing sur le sens de nos propres mots. Il est temps que nous les libérions."
"Parmi les droits de « propriété » intellectuelle, le droit des marques n’est pas celui qui soulève habituellement le plus de contestations. Pourtant avec son article « Trademarks : the Good, The Bad and The Ugly », Cory Doctorow tire la sonnette d’alarme à propos d’une dérive inquiétante : le glissement progressif vers une forme d’appropriation des mots du langage. Au rythme où vont les choses, prévient-il, le droit des marques pourrait bien finir littéralement par nous « enlever les mots de la bouche »."