417 liens privés
Tout a commencé par une phrase lue dans un livre ...
"Finalement, des recherches extraordinaires dues à l'association à but non lucratif française Exodus Privacy et à Yale Privacy Lab documentèrent la prolifération exponentielle de logiciels de tracking."
Il y a pile un an, Exodus Privacy publiait son outil d'analyse d'applications Android, en quête de mouchards jusqu'ici invisibles. L'association diffuse aujourd'hui des statistiques et un large lot de données sur les conséquences du RGPD sur ces trackers, six mois après son entrée en application.
L'association loi 1901 Exodus Privacy a.k.a EP a rendu ses travaux publics le 24 novembre 2017. Depuis sa création, EP développe une plateforme d'analyse baptisée εxodus.
L'association Exodus Privacy propose une application Android qui permet de visualiser très facilement toutes les permissions accordées aux applications installées sur un smartphone Android. Elle montre aussi les trackers embarqués dans une application.
Le 14 février 2018, Exodus Privacy a été invitée par la CNIL (Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés) dans ses locaux à se présenter et présenter ses activités.
Quels trackers contiennent vos applications Android habituelles ? C'est à cette question que tente de répondre l'association Exodus Privacy, avec sa plateforme libre Exodus. Via l'analyse des logiciels et de leur trafic, elle révèle les petits secrets de certains grands noms.
Fin août, une poignée d'internautes se retrouvait sur un chat chiffré pour parler de leurs découvertes. Après l'article de Numerama concernant l'entreprise Teemo, ils ont découvert dans les applications populaires des dizaines de mouchards. Cette bande de hackeurs et hackeuses singulière passera les trois mois suivants à créer Exodus Privacy, une plateforme pour la transparence qui espère changer les pratiques.
Des dizaines de sociétés s’insèrent dans des applications banales pour collecter des données, amassant des informations sur des millions de Français.