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Meta a réécrit la section « discours haineux » de ses standards de la communauté, élargissant ainsi considérablement le contenu autorisé sur ses plateformes Facebook, Instagram et Threads. La section réécrite s’appelle désormais « conduite haineuse »1 et supprime la déclaration selon laquelle les discours haineux « créent un environnement intimidant et excluant ». Elle supprime également toute mention de la « violence hors ligne » qui pourrait résulter d’un discours de haine en ligne.
Le président brésilien s’oppose aux géants de la high-tech et des réseaux sociaux. Jair Bolsonaro, qui n’avait que peu goûté de voir certaines de ses publications être « modérées » sur les différentes plateformes, a signé un décret pour rendre ce contrôle plus difficile.
La justice ordonne à Twitter de révéler dans les deux mois, les moyens matériels et humains mis en œuvre pour assurer la modération des contenus haineux en France. Retour sur la décision rendue hier à la demande de plusieurs associations de lutte contre la haine en ligne.
Même si l'exemple de Trump est sans doute le pire possible quand il s'agit de s'interroger sur la toute-puissance des réseaux sociaux face à la liberté d'expression, son éviction de pratiquement toutes les plateformes nous donne l'occasion d'élargir le débat bien au delà de sa très triste personne, et j'essaie dans ce qui suit d'en profiter pour proposer quelques pistes de réflexion.