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"Le secteur du logiciel s’est jusqu’alors développé en imitant le modèle industriel, dominant dans la société qui l’a vu naître. Pourtant, grâce à la puissance des réseaux pair-à-pair distribués, des alternatives sont aujourd’hui possibles, plus efficaces et plus justes."
"Avec des participations dans KissKissBankBank, La Ruche Qui Dit Oui !, A Little Market et Sculpteo, le fonds français Xange s’est spécialisé dans des startups de l’économie collaborative. Rencontre avec Rodolphe Menegaux et Nicolas Debock, deux investisseurs visionnaires et pionniers de l’économie collaborative."
"Célèbre web-série française, Noob se lance dans le long-métrage. L'équipe a lancé un appel aux dons pour atteindre le seuil des 35 000 euros nécessaires pour lancer le projet. En moins de deux semaines, les internautes ont donné plus de 264 000 euros. Désormais, Noob ambitionne de réaliser une trilogie."
""Peu de gens le savent, mais nous payons trois fois notre alimentation", c'est ce que rappelle la Fondation Nicolas Hulot : "une première fois à la caisse quand nous réglons nos achats ; une deuxième fois avec nos impôts puisqu’une partie, environ 110 euros par an, est dédiée au budget européen de la Politique Agricole Commune (PAC) ; et une troisième fois, toujours via nos impôts, pour compenser les effets induits par nos modes de production agricole sur l’environnement et la santé : algues vertes, crise de la vache folle, traitement de l’eau potable, santé des consommateurs et des agriculteurs"... Donc l’avenir de l’agriculture nous concerne donc tous. C’est ce message que la Fondation Nicolas Hulot souhaite faire passer à travers un mouvement intitulé « I Field Good », en français «J’me champs bien »"
"Le caïd Google est en pleine discussion avec PayPal, Visa, MasterCard et d'autres afin de mettre en place des procédures pour couper les vivres des sites qui se financent sur le dos du piratage ou qui sont considérés comme illégaux, car hors de la juridiction des États-Unis. J'en ai des tas qui me viennent en tête, de Mega, à The Pirate Bay, en passant par le futur site d'Antigua et Barbuda..."
Quand des entreprises décident de faire justices elles mêmes, il faut s'attendre à quelques dérapages...
"Dans un article publié par Olivier Tesquet on apprend que Fleur Pellerin, ministre de l’économie numérique se demande si « les fournisseurs de contenus comme Google ne devaient pas participer au financement des infrastructures de l’Internet« . La décision de Free de bloquer les pubs l’ont visiblement fait réfléchir. Il y aurait donc les méchants Google, Facebook et autres Youtube qui profiteraient des tuyaux mis en place par les gentils FAI. Mieux, ils ne payeraient pas d’impôts parce qu »ils « optimiseraient » à mort fiscalement. Méchants ! En France, on n’a pas de pétrole, on a toujours pas non plus de FTTH, mais on a des idées. À revendre. Et des dirigeants qui brillent par la pertinence de leurs réflexions. Le monde entier nous les envie."
"Pendant la campagne électorale états-unienne, l’argent coule à flot. Et les grandes entreprises françaises, y compris publiques, ne sont pas les dernières à distribuer des milliers de dollars aux candidats. Avec un certain penchant pour les républicains les moins fréquentables : néoconservateurs et fondamentalistes chrétiens du tea party, dénégateurs du changement climatique, fanatiques des énergies fossiles et des armes à feu, jusqu’aux xénophobes avérés. Quand les intérêts économiques français se font complices de l’obscurantisme."
"Le financement participatif (crowfunding ou "financement par la foule") est un marché en pleine expansion, expliquait le rapport de Crowdsourcing.org. Les 452 plateformes de financement participatif dénombrées dans le monde en avril 2012 ont récolté 1,1 milliard de dollars de fonds en 2011 pour les projets qu'elles accueillaient - dont plus de la moitié pour des projets hébergés par des plateformes européennes. Comme quoi, le modèle du financement participatif n'est pas un phénomène uniquement lié aux modes de financement anglo-saxons, que l'on dit traditionnellement plus sensibles au mécénat et à la prise de risque que l'Europe. Peut-être parce qu'en fait ce financement participatif fonctionne plutôt de plus en plus comme un système de prévente que comme un système de prise de risque ? "