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"Au 1er juillet 2014, 388 réacteurs (âge moyen : 28,5 ans) fonctionnaient dans 31 pays différents à travers le monde, ce qui correspond à une capacité de production de 333 GW (gigawatts) et à une production de 2 359 Twh (milliards de KWh) en 2013 (The World Nuclear Industry Status Report 2014).
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De nombreux pays ont maintenant passé leur pic nucléaire. A l'échelle mondiale, l'énergie nucléaire ne représente donc qu'une petite partie de l'approvisionnement énergétique global, et tend à diminuer. Ainsi, la part de l'énergie nucléaire dans la production énergétique mondiale est en déclin : elle est passée de 17,6 % en 1996 à 10,8 % en 2013."
"Physicien nucléaire, polytechnicien, Bernard Laponche est formel : la France est dans l'erreur. Avec le nucléaire, elle s'obstine à privilégier une énergie non seulement dangereuse mais obsolète. Alors que d'autres solutions existent, grâce auxquelles les Allemands ont déjà commencé leur transition énergétique."
"Après plus d’un an de négociations sur la construction outre-manche de deux EPR par EDF, les gouvernements français et britanniques viennent enfin de s’accorder sur un prix d’exercice de l’électricité qui en sera produite. Derrière les risques économiques et financiers encourus par les différentes parties prenantes, cet accord rappelle surtout la position pro nucléaire des deux pays désireux de soutenir leur industrie. En faisant fi des leçons de Fukushima, ils entendent peut-être relancer quelques projets en Europe mais ne réussiront pas à faire croire que le nucléaire est une énergie décarbonnée qui a toute sa place dans le mix énergétique de demain."
" Le documentaire "nucléaire, exception française" diffusé sur France 3, vendredi 4 octobre à 23H10, raconte la manière dont le nucléaire s'est imposé.
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L’ancienne ministre de l’environnement, très énergique à l’écran, insiste sur le danger financier (« Épée de Damoclès ») que ferait courir à la France un accident nucléaire dans les années à venir, lâchant le chiffre de « 700 milliards d’euros ». En aparté, elle estime d’ailleurs que cela pourrait être bien davantage. En clair, personne n’aurait les moyens de payer, ni EDF, ni l’État…
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Comme le dit Jacques Repussard - avec une certaine audace, vu son poste de directeur général de l’IRSN (Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire), depuis dix ans il est vrai – « ce n’est pas impossible d’avoir un accident avec l’EPR »."
"Paris, Lyon, le 17 septembre 2013 - À l’approche de la Conférence environnementale, le bilan de la politique énergétique française est affligeant. Au lieu d’agir pour la transition énergétique, et alors même qu’elle prétend réduire la part du nucléaire, la France fait des pieds et des mains pour soutenir l’industrie atomique ! C’est ainsi que, depuis des mois, EDF, Areva et les autorités françaises agissent de concert au niveau européen pour que le nucléaire puisse bénéficier de nouvelles subventions. Le Réseau “Sortir du nucléaire“, les Amis de la Terre, le Réseau Action Climat et Réaction en Chaine Humaine dénoncent ces pratiques de lobbying agressives et opaques sur un sujet qui concerne le futur de l’ensemble des citoyens européens."
" L'Agence internationale de l'énergie atomique s'interroge sur la gestion de la situation à Fukushima par l'autorité de régulation nucléaire japonaise."
"La fuite d’eau contaminée d’un réservoir de stockage était prévisible compte tenu des problèmes d’étanchéité des installations d’entreposage et pose un doute insupportable sur la capacité de Tepco à assurer sa tâche."
"Ayant des attaches en Provence, je suis tombée en amour pour une plante parfumée, multiple, saine, facile à vivre, et donnant du bonheur chaque fois qu'on l'effleure! j'ai nommé la Lavande ! la lavande, simple fleur dont les épis embaument les armoires, les bouquets, les massifs..."
"À la centrale de Fukushima, 300 tonnes d'eau fortement radioactive se sont échappées d'un réservoir de stockage et menacent d'aggraver la pollution de l'océan Pacifique."
"Fukushima : l'association environnementale autrichienne Gobal 2000 avertit d'un péril encore pus grand que le rejet permanent à la mer d'eau hautement radioactive depuis les ruines des réacteurs. Les morceaux de combustibles fondus qui se sont enfoncés dans les fondations en béton des réacteurs seraient une véritable bombe à retardement."
" Dépassés par les évènements, les opérateurs de la centrale nucléaire ravagée ne parviennent plus à contenir l'eau radioactive qui se déverse dans l'océan. Une situation d'urgence selon l'autorité de sureté nucléaire. "
" Dès l'accident Sciences et avenir avait interrogé des scientifiques afin d'évaluer les conséquences environnementales de l'accident survenu en 2011 à Fukushima. Verdict : l’océan aurait le dos large ! "
""Situation d'urgence" à la centrale nucléaire de Fukushima, où de l'eau hautement radioactive se déverse dans l'océan, lundi 6 août, sans que l'opérateur Tepco (Tokyo Electric Power) soit en mesure de la contenir.
Cette eau contaminée, qui a atteint une barrière en sous-sol, est en train de monter vers la surface et dépasse les limites légales d'écoulement radioactif, plus de deux ans après la catastrophe nucléaire, a déclaré Shinji Kinjo, responsable d'un groupe de travail à l'Autorité de régulation nucléaire (NRA)."
"Les nappes phréatiques situées sous la centrale japonaise accidentée de Fukushima montent à un niveau plus élevé qu'une barrière actuellement construite pour les contenir, rapporte samedi le quotidien japonais Asahi. Evoquant une réunion des autorités japonaise de régulation sur le nucléaire, le journal explique que les eaux souterraines contaminées lors de l'accident nucléaire du 11 mars 2011 pourraient remonter à la surface d'ici trois semaines."
"Après les deux intrusions dans les centrales du Bugey et de Civaux, qui étaient venues titiller la campagne présidentielle en mai 2012, c'est maintenant au tour de la centrale du Tricastin, dans la Drôme, d'être visée par des militants anti-nucléaire. Vingt-neuf membres de Greenpeace y ont pénétré, lundi 15 juillet, en une vingtaine de minutes – sans atteindre toutefois les zones les plus sensibles. L'action, qualifiée de purement médiatique par le gouvernement, visait à pointer les failles de sécurité de cette centrale – classée "parmi les cinq plus dangereuses de France" par l'ONG environnementale – et demander sa fermeture. "