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Le rapport 2021 de l’éminente revue « The Lancet » sur la santé et le changement climatique est alarmant : la crise climatique se dégrade, fragilisant toujours plus la santé des populations.
Une nouvelle étude montre que si les températures augmentent de 2°C, alors 24 % à 32 % de la surface terrestre deviendrait de plus en plus sèche.
"La publication du deuxième volet du nouveau rapport du Giec (à lire en cliquant ici), consacré « aux impacts, à l’adaptation et à la vulnérabilité », c’est-à-dire aux effets du dérèglement climatique sur la nature et sur les sociétés humaines, suscite des réactions d’une rare intensité. « À moins d’agir drastiquement et rapidement, la science nous dit que notre climat et notre mode de vie sont littéralement en danger », a déclaré le secrétaire d’État américain John Kerry dans une réaction officielle, ajoutant que « les coûts de l’inaction sont catastrophiques »."
Le Giec (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) a rendu public le 31 mars le deuxième volet de son cinquième rapport sur le changement climatique. Parmi les impacts observés, les inondations, les maladies, les migrations, les risques de conflit, mais aussi les pénuries et l’insécurité alimentaire."
"Sécheresses, inondations, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit : les sociétés ne sont pas suffisamment préparées au changement climatique en cours, ce qui met en péril leur sécurité et leur stabilité, prévient le groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) dans le deuxième volet de son cinquième rapport, publié lundi 31 mars."
"Directeur scientifique environnement de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA), Jean-François Soussana est coauteur du deuxième volet du dernier rapport du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), rendu public lundi 31 mars"
"Montreuil, le 31 Mars 2014 - Le 2evolet du 5e rapport du GIEC sur les « impacts, l’adaptation et la vulnérabilité » aux changements climatiques présenté ce matin par le GIEC à Yokohama au Japon met en évidence les conséquences du changement climatique sur les ressources en eau, l’agriculture et les écosystèmes. Les Amis de la Terre s’alarment de ces bouleversements écologiques et sociaux particulièrement sévères dans les pays du Sud. Les Etats historiquement responsables, dont la France, doivent prendre des mesures pour enrayer le réchauffement du climat et corriger l’injustice climatique."
"Sécheresses, inondations, maladies, migrations, pénuries alimentaires, risques de conflit, etc. : le deuxième volet du cinquième rapport du groupe intergouvernemental d'experts de l'ONU sur l'évolution du climat (GIEC), publié lundi 31 mars, recense les impacts déjà observables du changement climatique."
"Une équipe de chercheurs a mis en évidence que les opérations de fracturation hydraulique en Pennsylvannie pouvaient engendrer des rejets de produits toxiques dans les rvières. "
"Le Groupe d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) vient de pousser à nouveau un cri d'alarme. Son rapport publié vendredi 27 septembre rappelle combien il est urgent d'agir. D'ici la fin du siècle, la température moyenne globale pourrait s'élever de près de 5°C et le niveau des mers de plus d'un mètre ! Ces changements climatiques sont déjà une réalité, au Nord comme au Sud. En 2012, les sécheresses à répétition dans le Sahel ont causé une crise alimentaire sans précédent, touchant 19 millions de personnes. Aux Etats-Unis, l'ouragan Sandy a causé près de 100 milliards de dollars de pertes. Mais malgré les alertes répétées de la communauté scientifique, la plupart des gouvernements, dont le gouvernement français, continuent de repousser l'action à plus tard. A trop tard."
"En 2007, dans son dernier rapport, le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) avait estimé que la hausse moyenne des océans pourrait atteindre 18 à 59 cm en 2100.
Or, dans son nouvel état des lieux de la planète, dont le premier volet sera publié vendredi à Stockholm, l'organe scientifique devrait revoir ces chiffres à la hausse. Il évoquera une montée des eaux pouvant dépasser 80 cm à la fin du siècle, selon une version provisoire du résumé encore susceptible de modifications."
"Deux semaines avant la publication de la première partie du rapport du GIEC sur le changement climatique, douze membres de la nouvellement créée Earth League, la Ligue pour la Terre - une initiative mondiale d'éminents climatologues - enjoignent l'humanité à agir promptement.
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Pour les auteurs, alors que certains disent que l'humanité pourraient causer un réchauffement de 4°C que et la limitation à 2°C est déjà une cause perdue, il y a amplement de preuves que nous pouvons tenir les 2 degrés dont les conséquences seront déjà suffisament catastrophiques."
"Douze événements météorologiques extrêmes de 2012, notamment l'ouragan Sandy, ont été analysés par dix-huit équipes scientifiques, qui concluent qu'environ un événement sur deux est lié au réchauffement anthropogénique."
"En 2012, la moitié des phénomènes météorologiques extrêmes a été provoquée par le réchauffement résultant des émissions de gaz à effet de serre, produites par les activités humaines, selon un rapport effectué par 18 équipes scientifiques."
"Aidés par le réchauffement du climat de la planète et l'intensification des échanges, les insectes nuisibles progressent en direction des pôles au rythme de près de trois kilomètres par an, selon une étude parue dimanche 1er septembre dans la revue Nature Climate Change."
"Les nappes phréatiques situées sous la centrale japonaise accidentée de Fukushima montent à un niveau plus élevé qu'une barrière actuellement construite pour les contenir, rapporte samedi le quotidien japonais Asahi. Evoquant une réunion des autorités japonaise de régulation sur le nucléaire, le journal explique que les eaux souterraines contaminées lors de l'accident nucléaire du 11 mars 2011 pourraient remonter à la surface d'ici trois semaines."
"Vous avez des pommes, des courgettes, des oignons et des carottes sur votre liste pour le prochain saut au supermarché? Perdu, repassez plus tard. Dans une campagne repérée par The Huffington Post, la chaîne de distribution américaine Whole Foods, en partenariat avec l’organisme de protection des animaux The Xerces Society, rappelle à notre bon souvenir que sans les abeilles sur terre, nous n’aurions plus grand-chose à nous mettre sous la dent.
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En Chine on est riche... En main d’œuvre. C’est pourquoi la situation n’inquiète pas franchement. Pourtant, dans certaines régions de l’Empire du Milieu, il n’y a plus une seule abeille qui survit. Du coup, les paysans emploient des petites mains bien patientes pour polliniser les fleurs. A défaut, ils louent des ruches qu’ils posent quelques heures dans leurs champs. Mais on sait déjà que tout cela ne suffira pas."
"Comme souvent, une seule photo peut être plus parlante que de longs rapports. Dans une communication efficace, la chaîne de supermarchés américaine Whole Foods, spécialisée dans le bio et l’équitable, a imaginé à quoi ressembleraient nos étals si les abeilles venaient à s’éteindre. L'un de ses magasins, situé à Providence (Rhode Island), a temporairement enlevé tous les produits venant de plantes pollinisées par des abeilles et autres insectes pollinisateurs. Résultat : 237 des 453 produits proposés à l'accoutumée, soit 52 % des récoltes, ont disparu. Parmi eux : les pommes, oignons, carottes, citrons, brocolis, avocats ou encore concombres. En réalité, un tiers de notre nourriture fruits, – légumes et boissons (café, cacao) – dépend des abeilles, rappelle l'enseigne de distribution."
"Le spécialiste de la sécurité informatique, Bruce Schneier (@Bruce_Schneier), vient de livrer sur son blog un texte très pertinent sur comment l’internet transforme les rapports de pouvoir. Il y explique que la technologie amplifie la puissance non seulement des internautes, mais aussi – et de plus en plus – des pouvoirs en place. "
"Les coûts économiques engendrés par les catastrophes naturelles ont atteint l'an dernier la somme de 138 milliards de dollars (112 milliards d'euros), la moitié des pertes ayant été causée par l'ouragan Sandy et la sécheresse qui ont frappé les Etats-Unis, a indiqué l'ONU, jeudi 14 mars. C'est la troisième année consécutive que ce chiffre dépasse la barre des 100 milliards de dollars, ont relevé les Nations unies en dévoilant à Genève les statistiques pour 2012."