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Gourmande en énergie, en eau et en minerais, l’intelligence artificielle est au cœur de la course aux ressources qui oppose les grandes puissances. D’après l’hebdomadaire allemand “Die Zeit”, son essor pourrait même mener à une lutte pour les terres rares, lancée sur Terre et dans l’espace, au détriment du combat contre le dérèglement climatique.
Une étude publiée dans la revue Nature Climate Change le 7 mai révèle que les 10 % les plus riches de la planète ont un impact carbone deux fois plus important que tout le reste de la population réuni. Le rapport montre que ces personnes sont responsables des deux tiers du réchauffement climatique observé depuis 1990 et de l’augmentation des événements tels que les vagues de chaleur et les sécheresses.
Une étude publiée dans Nature Climate Change révèle que les 10 % les plus riches de la planète sont responsables de deux tiers du réchauffement climatique depuis 1990. En établissant un lien direct entre concentration de richesse et événements climatiques extrêmes, les chercheurs pointent une responsabilité très inégalement partagée et plaident pour des taxes ciblées.
Le discours fataliste de l’adaptation à un monde envahi par les intelligences artificielles est un renoncement aux objectifs émancipateurs du service public de l’éducation. On peut le mettre en parallèle avec le discours de l’adaptation au changement climatique qui fait oublier l’objectif prioritaire : son atténuation.
"Retarder les efforts de la transition augmente les coûts économiques de la transition et provoque un stress financier supplémentaire", explique une coalition de banques centrales.
Records de chaleurs, de pluies, de sécheresses… Dans un rapport, Météo-France décrit le climat d’une France à +4 °C, soit la hausse des températures prévue pour 2100.
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« Les extrêmes seront tellement intenses et fréquents qu’il ne s’agira plus de vivre mais de survivre à de tels bouleversements », a décrit le climatologue et directeur de recherche au CNRS Davide Faranda aux journalistes du Monde.
Le gouvernement de Donald Trump, ouvertement climatosceptique, veut éliminer la branche de recherche de l'Agence américaine d'observation océanique et atmosphérique, la NOAA, une entité jouant un rôle incontournable dans les sciences mondiales du climat, a dénoncé vendredi une élue démocrate.
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Le niveau de vie moyen d’une personne sera réduit de 40 % avec un réchauffement climatique à 4° C d’ici 2100, selon une nouvelle étude, publiée le 31 mars dans la revue Environmental Research Letters. Les recherches précédentes estimaient la perte économique à 11 % en moyenne.
Une des étapes de la Coupe du monde de biathlon s’installe au Grand-Bornand (Haute-Savoie), du 19 au 22 décembre. Problème, la neige n’est pas encore au rendez-vous. Comme en 2022, les organisateurs ont dû utiliser des camions...
Avec une température moyenne de 13,23 °C, « janvier 2025 a dépassé de 1,75 °C le niveau préindustriel », annonce l’observatoire européen Copernicus. Un nouveau record qui bat en brèche l’espoir des scientifiques de voir le phénomène la Niña ralentir le réchauffement de la planète.
L’affaiblissement des courants dans l’Atlantique aura des effets « dévastateurs et irréversibles » sur de nombreux pays. La fonte rapide des glaciers arctiques pourrait précipiter leur effondrement.
Comme chaque année, de nombreux rapports sont publiés avant la COP pour éclairer sur les engagements des États sur le changement climatique. C’est le cas du Emissions Gap Report et son édition 2024 où nous apprenons que dans le cadre des politiques actuelles, il y a deux chances sur trois que le réchauffement climatique mondial reste en-dessous de 3,1°C.
Selon le document, publié à moins d'un mois de la COP29, les politiques de réduction des émissions mises en place par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1°C au cours du siècle.
Selon le nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), les politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre mises en place actuellement entraîneraient un réchauffement «catastrophique» de 3,1 °C au cours du siècle par rapport à l'ère-préindustrielle.
Les émissions liées aux activités humaines ont encore progressé de 1,3 % entre 2022 et 2023, malgré les engagements des Etats, alerte le Programme des Nations Unies pour l’environnement, deux semaines avant la COP29 en Azerbaïdjan.
L’action climatique des Etats doit faire un « bond en avant » dans les prochains mois, sinon l’espoir de maintenir le réchauffement planétaire à moins de 1,5°C « sera bientôt mort », alerte jeudi l’ONU dans un rapport pointant l’absence de progrès significatifs depuis un an.
Selon le nouveau rapport du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE), publié à moins d'un mois de la COP29 en Azerbaïdjan, les politiques de réduction des émissions de gaz à effet de serre mises en œuvre, pour l'heure, par les pays entraîneraient un réchauffement "catastrophique" de 3,1 °C au cours du siècle par rapport à l'ère préindustrielle.
La Méditerranée connaît actuellement une "anomalie" de température révélatrice du changement climatique et aux conséquences potentiellement dangereuses, selon Romaric Cinotti, climatologue-prévisionniste à Météo-France.
A l’heure où une nouvelle Assemblée nationale se forme et qu’un nouveau gouvernement se dessine, Oxfam France publie une étude inédite sur les politiques d’adaptation de la France au changement climatique. Les conclusions sont claires : les pouvoirs publics n’anticipent pas assez les politiques et les investissements nécessaires à l’adaptation et ne protègent à ce jour pas les citoyennes et citoyens face aux conséquences du changement climatique.
De plus en plus chaude, l'eau de la mer s’infiltre et fait fondre la glace en la chauffant par le bas, décrit une nouvelle étude publiée dans la revue Nature Geoscience