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"L'incendie qui s'est déclaré lundi 24 juin à 13 h 15 à la centrale nucléaire du Bugey, dans l'Ain, a provoqué l'arrêt automatique du réacteur no 5, le feu ayant pris sur l'alternateur qui lui est associé. Cet incident se situe hors secteur nucléaire mais, suivant les consignes de sécurité, le réacteur s'est arrêté."
"Outre Fessenheim, doyenne des centrales françaises promise à la fermeture d'ici à la fin 2016 par François Hollande, Greenpeace a inscrit sur sa liste noire des centrales à "fermer en priorité" les sites du Blayais (Gironde), du Bugey (Ain), de Gravelines (Nord) et du Tricastin (Drôme), sur les dix-neuf sites français, en évaluant leur vulnérabilité et les conséquences économiques potentielles d'un accident."
"Des fuites radioactives à moins de 10 km de l'un des plus grands fleuves de l'Ouest américain et personne ne s'émeut ? Pour Tom Carpenter, le directeur de l'association écologiste Hanford Challenge, il ne faut pas s'étonner de la discrétion des médias américains. Les conséquences des fuites ne seront visibles qu'à long terme. "Ce sera un fléau pour les générations futures", prévoit-il.
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Depuis la fermeture de la centrale en 1987, Hanford est devenue emblématique des difficultés de traitement à long terme des déchets nucléaires, à une époque, qui plus est, de réductions budgétaires."
"Décrié pour son lent et systématique empoisonnement des hommes et de la planète, le charbon n'a pas encore rendu son dernier souffle. Pas moins de 1 200 centrales sont en effet en projet dans 59 pays du monde, selon un rapport publié lundi 19 novembre par le World Resources Institute (WRI), un think tank américain spécialisé dans les questions environnementales."
"L'augmentation de la température des eaux et la réduction du débit des fleuves, dans lesquels elles puisent d'importants volumes pour se refroidir, vont ainsi menacer à l'avenir le fonctionnement des centrales nucléaires et au charbon d'Europe et des Etats-Unis, confirme une nouvelle étude publiée lundi dans la revue Nature Climate change et citée par Reuters."
"Le réacteur numéro deux de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) a été mis à l'arrêt automatiquement mardi pendant un exercice, pour des raisons encore indéterminées, a-t-on appris mercredi 9 mai auprès de la direction de la centrale."