417 liens privés
Le géant des réseaux sociaux prévoit de le remplacer par une bibliothèque de contenus qui, selon des chercheurs, n’a pas les mêmes fonctionnalités.
Des scientifiques engagés contre les fake news médicales lancent un appel à l’occasion du procès intenté par Karine Lacombe contre Pierre Barnérias, Martine Wonner et Christian Perronne.
Nous sommes submergés de fausses nouvelles et d’espaces de vérification de ces fausses nouvelles, les rubriques de fact-checking. Comment lutter contre les "fake news" et lesquelles sont les plus toxiques pour les citoyens : celles émanant des États, ou celles des réseaux sociaux ? La journaliste Aude Favre, co-autrice avec Sylvain Louvet du documentaire "Fake news : la machine à fric" dans l'émission Complément d’enquête sur France 2, Tristan Waleckx, qui dirige l'émission, et Cédric Mathiot, responsable de la rubrique CheckNews de Libération, sont nos invités.
Un documentaire sur le business de la désinformation signé Aude Favre et Sylvain Louvet pointe le rôle des plateformes de financement participatif et du marché publicitaire sur Internet. Entreprises, institutions et associations contribuent sans toujours le savoir à la croissance des infox en ligne.
Une agence de communication tente de mener une campagne de déstabilisation anti-Pfizer en France.
Plusieurs youtubeurs et influenceurs ont reçu une proposition de partenariat rémunéré visant à répéter que le taux de décès imputé au vaccin Pfizer «est presque trois fois plus élevé qu’avec AstraZeneca». Derrière, une agence douteuse qui se dit basée au Royaume-Uni et ne souhaite pas dévoiler l’identité de son client.
"80% des Blancs sont tués par des Noirs" aux Etats-Unis, selon Zemmour. C'est cinq fois moins
Accusé de propager la désinformation, Facebook a annoncé vendredi le lancement d'un fil d'actualités dédié au journalisme "de qualité", un projet limité aux Etats-Unis pour l'instant mais salué par plusieurs experts comme un pas important pour...
Le Conseil constitutionnel a validé hier la proposition de loi contre les fausses informations. Il a cependant émis à cette occasion plusieurs réserves interprétatives, qui s’imposeront à l’ensemble des juridictions. Elles rendront surtout plus complexes encore cette arme contre les « infox ». Explications.
Les députés ont adopté le projet de loi contre les fausses informations. Après deux rejets au Sénat, le texte est donc désormais prêt à être diffusé au Journal officiel. Plus de 60 sénateurs de l’Union centriste et du groupe Les Républicains ont cependant saisi le Conseil constitutionnel. Next INpact révèle le contenu de cette saisine.
Aux États-Unis et au Brésil, deux campagnes électorales, des colis piégés artisanaux et une tuerie antisémite ont tragiquement remis sur le devant de la scène la question de la régulation de ce qui s’écrit sur Internet. Alors que la France a toujours en préparation une loi « contre la manipulation de l’information », Mediapart a interrogé Luiz Fernando Marrey Moncau, coordinateur d’un atlas mondial de la législation sur les contenus.
Le scrutin présidentiel brésilien est un exemple inédit de propagation de « fake news » et de propagande politique sur l’application de messagerie appartenant à Facebook.
Au Brésil, à quelques jours du second tour de l’élection présidentielle, le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro dispose toujours dans les sondages d’une confortable avance (57 %), face à son adversaire de gauche Fernando Haddad (43 %). Mais la campagne électorale devient de plus en plus agressive et invasive : Jair Bolsonaro aurait bénéficié du soutien d'entreprises privées qui auraient financé l'envoi de centaines de milliers de messages de propagande, via la messagerie WhatsApp.
Les textes visant à lutter « contre la manipulation de l'information » reviennent devant les députés, avec des échanges houleux en perspective. Explications.
Une vingtaine de jours après l'annonce par Emmanuel Macron d'un projet de loi anti fausses informations en période électorale, l’avenir d'Internet est plutôt sombre. Félix Tréguer, co-fondateur de La Quadrature du Net, nous explique pourquoi.
Panique dans les rédactions ! Suicides collectifs dans les journaux ! Défenestrations de community managers ! Vendredi 12 janvier, Facebook a donné un brusque coup de volant, affolant des professionnels de l’information qu’on imagine déjà en position foetale au milieu de leur open space. Selon le New York Times, la plateforme va modifier son fil d’actualité (le fameux News Feed) pour « prioriser les contenus partagés par la famille et les amis, au détriment des médias et des marques ».
Réparer Facebook ? En 2018, c'est probablement la meilleure idée de Mark Zuckerberg.
Benjamin Griveaux a affirmé sur BFM-TV que « plus de vingt » des trente informations les plus partagées sur les réseaux sociaux pendant la campagne présidentielle étaient fausses. Un chiffre inexact.
Alors que Macron a annoncé une loi contre les "fake news", les exemples étrangers montrent qu'il est parfois possible de prétexter de la lutte contre des "fausses nouvelles" pour mettre au pas la presse. Et donc que ce cadre législatif est à manier avec une extrême précaution. Démonstration avec Erdogan, que Macron reçoit à l'Elysée ce 5 janvier.
Hier soir, Emmanuel Macron a annoncé une future loi contre la propagation de « fausses informations ». Derrière un effet d'annonce assez cynique, il révèle son désintérêt pour un sujet qui mérite pourtant un traitement sérieux. La propagation de « fausses informations » est le symptôme d'une distorsion du débat public provoquée par la surveillance économique des grandes plateformes - dont les partis politiques traditionnels s’accommodent très bien, quand ils n'y ont pas recours.