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Depuis que Donald Trump tend la main à Moscou sur le conflit ukrainien et que son vice-président, J. D. Vance, proclame que la « liberté d’expression » serait menacée en Europe, radio, télés et journaux d’extrême droite soutiennent aussi Vladimir Poutine.
L’hebdomadaire assure que la présidence de la République assume de « faire peur » aux Français. L’Élysée dément.
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« Ils font flipper. Ils ont vrillé et ont franchi toutes les limites cette semaine », observe auprès du HuffPost un conseiller de l’exécutif
À deux mois des élections européennes, l’ONG internationale Avaaz part en campagne contre le parti de Jordan Bardella et Marine Le Pen dont les sulfureux liens internationaux sont inquiétants.
Malgré la guerre en Ukraine, la France continue d’acheter d’énormes quantités d’uranium à l’entreprise d’État Rosatom. Peut-on prétendre soutenir Kyiv tout en versant plusieurs centaines de millions d’euros par an à son ennemi ? Des députés appellent à en finir.
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
Société-écran à Dubaï, filiale à Singapour… Malgré son départ annoncé du pays, le géant français du sport a mis en place un système opaque pour continuer à vendre, en toute discrétion, ses produits en Russie. Révélations sur un contrat secret qui a déjà permis à Decathlon d’empocher au moins 12 millions de dollars, selon des documents internes obtenus par Disclose.
En 2019, le service de renseignement intérieur a recensé « les relais d’influence » utilisés par la Russie dans le cadre des élections européennes. Les quatre seuls politiques français cités sont membres du Rassemblement national, ou l’ont été. Parmi eux, une conseillère franco-russe du RN au Parlement européen.
L’ancien chef de l’État a touché 300 000 euros au moment où il vantait, fin 2018, les mérites de Vladimir Poutine lors d’une soirée à Moscou du principal fonds souverain russe. L’argent a été versé par une société qui porte le même nom qu’une filiale de ce fonds.
Dans l’affaire de son prêt russe, Marine Le Pen prétend avoir signé « avec une banque, pas avec Poutine ». Des mails issus de la boîte du vice-président de la Douma Alexander Babakov démontrent pourtant comment le pouvoir russe s’est impliqué.
Le parti d’extrême droite est à l’origine de la commission d’enquête parlementaire sur les ingérences étrangères dont il est lui-même suspecté. En apparence, une opération de transparence, mais en réalité une manière de blanchir sa réputation. Enquête sur un jeu de dupes.
Alors que le Rassemblement national essaye d’imposer son narratif à propos de la commission d’enquête dédiée aux ingérences étrangères, Mediapart révèle le contenu de son rapport qui fustige l’alignement du parti d’extrême droite sur la Russie de Vladimir Poutine.
La fondation Dossier Center, qui enquête sur les activités du Kremlin, a fourni au magazine "Complément d'enquête" de France 2 des éléments suggérant l'implication de l'eurodéputé RN Philippe Olivier dans un projet d'alliance des extrêmes droites européennes, ce qu'il nie fermement.
En deux mois de guerre contre l’Ukraine, Vladimir Poutine a enregistré quatre défaites majeures : militaire, idéologique, géopolitique, économique. Peu de régimes survivent, dans le moyen terme, à une telle débâcle. Demeure une inconnue : le président russe choisira-t-il de précipiter le continent dans une guerre nucléaire ?
Depuis le début de la guerre en Ukraine, Marine Le Pen assure qu’elle a toujours défendu une ligne « à équidistance » des États-Unis et de la Russie. En réalité, dès son arrivée à la tête du FN en 2011, elle a soutenu le Kremlin et son parti a bénéficié de deux prêts russes.
La Cour suprême russe a annoncé, mardi 28 décembre, la dissolution de l’ONG Memorial, pilier de la lutte contre les répressions. Une nouvelle étape dans l'offensive globale du pouvoir de Vladimir Poutine contre toute voix critique en Russie
La Fédération internationale pour les droits humains publie un document, « Crimes contre l’histoire », qui recense les atteintes systématiques menées ces dernières années par Moscou contre les historiens pour imposer un récit officiel et autolégitimer le pouvoir.
Le texte, qui interdit aux personnes impliquées dans une organisation « extrémiste » d’être élues, est perçu par l’opposition comme un moyen de la neutraliser à l’approche des législatives de septembre.
Une agence de communication tente de mener une campagne de déstabilisation anti-Pfizer en France.
Plusieurs youtubeurs et influenceurs ont reçu une proposition de partenariat rémunéré visant à répéter que le taux de décès imputé au vaccin Pfizer «est presque trois fois plus élevé qu’avec AstraZeneca». Derrière, une agence douteuse qui se dit basée au Royaume-Uni et ne souhaite pas dévoiler l’identité de son client.
Aux États-Unis, le débat fait actuellement rage au sujet des technologies de reconnaissance faciale. Ces dernières sont en effet régulièrement accusées en raison des risques de surveillance de masse ou de discrimination raciale qu’elles comportent. En conséquence, des géants de la Tech comme Amazon, Microsoft et IBM ont décidé d’introduire divers moratoires et demandent au Congrès américain de se saisir du sujet.