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Depuis que Donald Trump tend la main à Moscou sur le conflit ukrainien et que son vice-président, J. D. Vance, proclame que la « liberté d’expression » serait menacée en Europe, radio, télés et journaux d’extrême droite soutiennent aussi Vladimir Poutine.
L’hebdomadaire assure que la présidence de la République assume de « faire peur » aux Français. L’Élysée dément.
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« Ils font flipper. Ils ont vrillé et ont franchi toutes les limites cette semaine », observe auprès du HuffPost un conseiller de l’exécutif
Militants persécutés, normes environnementales piétinées... À l’aube du cinquième mandat de Vladimir Poutine à la tête de la Russie, l’écologie est victime de la guerre en Ukraine lancée par le chef du Kremlin.
L’ancien chef de l’État a touché 300 000 euros au moment où il vantait, fin 2018, les mérites de Vladimir Poutine lors d’une soirée à Moscou du principal fonds souverain russe. L’argent a été versé par une société qui porte le même nom qu’une filiale de ce fonds.
Dans l’affaire de son prêt russe, Marine Le Pen prétend avoir signé « avec une banque, pas avec Poutine ». Des mails issus de la boîte du vice-président de la Douma Alexander Babakov démontrent pourtant comment le pouvoir russe s’est impliqué.
En deux mois de guerre contre l’Ukraine, Vladimir Poutine a enregistré quatre défaites majeures : militaire, idéologique, géopolitique, économique. Peu de régimes survivent, dans le moyen terme, à une telle débâcle. Demeure une inconnue : le président russe choisira-t-il de précipiter le continent dans une guerre nucléaire ?
Depuis le début de la guerre en Ukraine, Marine Le Pen assure qu’elle a toujours défendu une ligne « à équidistance » des États-Unis et de la Russie. En réalité, dès son arrivée à la tête du FN en 2011, elle a soutenu le Kremlin et son parti a bénéficié de deux prêts russes.
La Cour suprême russe a annoncé, mardi 28 décembre, la dissolution de l’ONG Memorial, pilier de la lutte contre les répressions. Une nouvelle étape dans l'offensive globale du pouvoir de Vladimir Poutine contre toute voix critique en Russie
La Fédération internationale pour les droits humains publie un document, « Crimes contre l’histoire », qui recense les atteintes systématiques menées ces dernières années par Moscou contre les historiens pour imposer un récit officiel et autolégitimer le pouvoir.
Le texte, qui interdit aux personnes impliquées dans une organisation « extrémiste » d’être élues, est perçu par l’opposition comme un moyen de la neutraliser à l’approche des législatives de septembre.