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La plateforme de médias sociaux X (ex-Twitter) de l'homme d'affaires Elon Musk semble mourir d'une mort lente et ennuyeuse. Plus d'un an après le rachat tumultueux de Twitter par le milliardaire, la majorité des employés ont été licenciés pour faire des économies à un point où la qualité de la plateforme est remise en cause, elle se heurte à un exode de ses plus gros annonceurs et de certains utilisateurs très suivis, les recettes publicitaires ont chuté de plus de 50 %, etc. De plus, Musk a échoué à réduire la dépendance du réseau social à l'égard de la publicité et à résoudre le problème persistant des bots, il règne un chaos permanent sur le site et la valeur de l'entreprise dégringole.
En un an, le multimilliardaire, patron de Tesla et SpaceX, a transformé une plate-forme perfectible en écosystème complètement imprévisible, toxique et manipulateur.
Sa position dominante acquise, Facebook a pu imposer sa surveillance. L'histoire se répète maintenant avec WhatsApp
Criticism of Facebook has led to international media coverage and significant reporting of its legal troubles and the outsize influence it has on the lives and health of its users and employees, as well on its influence on the way media, specifically news, is reported and distributed. Notable issues include Internet privacy, such as use of a widespread "like" button on third-party websites tracking users, possible indefinite records of user information, automatic facial recognition software, and its role in the workplace, including employer-employee account disclosure. The use of Facebook can have negative psychological effects that include feelings of jealousy and stress, a lack of attention, and social media addiction that in some cases is comparable to drug addiction.
Depuis trois ans, l’exécutif s’attaque aux grandes lois fondatrices, sous couvert de sécurité et de défense des principes républicains. Pour les défenseurs des libertés publiques, « une menace pèse sur l’idée de démocratie elle-même ».
La proposition de loi de «sécurité globale», actuellement discutée à l’Assemblée nationale, vient s’ajouter à d’autres textes, mesures et pratiques dénoncés depuis trois ans par les défenseurs des droits fondamentaux.
Il suffit que les spécialistes du tracking connaissent l’historique de navigation sur 150 sites pour pouvoir savoir assez précisément à qui ils ont affaire. Ce qui n’est pas beaucoup.
Le réseau social Facebook a essuyé un bon nombre de critiques et controverses incluant la vie privée, la sécurité infantile et l'incapacité de supprimer un compte sans préalablement en supprimer le contenu manuellement. En 2008, plusieurs compagnies ont retiré leurs publicités du site car elles étaient dangereusement exposées à plusieurs groupes ou individus[réf. nécessaire]. Les pages d'utilisateurs, groupes et forums ont été critiqués à cause de sujets parfois hautement sensibles. Plusieurs censures ont été imposées dans et en dehors du site[réf. souhaitée].
Il y a dix ans jour pour jour, après une longue bataille parlementaire, la loi instituant la Hadopi était promulguée par Nicolas Sarkozy. Le début d'une longue histoire, parsemée de surprises et d'une bonne dose de LOL...
Total number of Mark apologies without effect: 15 years of it
L’année 2018 sera un grand cru pour Facebook. La plateforme cumule depuis le mois de février des frasques toutes plus scandaleuses les unes que les autres. Même aux portes de 2019, il semblerait que la firme soit encore en train d’essuyer de nouvelles révélations qui pourrait bien ternir son image. Voici un petit florilège des 10 scandales qui ont émaillé l’année de Facebook en 2018.
So we thought it would be helpful to compile an alternative timeline ahead of Zuckerberg’s verbal testimony, highlighting some curious details related to the Cambridge Analytica data misuse scandal — such as why Facebook hired (and apparently still employs) the co-director of the company that built the personality quiz app that “improperly shared” so much Facebook data with the controversial company — as well as detailing some of its other major privacy missteps over the years.
From the moment the Facebook founder entered the public eye in 2003 for creating a Harvard student hot-or-not rating site, he’s been apologizing. So we collected this abbreviated history of his public mea culpas.