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Deux ans jour pour jour après son rachat par Elon Musk, X (ex-Twitter) accumule les pertes financières et les risques judiciaires. Le réseau est cependant une arme redoutable pour l’alt-right américaine.
Elon Musk, propriétaire du réseau social X (anciennement Twitter), a reconnu que ses publications erratiques ont considérablement nui aux résultats financiers de l'entreprise. Les confessions du milliardaire sont intervenues lors d'une déposition humiliante en mars que son avocat a tenté en vain de garder secrète. La déposition révèle à quel point Musk n'a cessé de se saboter lui-même et de saboter le réseau social qu'il a pourtant acquis pour 44 milliards de dollars. Un délire de mégalomane ? Il fait face à un procès en diffamation, mais a défendu lors de son audition la liberté d'expression sur X et a qualifié la plateforme de l'endroit le plus véridique sur Internet.
Elon Musk et Peter Thiel en tête, la droite tech regroupe une galaxie d’individus qui tracent les contours d’un mouvement politique, intellectuel et financier complexe, et extrêmement influent. Premier volet de notre série sur la transformation de la droite américaine.
L’inquiétude de Kiev de voir cet outil crucial être utilisé par la Russie est à la mesure du caractère stratégique du système pour son armée.
Tesla et son PDG Elon Musk ont déclaré qu'ils allaient faire appel de la décision d'annuler sa rémunération de 56 milliards de dollars, une juge du Delaware ayant estimé le mois dernier que cette rémunération était trop lucrative et qu'elle n'était pas dans l'intérêt des investisseurs, après qu'un actionnaire s'y soit opposé.
Du Texas à la Californie, Elon Musk n'a cessé de sillonner une partie des États-Unis à l'aide de l'un ou l'autre de ses jets privés, réussissant l'exploit de réaliser plus d'un voyage par jour en 2023. Le site JetSpy, qui observe et dissèque l'utilisation de ce type d'avion, estime que son bilan est au moins de 441 trajets réalisés cette année.
Elon Musk croit-il aussi aux fées, aux fantômes et aux licornes ? Ça aurait le mérite d’être inoffensif… Invité dans un rassemblement politique d’extrême droite à Rome, le milliardaire a réaffirmé croire au « wokisme », un mouvement militant mondial imaginaire qui planifierait la destruction de la civilisation pour défendre les minorités.
La Commission européenne avait annoncé en octobre l’ouverture d’une procédure préliminaire au sujet de « fausses informations », de « contenus violents et à caractère terroriste » et de « discours de haine » visant le réseau social du milliardaire Elon Musk.
La plateforme de médias sociaux X (ex-Twitter) de l'homme d'affaires Elon Musk semble mourir d'une mort lente et ennuyeuse. Plus d'un an après le rachat tumultueux de Twitter par le milliardaire, la majorité des employés ont été licenciés pour faire des économies à un point où la qualité de la plateforme est remise en cause, elle se heurte à un exode de ses plus gros annonceurs et de certains utilisateurs très suivis, les recettes publicitaires ont chuté de plus de 50 %, etc. De plus, Musk a échoué à réduire la dépendance du réseau social à l'égard de la publicité et à résoudre le problème persistant des bots, il règne un chaos permanent sur le site et la valeur de l'entreprise dégringole.
A un an de la présidentielle américaine, le grand mythe conspirationniste pro-Trump connaît une résurgence. En France, il continue de répandre sa vision paranoïaque du monde.
Interviewé lors d’une conférence par le journaliste Andrew Ross Sorkin, Elon Musk a appelé les annonceurs, comme le CEO de Disney, à « aller se faire foutre ». Un discours étonnant alors que Twitter perd des millions de dollars à cause de son comportement. Elon Musk se dit victime de chantage.
À l’heure où la désinformation sur la guerre entre Israël et le Hamas se propage rapidement sur X (anciennement Twitter), principalement par des utilisateurs X avec le badge bleu, de nombreux chercheurs ont abandonné l’espoir qu’il soit possible de surveiller de près ce type de désinformation sur la plateforme, a indiqué la Coalition pour la recherche technologique indépendante (CITR en anglais). Selon une enquête menée en septembre auprès de 167 chercheurs universitaires et de la société civile à la demande par la CITR, plus de 100 études sur X ont été annulées, suspendues ou centrées sur une autre plateforme depuis qu'Elon Musk a commencé à limiter l'accès des chercheurs aux données X en février dernier.
Depuis l’attaque du Hamas sur le sol israélien, chaque jour donne lieu à un déluge de fake news sur X, nouveau nom de Twitter, noyant les internautes dans les manipulations. Elon Musk, qui célèbre son premier anniversaire à la tête de la plateforme, en porte la responsabilité.
En un an, le multimilliardaire, patron de Tesla et SpaceX, a transformé une plate-forme perfectible en écosystème complètement imprévisible, toxique et manipulateur.
Le patron de X (ex-Twitter) a souhaité que le parti allemand d'extrême droite remporte des élections régionales, début octobre.
Le triste feuilleton du pseudo-combat entre Elon Musk et Mark Zuckerberg pousse timidement la profession à s'interroger : et si on changeait notre manière de couvrir l'actualité du milliardaire ? La réponse est oui, et il faut le considérer comme un activiste de la haine.
Ce fiasco est d’autant plus regrettable qu’une enquête du Time a révélé qu’Elon Musk n’a jamais réellement eu l’intention de construire l’Hyperloop. Le vrai but du dirigeant de Tesla aurait été de faire annuler un projet de TGV en Californie, où les habitants sont nombreux à avoir acheté une de ses fameuses voitures électriques.
Le patron du réseau social a expliqué que des "limites temporaires" de consultations de contenus avaient été mises en place samedi.
Nuancer l’action d’Elon Musk pour lutter contre le changement climatique était encore possible il y a deux ans. Aujourd’hui, il est clairement un ennemi pour la lutte contre le changement climatique.
Tesla est l’un des leaders du marché des voitures électriques, mais aussi l’un des plus controversés. La raison principale de cette controverse réside dans ses systèmes de conduite autonome, notamment Autopilot et Full Self-Driving (FSD). Le choix de ses noms donnent aux conducteurs de Tesla le sentiment que la voiture peut se charger de la conduite, mais ils sont loin d’être fiables et sécurisés.