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Bâtir un avenir sur la base de la technologie mais en assumant qu’il ne soit pas positif pour l’immense majorité des populations : voici ce vers quoi ont basculé les patrons de la tech. C’est en tout cas le constat de Chem Assayag, auteur du blog Néotopia et fidèle lecteur d’Usbek & Rica.
Une enquête publiée récemment révèle que Mark Zuckerberg serait en train de construire un vaste complexe à Hawaï avec des plans pour une trappe d'évacuation, des portes aveugles et un bunker souterrain. Le complexe se situerait à Kauai, la quatrième plus grande île de l'archipel hawaïen, et s'éteindrait sur environ 465 mètres carrés. Le site serait doté d'une alimentation autonome en énergie et en nourriture, d'aménagements somptueux comme des cabanes dans les arbres reliées par des ponts de corde, et d'un système de tunnels reliant deux luxueuses demeures au bunker. Le rapport de l'enquête estime le prix de l'ensemble du projet à plus de 270 millions de dollars.
Le patron de Meta a écrit dans une lettre au personnel que "l'investissement le plus important du groupe" porterait désormais sur l'intelligence artificielle. Exit donc le Metavers comme figure de proue du géant de la tech.
Instagram fête ses 10 ans mardi 6 octobre. Entretien avec Sarah Frier, journaliste américaine spécialiste des réseaux sociaux, qui revient sur les dernières évolutions de l’application, et son intégration dans l’empire Facebook depuis 2012.
Mark Zuckerberg est-il à l’origine des tensions entre Washington et Pékin au sujet de TikTok ? Oui, selon un rapport publié ce dimanche par le Wall Street Journal (WSJ). Le rapport estime que lors de son tête-à-tête avec Donald Trump en automne dernier à la Maison Blanche, Zuckerberg a clairement notifié au président que la vraie menace ne vient pas de Facebook, mais plutôt des entreprises technologiques chinoises dont la croissance et la puissance, commencent à être fortement remarquées. Il aurait dit à Trump que la répression de ces entreprises devrait être plus une priorité que de restreindre Facebook.
En protégeant la parole incendiaire du président américain Donald Trump, le patron du réseau social Facebook, pourtant désavoué publiquement par certains de ses employés, a choisi son camp. Et ce n’est pas celui de la liberté d’expression.
Mark Zuckerberg est-il dangereux ? On y parle de Cambridge Analytica, des dangers que Facebook fait peser sur la démocratie, et on se demande si Mark Zuckerberg n’a pas perdu le contrôle de sa plateforme.
Les cadres de l'entreprise ont volontairement mis fin à un programme montrant comment la plateforme enferme ses utilisateurs dans une chambre d’écho.
À chaque fois que je regarde Mark Zuckerberg parler, je me demande ce que ce type a vraiment dans la tête. Il a toujours un air un peu ahuri, surpris d’être là, avec son dos raide, ses yeux qui ne cillent pas, sa coiffure bizarre d’empereur romain. Et puis, il faut avouer que ce qu’il dit n’est jamais très passionnant.
Alors que Facebook est critiqué de tous les côtés, le type continue d’affirmer que sa plateforme n’a pour but que de connecter les humains entre et que, connecter les humains entre eux, c’est les rendre meilleurs et plus heureux.
Rencontre avec l’activiste indienne Vandana Shiva, dont le dernier livre 1%, reprendre le pouvoir face à la toute puissance des riches (édition Rue de l’Échiquier, 2019) est une charge contre le pouvoir des multinationales, et tout particulièrement des géants du numérique.
Cambridge Analytica, fact-checking des posts de nature politiques et dîners informels avec l’extrême droite… Le patron de Facebook a passé un sale quart d’heure face à l’élue démocrate.
Lors d’une journée à Washington, le patron de Facebook a rencontré Donald Trump et a rejeté l’idée de scinder son entreprise pour répondre aux préoccupations concernant le poids du géant californien.
Facebook a découvert des courriels semblant montrer que Mark Zuckerberg, son directeur général, avait connaissance de pratiques potentiellement problématiques au sein du groupe en matière de respect des données personnelles de ses utilisateurs, rapporte mercredi le Wall Street Journal, citant des sources proches du dossier.
Chris Hughes, l'un des cofondateurs de Facebook a publié une longue tribune ce jeudi 9 mai 2019 pour demander le démantèlement de l'entreprise de Mark Zuckerberg. Le président français Emmanuel Macron reçoit aujourd'hui le PDG de Facebook qui cherche à se placer comme partenaire des États dans la régulation de l'information sur le Net. Explications.
Chris Hughes, qui ne travaille plus pour l’entreprise depuis des années, propose de la scinder en trois : Facebook, Instagram et WhatsApp.
Nous avons perdu la bataille contre les algorithmes en ce qui concerne la vie privée. Il faut aujourd'hui se battre pour limiter leur impact sur nos vies publiques et notre destin collectif.
Réparer Facebook ? En 2018, c'est probablement la meilleure idée de Mark Zuckerberg.
"Deux des figures clés du monde des nouvelles technologies ont pris position, lundi 22 février, dans le conflit qui oppose le FBI américain à Apple sur le déverrouillage d’un téléphone utilisé par l’un des terroristes de l’attentat de San Bernardino. Cet iPhone, en possession des enquêteurs du FBI, est protégé par le chiffrement de bout en bout que les utilisateurs de téléphones Apple peuvent activer – seul son propriétaire, tué lors de l’attaque, connaissait son code de déblocage, que même Apple ne connaît pas. Le FBI a donc demandé à un tribunal fédéral de contraindre l’entreprise à concevoir une version modifiée de son système d’exploitation iOS, qui permettrait de contourner les protections du téléphone pour accéder à son contenu. Apple a annoncé qu’elle contesterait cette demande, estimant qu’elle conduirait nécessairement à des abus."
"Mark Zuckerberg a annoncé mardi un projet pour connecter les pays les plus pauvres à Internet... et surtout attirer de nouveaux utilisateurs Facebook."