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La ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les Femmes et les Hommes était l’invitée de France Inter, de franceinfo et du « Monde » ce dimanche.
Une semaine après le lancement officiel de la commission sur la parentalité, les couacs se multiplient. Six membres ont déjà démissionné, face aux déclarations martiales de la ministre des familles Aurore Bergé. Les deux coprésidents assurent qu’une « indépendance totale » leur a été garantie.
Plusieurs démissions dès la première réunion de la commission parentalité lancée par le gouvernement
Parmi les démissionnaires figurent les sociologues Claude Martin et Irène Théry et la chercheuse au CNRS Agnès Martial, qui ont pris cette décision après avoir découvert par voie de presse que leur travail était présenté par le gouvernement d’abord comme une réponse aux émeutes de juin.
La ministre des Solidarités et des Familles a également annoncé la création d'une commission pour "relever les défis de la parentalité".
Dans une tribune au « Monde », un collectif d’associations féministes s’insurge contre la loi Kasbarian-Bergé, votée le 2 décembre, qui prévoit de criminaliser les squatteurs mais aussi les locataires précaires. Elle appelle au retrait d’un texte dont les femmes seront les premières victimes.
La loi Kasbarian-Bergé, qui criminalise les locataires précaires et les occupant·es de squats, fait de l'accès au logement un « outil répressif » et « facilite l’incrimination des personnes déjà ciblées et fragilisées », selon un collectif de mal logé·es et de squatteur·euses. Pour donner de la force à toutes celles et ceux qui bricolent et galèrent pour se loger, ils et elles invitent à des rassemblements solidaires et demandent le retrait de la loi, ainsi qu'un droit au logement décent, stable et abordable pour toutes et tous.
Ce lundi 18 janvier débute, à l’Assemblée nationale, l’examen en commission de la loi « confortant le respect des principes de la République ». L’analyse de ses quelque 1 700 amendements dévoile la surenchère droitière autour d’un texte fourre-tout.
La députée LREM défend auprès de L'Express la loi "sécurité globale" et pointe un risque de "dépréciation collective" du métier de journaliste.
C’est le 7 octobre en séance publique que les députés donneront au gouvernement le pouvoir de transposer par ordonnances plusieurs directives. Celles notamment sur les services de médias audiovisuels (SMA) et sur le droit d’auteur, en particulier le filtrage consacré à son article 17.