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Dans cet ouvrage, Illich critique la croissance, l'industrialisation généralisée et l’asservissement des hommes aux outils. Il décrit ce que pourrait être une société post-industrielle « conviviale » où cohabitent autolimitation, équité, bien-être, créativité et autonomie.
Celle-ci implique une compréhension des outils qui nous dépassent puis une inversion de notre rapport aux outils.
Illich ne suit pas un raisonnement linéaire. Il critique fortement l’école, la médecine, le système de transport et l’industrie de la construction, entre autres. Il revient sur ces différents exemples à chaque étape de sa démonstration, pour étayer ses propos. Ce résumé s’attache à restituer les grandes idées de son ouvrage. Celui-ci étant très synthétique, je ne peux que vous inviter à le lire en entier !
Elle fait du stop, il se balade à dos d’âne… En interrogeant des résistants de la bagnole et des images d’archives, de pubs ou de films, “Mauvaise conduite” passe aussi à la question l’idéologie sociale de la voiture.
Un documentaire de 30 minutes sur une critique de la bagnole à travers les travaux d'André Gorz et Ivan Illich et les tentatives d'émancipation de mes proches.
Images d'archives, entretiens, portraits et extraits de films composent ce documentaire que j'ai voulu militant. On y parle du travail, des villes, du stop, du covoit, de la vie en fourgon, du voyage à pied, du temps et de la liberté. Un film auto(mobile)-produit sans argent mais avec la conviction qu'il est nécessaire de remettre en cause notre dépendance à la bagnole.
Dès les années 1970, plusieurs sociologues et penseurs se penchent sur « l’idéologie de la bagnole », mettant en garde – bien avant qu’ils ne soient visibles – contre tous des effets pervers d’une généralisation de la voiture et sa centralité dans nos existences. Retour en vidéo sur leur analyse relativement clairvoyante.