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"Une panne d'une pompe du circuit primaire de la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin) a déclenché, mardi 2 juillet, l'arrêt automatique d'un de ses deux réacteurs, mais l'incident est "sans conséquence pour l'environnement ou la sécurité", a assuré EDF."
"Ce ne sont pas des travaux anodins – comme pourrait le laisser penser le sobre communiqué de presse associé – mais bien une étude majeure que publie, mercredi 12 juin dans la revue Environmental Health Perspectives (EHP), une équipe de chercheurs français de l'unité de toxicologie alimentaire de l'Institut national de la recherche agronomique (INRA). Leurs résultats sont susceptibles de contraindre les agences de sécurité sanitaire à revoir leurs évaluations des risques présentés par le bisphénol A (BPA) – cette molécule de synthèse omniprésente et suspectée d'être impliquée dans une grande variété de troubles (cancers du sein et de la prostate, obésité, diabète de type 2, troubles neurocomportementaux, etc.). "
"L'accident de Fukushima a ravivé dans l'opinion française une inquiétude légitime : nos centrales nucléaires sont-elles sûres ? Les avantages de cette énergie ne sont-ils pas annulés par les risques qu'elle comporte ? Dans une tribune publiée le 8 septembre, Jean-Jacques Delfour tranche la question en stigmatisant l'"incompétence des ingénieurs du nucléaire", dépeints comme de "prétentieux ignorants qui prétendent savoir alors qu'ils ne savent pas" et qui "nous exposent sans recours à des risques extrêmes. Ces invectives sont pour nous l'occasion d'essayer de clarifier, à l'encontre des idées reçues, ce qu'est vraiment la démarche de la sûreté nucléaire, ses objectifs, ses résultats et le niveau de risque aujourd'hui encouru."
"Une fuite radioactive a été constatée, mercredi 24 octobre au soir, à l'intérieur du bâtiment d'un réacteur en maintenance, dans la centrale nucléaire de Flamanville (Manche). "La fuite a été confinée dans le bâtiment réacteur tout au long de l'événement", indique l'Autorité de sûreté nucléaire (ASN). "Elle a été arrêtée à 5 heures" jeudi, précise l'ASN, soit six heures après avoir été identifiée par EDF. Jeudi, cet incident était classé provisoirement au niveau 1 sur l'échelle INES (International Nuclear Event Scale). Cette échelle internationale, qui mesure la gravité des accidents nucléaires, va de 0 à 7."
"Jeudi 5 avril, vers midi, deux flaques d’huile prennent feu dans le bâtiment abritant le réacteur numéro 2 de la centrale de Penly (Seine-Maritime). Puis un joint de la pompe du circuit de refroidissement – qui sert à refroidir le cœur du réacteur – se met à fuir."