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Enrayer la chute du réseau social Facebook devient une priorité pour l'entreprise, qui tente de trouver des relais de croissance après le scandale Cambridge Analytica et constatant surtout l'érosion démographique de ses deux milliards d'utilisateurs.
Les utilisateurs s'engagent beaucoup moins sur le plus grand réseau social au monde et la confiance dans l'entreprise s'est effondrée. Une situation que Facebook doit en grande partie à son laisser-faire et à une bonne dose de cynisme.
En tout, 400 applications ont été suspendues depuis le mois de mars, a précisé le réseau social.
Facebook a décidé de noter votre « fiabilité » de 0 à 1 au nom de la lutte contre la désinformation et ses responsables. Le problème, c'est qu'il garde son barème secret.
The Australian reports that Facebook media relations chief Campbell Brown privately disclosed that Mark Zuckerberg is indifferent to publishers and offers the news media a simple choice: "Work with Facebook or die."
Selon une source à l'AFP, le groupe de Mark Zuckerberg souhaitait avoir des informations sur toutes les transactions financières effectuées par carte bancaire et connaître les soldes des comptes courants de clients.
Un journal texan a publié plusieurs extraits de la Déclaration d'indépendance des États-Unis sur Facebook. Le réseau social a identifié l'un de ses posts comme contraire à ses règles de fonctionnement, avant de s'en excuser.
Les niveaux extrêmement élevés des valeurs boursières des grandes entreprises du numérique ne sont pas en rapport avec leurs capacités réelles, mais reflètent un pari des marchés : celui de la construction de monopoles mondiaux que cette valeur même rend possible. Un entretien avec Thierry Philipponnat, directeur de l’Institut Friedland.
On connait désormais quelles sont les différentes sociétés à qui Facebook livrait des informations liées aux utilisateurs de sa plateforme, en d'autres termes, vos données de profil.
La question a été posée à Mark Zuckerberg, mardi soir, par un sénateur américain. Mais le patron de Facebook n'a pas voulu répondre directement. Franceinfo a donc cherché la réponse à sa place.
Le travail de Salim Virani que nous vous invitons à parcourir est remarquable parce qu’il a pris la peine de réunir et classer le très grand nombre de « petites » atteintes de Facebook à notre vie privée. Ce n’est donc pas ici une révélation fracassante mais une patiente mise en série qui constitue une sorte de dossier accablant sur Facebook et ses pratiques avouées ou inavouables. Vous trouverez donc de nombreux liens dans l’article et au bas de l’article, qui sont autant de sources.
Depuis le 30 janvier 2015, une nouvelle politique d’utilisation des données est en vigueur sur Facebook. Les règles sont rassemblées au sein d’une belle page, bien organisée et bien illustrée. Mais derrière cette clarté de façade se cachent des éléments intrusifs dont notre vie privée se serait bien passée. Si le modèle économique de Facebook est basé sur une connaissance approfondie des habitudes des inscrits, et on oublie parfois que Facebook nous espionne même en dehors du réseau social. Et ceux qui ne sont pas inscrits sur le réseau social seront heureux d’apprendre qu’ils sont aussi concernés.
La récente controverse sur l’appétit de Facebook pour les données personnelles a fait ressurgir l’idée que l’industrie de la publicité en ligne pourrait être dangereuse pour notre vie privée et notre bien-être. L’attention portée sur Facebook est justifiée, elle ne reflète cependant pas toute la réalité. Si le souci porte sur le fait que des entreprises collectent des données personnelles à notre insu ou sans notre consentement explicite, Google est une menace bien plus importante par de nombreux aspects: le volume d’informations qu’il recueille, l’ampleur de son suivi et le temps passé sur ses sites et ses applications.
Je m’apprête à quitter Facebook (et Instagram et WhatsApp et Messenger par conséquent) pour continuer à vivre en accord avec mes choix de vie et mes convictions.
L’institut Ponemon a publié des résultats d’un sondage portant sur l’image de Facebook. Les chercheurs constatent que le scandale Cambridge Analytica a provoqué une chute importante de la confiance des utilisateurs.
Après une polémique et plusieurs procédures, Facebook avait désactivé cette fonctionnalité en 2012 pour les utilisateurs européens. Elle est de retour depuis quelques jours.
Selon le centre de recherche Freedom to Tinker, lorsqu'on se « connecte via Facebook » sur un site, des traqueurs de données tiers peuvent utiliser des scripts pour collecter les données de notre profil.
Les données avaient notamment été collectées sur Facebook, LinkedIn et Twitter, sans le consentement des internautes concernés.
Le réseau social va changer ses conditions : ses utilisateurs hors d’Europe et d’Amérique du Nord vont être dépendants du siège global de la firme dans la Silicon Valley.
Rester exposé au RGPD et ses amendes potentielles de 4% du chiffre d'affaires mondial ? Facebook préfère éviter pour ses utilisateurs non européens.