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Meta l’avait annoncé, c’est désormais une réalité : vous pouvez utiliser les réseaux sociaux Facebook et Instagram « gratuitement avec des publicités » personnalisées, ou bien payer pour les utiliser « sans publicité ». Le tarif reste assez élevé (à partir de 9,99 euros par mois) surtout rapporté au revenu mensuel moyen d’un utilisateur européen.
En juillet, l'Autorité norvégienne de protection des données a jugé illégale la surveillance par Meta des utilisateurs de Facebook et d'Instagram à des fins de marketing comportemental, et a donc imposé une interdiction limitée dans le temps de cette pratique en Norvège. Cependant, Meta estime que l'autorité norvégienne de protection des données n'était pas autorisée à le faire et que la décision n'est pas valable. C'est la raison pour laquelle l'Autorité de protection des données a été poursuivie en justice. Meta demande ainsi au tribunal de district d'Oslo d'annuler la décision de l'Agence de protection des données.
"Nous sommes très heureux que le Conseil [européen] de la protection des données soit d'accord avec les évaluations de l'Agence danoise de protection des données et qu'il étende notre interdiction. L'objectif est que les citoyens européens bénéficient d'une meilleure protection de leur vie privée", déclare Line Coll, directrice de l'autorité norvégienne de protection des données.
Le problème n’est pas nouveau. Les lunettes à réalité augmentée de Google, les Google Glass, n’étaient même pas encore disponibles pour le grand public qu’elles avaient déjà soulevé ce débat sur la protection de la vie privée. Un homme avait été mis aux arrêts par le FBI à la demande de la MPAA (Motion Picture Association of America) pour avoir regardé un film équipé de ces dernières. Avec la récente présentation des nouvelles lunettes intelligentes Ray-Ban par Meta le problème revient sur la table. En effet, ce sont des lunettes connectées à 299 dollars équipées de caméras qui peuvent permettre de filmer des individus à leur insu. Pour ou contre l’adoption à large échelle de tels dispositifs ?
Le fédivers (de l’anglais fediverse, mot-valise de « fédération » et « univers ») est un ensemble de médias sociaux composé d’une multitude de plateformes et de logiciels, où les uns communiquent avec les autres grâce à un protocole commun. Mastodon est un des logiciels qui permet de proposer une instance sur le fédivers1. En juin dernier, Meta a annoncé son arrivée sur le fédivers, à travers le lancement d’un concurrent à Twitter, nommé Threads, qui prévoit à terme de pouvoir s’intéropérer avec d’autres instances du fédivers. La Quadrature du Net réclame depuis plusieurs années une obligation d’interopérabilités pour ces grands réseaux sociaux. Alors l’interopérabilité d’un service proposé par Meta est-elle une bonne nouvelle ? Certainement pas.
L’application Threads de Meta sera lancée le 6 juillet aux États-Unis et au Royaume-Uni. En l’état, la CNIL irlandaise a déclaré que l’application ne serait pas disponible au sein de l’Union Européenne.
Threads, c'est le nouveau réseau social mis au point par l'entreprise Meta, propriétaire entre autres de Facebook et Instagram. C'est un nouveau concurrent sérieux pour Twitter, alors que le petit oiseau bleu bat de l'aile depuis plusieurs mois...
Le groupe californien a annoncé pour jeudi le lancement du nouveau réseau social Threads, une occasion pour lui de profiter des déboires de Twitter. Les Français comme l’ensemble des Européens ne pourront toutefois pas y accéder.
Meta’s new Twitter rival wants to suck Instagram users’ data, including health, location, search history and sensitive information, into the new Threads service. Under EU data privacy rules, it faces higher hurdles than in the US or UK, where it is launching on Thursday.
L’entreprise derrière Facebook et Instagram, Meta, s’est vue infliger une amende de 1,2 milliard d’euros pour avoir enfreint les règles européennes sur la protection des données (RGPD).
Pour développer le metavers et l'intelligence artificielle, le géant américain Meta souhaite implanter un nouveau centre de données en Espagne, dans la région de la Castilla-La Mancha. Un projet très gourmand en eau qui pose question dans cette province régulièrement touchée par la sécheresse.
Le groupe Meta travaille à la création d'un réseau social qui se rapprocherait de Twitter en s'inspirant de ce qu'a fait Mastodon.
Le patron de Meta a écrit dans une lettre au personnel que "l'investissement le plus important du groupe" porterait désormais sur l'intelligence artificielle. Exit donc le Metavers comme figure de proue du géant de la tech.
Meta a provisionné 3 milliards d'euros en prévision de trois amendes visant Facebook, WhatsApp et Instagram qui pourraient dépasser 2 milliards d'euros, relève Politico.
noyb complaints: Meta's business model declared illegal in the EU according to WSJ. Facebook, Instagram and WhatsApp can no longer run personalized ads without user consent
Meta risque encore de payer cher sa politique en matière de données personnelles. Trois décisions sont attendues prochainement.
The Big Tech firm looks set to soon face a huge regulatory bill for all three of its social networks, Facebook, WhatsApp and Instagram. Europe's privacy regulator body, the European Data Protection Board, is expected to issue decisions on Monday that target the three platforms, after which Meta's lead regulator in Ireland will issue a final decision within a month.
Selon CyberNews, près de 500 millions de numéros WhatsApp auraient fuité sur le net et seraient en vente sur un site communautaire dédié au piratage. Le média assure qu’il a pu analyser un échantillon de données, pour s'assurer de sa véracité.
Les grands géants de la technologie ont de nouveau des ennuis et cette fois-ci, des plaintes ont été déposées par des membres du Parlement européen.
Selon Politico, les députés européens Paul Tang, René Repasi et Christel Schaldemose se sont plaint à propos de Google, Meta, Amazon et cinq groupes de lobbying auprès du registre de transparence de l’UE. Ces entreprises se seraient cachées derrière des lobbies des PME pendant les discussions sur le Digital Markets Act (DMA) et le Digital Services Act (DSA). Les députés réclament que l’accès aux institutions européennes leur soit interdit.