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Proposer aux utilisateurs de payer pour ne pas être traqué pour de la publicité est-il légal ? Pour la Commission européenne, la réponse est non. Le groupe Meta va devoir effectuer des changements pour éviter une lourde amende liée au DMA.
La maison mère de Facebook et Instagram pourrait écoper d'une amende de plusieurs milliards d'euros, si les conclusions préliminaires de la Commission européenne se confirment.
Le géant des réseaux sociaux prévoit de le remplacer par une bibliothèque de contenus qui, selon des chercheurs, n’a pas les mêmes fonctionnalités.
Aux Etats-Unis, Meta fait l’objet depuis 2020 d’une action collective concernant le partage de certaines données sensibles avec d’autres entreprises, comme Netflix. Des documents rendus publics récemment ont relancé les accusations concernant l’accès donné aux échanges privés.
Dans le cadre d'un procès de publicitaires contre Meta sur son comportement anticoncurrentiel, des emails entre Mark Zuckerberg et ses équipes montrent que l'entreprise a mis en place un système pour espionner le trafic chiffré de Snapchat et ainsi connaître le fonctionnement de l'engagement dans l'application de son rival.
La Commission annonce avoir ouvert des enquêtes sur la non-conformité avec le DMA de Google Play, Google Search, l'App Store d'Apple, l'écran de sélection du navigateur, l'alternative « paiement ou publicité comportementale » de Meta et le site d'Amazon.
WhatsApp va ouvrir prochainement sa messagerie aux services tiers. Meta, la société mère, est obligée de le faire dans le cadre du DMA. Elle affirme travailler sur le sujet depuis près de deux ans. On en sait désormais un peu plus sur la manière dont la connexion va se faire.
Le bureau du procureur général du Nouveau-Mexique a déposé une plainte contre Meta, la société mère de Facebook, alléguant que près de 100 000 enfants sont harcelés sexuellement chaque jour sur ses plateformes. La plainte, basée sur des documents internes et des communications d'employés de Meta, accuse l'entreprise de favoriser la pornographie enfantine et de permettre aux prédateurs de solliciter des mineurs. Les enquêteurs ont créé des comptes-leurres d'enfants qui ont été exposés à des images sexuellement explicites, même sans intérêt exprimé. La plainte affirme que Meta a négligé la sécurité des enfants, nuisant à leur santé mentale et à leur sécurité physique.
Meta rejette les accusations, déclarant que la plainte dénature son travail et soulignant les mesures prises pour protéger les adolescents. Cette affaire s'ajoute à d'autres poursuites à l'encontre de Meta, soulignant les préoccupations croissantes concernant la sécurité des enfants sur les réseaux sociaux. La société a annoncé des mesures supplémentaires pour protéger les adolescents, mais les critiques persistent quant à l'efficacité de ses systèmes de modération de contenu.
Une censure « systémique » des contenus propalestiniens est à l’œuvre sur les réseaux sociaux du groupe Meta, dénoncent Human Rights Watch et plusieurs ONG. Rima Hassan en a fait les frais cette semaine.
Meta est poursuivi en justice par l’Etat du Nouveau-Mexique, qui l’accuse de ne pas avoir protégé les enfants sur Instagram. Selon des documents, rendus publics mercredi et datant de 2020 et de 2021, chaque jour, 100 000 enfants ont pu y être confrontés à des prédateurs sexuels.
Une étude américaine publiée mercredi estime qu’en moyenne les membres de son échantillon ont été traqués par 2 230 entreprises chacun.
Facebook recently rolled out a new “Link History” setting that creates a special repository of all the links you click on in the Facebook mobile app. You can opt out if you’re proactive, but the company is pushing Link History on users, and the data is used for targeted ads. As lawmakers introduce tech regulations and Apple and Google beef up privacy restrictions, Meta is doubling down and searching for new ways to preserve its data harvesting empire.
Nous ne sommes que le 3 janvier, l’année vient juste de commencer, les remugles d’alcool du réveillon ne se sont pas encore dissipés, remettons donc à plus tard le commentaire désabusé de l’apocalypse qui fait le charme de cette missive hebdomadaire et intéressons-nous plutôt à un sujet léger. J’ai nommé Threads, le clone de Twitter développé par Meta, accessible aux utilisateurs européens depuis le 14 décembre dernier.
Dans cet article, l'auteur explore les possibilités par lesquelles Meta/Facebook/Threads pourrait exploiter le Fediverse. Il ne croit pas trop à un EEE (Embrace/Extend/Extinguish) mais plutôt à un EEE (Embrace/Extend/Exploit).
An unbridgeable divide between ideologies?
This is a translation of the original German blog post from June 22nd: Das Fediverse, Meta und das Toleranzparadoxon
If you’re thinking about not joining the fediverse, because Facebook’s Meta is planning to join the free network anyway, you might be disappointed. Because it probably won’t be quite that simple. The two, perhaps unbridgeable positions are as follows …
Meta and the Metaverse
Meta CEO Mark Zuckerberg announced that the company has started testing showing posts on Mastodon and other ActivityPub services.
Pour s’inscrire au réseau social, qui cherche à concurrencer le site d’Elon Musk, il faut néanmoins obligatoirement détenir un compte sur Instagram.
L’organisation Noyb porte plainte contre Meta auprès de l’autorité autrichienne de protection des données, dans le but d’arrêter son abonnement payant pour désactiver les publicités et le suivi publicitaire. Noyb considère que le RGPD garantit ce choix gratuitement et que Meta n’a pas le droit de le rendre payant.
Depuis le 30 octobre dernier, Meta impose aux internautes de choisir entre publicités ou abonnement payant pour accéder à Facebook ou à Instagram. « Les lois changent dans votre région« , assure la firme de Mark Zuckerberg sans préciser de quelles lois elle parle. « Nous vous proposons donc un nouveau choix concernant la façon dont nous utilisons dont nous utilisons vos informations pour les publicités« . Et la question à 13 euros par mois de tomber : « Voulez-vous vous abonner, ou continuer à utiliser nos produits gratuitement avec des publicités ?« .
Le message des deux réseaux sociaux offrant le choix entre publicité et abonnement, diffusé depuis novembre, a provoqué l’incompréhension. Car loin d’être une nouveauté, la collecte de données personnelles est effective depuis les débuts de ces plates-formes.