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"Dans la série "Ça va vraiment trop loin", Apple s'inquiète ouvertement de l'hygiène de son infrastructure réseau et de ses serveurs. En effet, vous ne le savez peut-être pas, mais contrairement à Google qui possède ses propres data centers, Apple se repose sur des tiers."
"Le 21 mars, le FBI a annoncé qu’il n’aurait peut-être pas besoin d’Apple pour déverrouiller l’iPhone du terroriste présumé de San Bernardino tué par la police le 2 décembre 2015, car une « tierce partie » lui avait proposé une méthode pour réaliser cet exploit. L’identité de ce mystérieux fournisseur est restée secrète, mais il pourrait s’agir d’une société spécialisée dans la découverte et la vente de « zero days » – des vulnérabilités originales, encore inconnues, qui permettent de pirater un logiciel à coup sûr, car il n’existe pas encore de parade."
"Le Département de la Justice a indiqué au tribunal de Riverside qu'une « tierce partie » lui avait proposé une méthode qui permettrait de déverrouiller l'iPhone 5C du tueur de San Bernardino sans avoir à exiger l'aide d'Apple. Il pourrait retirer sa demande d'assistance."
"Nouveau rebondissement dans le bras de fer judiciaire qui oppose le gouvernement américain au géant de l’informatique Apple. Après des semaines de conflit à la suite de l’ordonnance judiciaire imposant à la marque américaine de créer un logiciel pour déverrouiller un de ses téléphones, dans le cadre de l’enquête sur l’attentat terroriste de San Bernardino (Californie), Washington pourrait finalement se passer de l’aide que lui refuse la firme de Cupertino pour décrypter le téléphone en question."
"Tim Cook, le PDG d'Apple, est revenu sur l'affaire judiciaire opposant sa société au FBI, à propos d'un iPhone chiffré qui a été utilisé par un terroriste lors d'une tuerie aux USA."
"L’affrontement judiciaire est suspendu le temps que la police fédérale évalue une solution lui évitant d’avoir recours à l’intervention technique Apple. Le constructeur refuse toujours de développer un iOS facilitant l’accès aux données du téléphone d'un terroriste."
"Selon le New York Times, les ingénieurs d'Apple envisagent de démissionner si la justice leur ordonne de contourner le système de sécurité qu'ils ont conçu pour les iPhone."
"« Les Pères fondateurs [des Etats-Unis, auteurs de Constitution américaine] seraient affligés. » Dans leurs conclusions, déposées ce 15 mars auprès du tribunal qui doit arbitrer, entre Apple et le FBI, une affaire de dossier d’accès aux informations d’un iPhone utilisé par l’un des terroristes de San Bernardino, les avocats de l’entreprise n’ont pas retenu leurs coups face à la demande de la police fédérale."
"L’actuel combat du FBI contre Apple n’est pas le seul concernant le chiffrement. Selon le New York Times, l’agence fédérale est ennuyée par le chiffrement présent dans WhatsApp et pourrait chercher, là encore, à contourner ces difficultés."
"Dans son combat contre Apple, et plus globalement la Silicon Valley, le FBI cherche le moyen d’accéder aux données chiffrées piégées dans un iPhone. Dans un document remis en fin de semaine dernière au tribunal en charge de l'affaire, il a abordé l’idée d’exiger de la firme le code source d’iOS."
"Lors de la conférence SXSW, le président américain Barack Obama est intervenu sur la question du chiffrement aux États-Unis. Il n’a pas souhaité réagir précisément sur l’affaire qui oppose Apple au FBI, mais appelle à trouver un terrain d’entente. Des propos qui ont suscité la colère d’Edward Snowden."
"En visite aux États-Unis, le ministre de l’Intérieur a soutenu le FBI dans son bras de fer contre Apple. Il milite pour la mise en place de procédures pour permettre aux agents d’avoir accès aux contenus chiffrés, via l'intervention du juge."
"« Je suis vraiment très fier d’Apple ». Jimmy Wales, le fondateur de Wikipédia, a affirmé son soutien à l’entreprise de Tim Cook dimanche 13 mars, dans le conflit qui l’oppose depuis plusieurs semaines au FBI sur la question du chiffrement. Lors d’une conférence au festival South by Southwest (SXSW), consacré aux nouvelles technologies, le fondateur d’un des sites les plus visités au monde a expliqué que « même si le FBI finit par gagner, nous devrions nous réjouir qu’Apple se batte sur cette question. La pire chose aurait été qu’une entreprise comme Apple se plie [à la demande du FBI] en toute discrétion. »"
" Le lanceur d’alerte qui avait révélé l’existence du gigantesque système de surveillance du Web mis en place par la NSA américaine, intervient en ce moment par visioconférence au Logan Symposium, à Berlin, deux jours de rencontres et de débats entre activistes, spécialistes de la sécurité informatique et journalistes d’investigation. "
"L’ambiance était jusque là détendue. Barack Obama, invité star du festival South by Southwest (SXSW) d’Austin, consacré aux nouvelles technologies, a enchaîné pendant près d’une heure grandes phrases et petites plaisanteries, comme il sait si bien le faire. Avant que la question qui était dans tous les esprits ce vendredi 11 mars ne soit enfin posée, quelques minutes avant la fin de son intervention : celle du chiffrement des données."
"C'est dans une note de base de page, mais la menace est explicite. Le gouvernement américain prévient qu'il demandera en justice le code source d'iOS et la clé nécessaire pour signer ses propres modifications, si Apple refuse toujours de débloquer les iPhone verrouillés utiles aux enquêtes judiciaires."
"Les autorités fédérales accusent Apple de politiser le débat et de bloquer les enquêtes en refusant d’aider le FBI à déverrouiller un téléphone."
"Apple et le FBI viennent d’échanger une nouvelle passe d’armes. L’agence a fourni au tribunal ses arguments pour attaquer les points soulevés par l’entreprise dans son objection au tribunal. Un document au ton très particulier qui a provoqué chez Apple un certain agacement."
"Dans l’affaire qui oppose Apple et le FBI, chaque camp communique à tour de rôle. Un chef de la police new-yorkaise estimait ainsi que la résistance d’Apple équivalait à aider les criminels. Pour l’entreprise, c’est bien la demande du FBI qui pourrait aboutir à ce résultat."
"Les terroristes du 13 novembre sont parvenus à déjouer la surveillance des agences de renseignement occidentales, et plus spécialement de la National Security Agency (NSA) américaine, a expliqué le patron de cette dernière dans une interview accordée à Yahoo! News mercredi 17 février."