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"Une recherche publiée en juillet montre l'ampleur d'utilisation et la diversité des outils de «tracking» en ligne."
"Les « trolls », ces internautes qui aiment provoquer des polémiques sur les réseaux sociaux et autres espaces ouverts aux commentaires, généralement sous le couvert de l’anonymat, seraient-ils plus déchaînés encore lorsqu’ils agissent à visage découvert ? C’est la conclusion d’une étude publiée par deux sociologues de l’université de Zurich, Lea Staher et Katja Rost, et l’économiste Bruno S. Frey, dans la revue PLoS One."
"Les récents articles de Reflets et Mediapart n’ont pas laissé insensible le sénateur André Gattolin. L'élu écologiste vient d'interroger le ministre de l’Intérieur sur l’existence d’un programme de surveillance visant l’ADSL dès 2009."
"Bien avant les révélations d'Edward Snowden, la France avait mis en place un dispositif de surveillance automatisé de son réseau internet via l'installation de sondes sur l'ensemble du réseau ADSL. Ce programme, baptisé « IOL » pour Interceptions obligatoires légales, permettait de collecter « en temps réel »les métadonnées, pratique non autorisée à l'époque."
"Lorsque les enquêteurs se sont penchés sur les activités de Qosmos dans le cadre de poursuites pour une éventuelle complicité de torture en Syrie, ils se sont vus opposer le secret-défense pour quatre « clients » de l’entreprise. Ceux-ci disposaient de codes : KAIROS, CHARLIE, IOL et DELTA. Le Monde a levé le voile sur le projet KAIROS. Selon le quotidien, il s’agit de la DGSE. Restent trois autres clients mystérieux. Le voile se lève doucement sur IOL.
Selon des documents que Mediapart (lire leur article ici) et Reflets ont pu consulter et les personnes qui ont accepté d’évoquer IOL, il s’agit d’un projet d’interception « légale » chez tous les grands opérateurs, soit à peu près 99% du trafic résidentiel. Ce projet a été imaginé en 2005. Le cahier des charges terminé en 2006 et le pilote lancé en 2007. La généralisation à tous les grands opérateurs s’est déroulée en 2009. Dans le cadre de IOL, des « boites noires » avant l’heure étaient installées sur les réseaux des opérateurs, mais ceux-ci n’y avaient pas accès. Il s’agissait d’écoutes administratives commandées par le Premier ministre et dont le résultat atterrissait au GIC."
"Adblock ou rien ? Les sites de presse ont commencé lundi une opération concertée d’une semaine contre les bloqueurs de pub en général, et Adblock Plus en particulier. En face, certains internautes commencent à réfléchir à des alternatives au bloqueur de pub, déjà controversé en raison d’un mode de financement opaque, pour riposter. Mais existe-t-il d'autres manières de bloquer la publicité, aussi simples d’utilisation que la très populaire Adblock Plus ? @si a essayé quatre autres solutions, avec plus ou moins de succès."
"C’est bien gentil, mais à votre avis pourquoi les utilisateurs utilisent un bloqueur de publicité ? Parce que la publicité et l’espionnage des visiteurs sont devenus déraisonnables et ont rendu l’expérience web poussive et du coup fortement désagréable."
"La campagne anti-bloqueurs de pub lancée lundi par de nombreux grands éditeurs de sites français est contre-productive et se trompe de cible."
"C'était annoncé, c'est désormais mis en place : le GESTE et ses membres ont lancé leur action coordonnée visant à informer, et parfois à bloquer, les visiteurs qui utilisent un bloqueur de publicité."
"Un amendement adopté ce jeudi soir par les députés vise à renforcer la responsabilité des plateformes en ligne en matière de contenus illicites, en les poussant à être plus «proactives»."
"La bourse ou la pub. 90% des éditeurs de presse en ligne suédois (une vingtaine d’entreprises) se sont mis d’accord pour empêcher l’accès à leurs contenus aux internautes qui utilisent un bloqueur de pub (comme Adblock Plus) pendant le mois d’août 2016, rapporte le site Digiday. Les 30% de Suédois qui ont recours à ces logiciels se verront proposer deux choix : désactiver leur bloqueur de pub ou payer une petite somme pour accéder au contenu. S’ils ne souhaitent faire ni l’un ni l’autre, ils ne pourront accéder qu’à des articles tronqués ou des vidéos à la qualité fortement dégradée."
"L'ONG Freedom House fondée en 1941 note que la France est le pays, avec la Libye et l'Ukraine, où le respect par l'État des libertés sur internet s'est le plus dégradé depuis un an. La situation reste globalement bonne, mais la pente est mauvaise."
"Avec la Quadrature du Net, une association qu'il a cofondé, Félix Tréguer milite pour une régulation d'internet respectueuse des libertés individuelles. Interview."
"Alors que les études sur le marché de la publicité et l'utilisation des bloqueurs ne cessent de se multiplier, on voit encore assez mal les solutions concrètes que chacun cherche à apporter. Si les instituts de sondage s'en mêlent, l'IAB a un rôle à jouer. L'association va-t-elle saisir sa chance ?"
" Considérez cette série comme un petit guide pour rester maître de votre Internet : c’est ici que sont réunies les astuces et les finesses qui vous sont proposées par les spécialistes et les programmeurs de Mozilla. "
"Plus malin sur le Web est une initiative de Mozilla.
Considérez cette série comme un petit guide pour rester maître de votre Internet : c’est ici que sont réunies les astuces et les finesses qui vous sont proposées par les spécialistes et les programmeurs de Mozilla. "
"Alors que le marché de la publicité devient fou, et que chaque jour les sites que vous visitez récoltent et diffusent vos données, nous avons décidé de passer à l'action. Nous allons ainsi mettre en place de nombreuses nouveautés, mais aussi proposer aux éditeurs de suivre nos engagements."
Samsung mise à son tour sur le blocage de la publicité, l'IAB France prépare une étude - Next INpact
"Samsung est en train de diffuser une nouvelle version de son navigateur Android permettant d'activer des bloqueurs de contenus. Une évolution pensée en partenariat avec un outil de blocage de la publicité. Pendant ce temps, l'IAB France annonce une étude sur les attentes des internautes."
"Invité de la matinale de France Inter, mercredi 26 août, le ministre de l’intérieur l’a réaffirmé : « 90 % de ceux qui basculent dans le terrorisme le font sur Internet ». C’est loin d’être la première fois que Bernard Cazeneuve utilise ce chiffre.
Comme le rappelle le site NextInpact, le ministre s’est appuyé une bonne douzaine de fois sur cette statistique, principalement pour défendre des mesures de la controversée loi sur le renseignement, adoptée en juin."
"Notre espace en ligne est de plus en plus pollué. Par la publicité, les trackers en tous genres et autres pratiques détestables. Si la gratuité d'accès des sites est intéressante pour l'internaute, elle doit répondre à un autre contrat... et chacun doit agir."