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Un collectif de huit chercheurs, ingénieurs et experts de l’aéronautique et de l’environnement appelle, dans une tribune au « Monde », à dépasser les clivages pour s’entendre sur des solutions concrètes de décarbonation de la filière, y compris la sobriété.
La campagne de signatures pour obtenir un référendum sur la privatisation des Aéroports de Paris se conclura ce jeudi 12 mars par un échec. Mais selon les informations de Marianne, le gouvernement n’a pas l’intention d’engager la cession d'ADP. Voici pourquoi.
Vient toujours un moment, pour les titulaires de mandats publics, affectant la plus irréprochable neutralité, où il faut sortir du bois, et faire allégeance à celui qui vous a nommé. En termes triviaux, renvoyer l'ascenseur. Dans un mandat, ces occasions ne se présentent pas tous les jours. Elles marquent durablement une carrière. C'est ce genre d'occasion qu'a rencontré Sibyle Veil, présidente de Radio France, en décidant de refuser la diffusion des spots publicitaires des opposants à la privatisation de Aéroports de Paris, décision annoncée hier soir sur France Inter.
Le dispositif de recueil de signatures est lancé depuis le 13 juin. Il faudra le soutien de 4,7 millions de citoyens et citoyennes, soit 10% du corps électoral, pour demander l’organisation en France du premier « référendum d’initiative partagée » (RIP), sur la question de la privatisation du groupe Aéroports de Paris (ADP). Démarche inédite et enjeu d’ampleur. Cette privatisation controversée semble cristalliser les oppositions à la politique gouvernementale. De la transition écologique à la justice sociale, voici cinq arguments de ceux qui se mobilisent pour empêcher la privatisation du groupe aéroportuaire.
Deux compagnies aériennes, dont Air France, testeront une technologie de reconnaissance faciale au sein de l'aéroport d'Orly, afin de fluidifier l'embarquement dans certains vols. L'expérimentation est vouée à durer un an.
Une page permettant de facilement compter le nombre de soutiens à la proposition de loi a été rendue inaccessible mardi.
La perspective d’un référendum sur la privatisation d’Aéroports de Paris constitue un camouflet pour le président de la République. Dès son passage au ministère de l’économie, M. Emmanuel Macron avait tout mis en œuvre pour céder ce joyau de l’État français. Mais son empressement, la faiblesse des arguments financiers comme les réseaux à la manœuvre ont cristallisé les soupçons et coalisé les oppositions.