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Jour de la Terre - Stocker des fichiers sur internet, surfer, regarder des vidéos en streaming, changer de smartphone tous les deux ans : tous nos gestes ont un impact en matière de rejet de gaz à effet de serre. Et donc sur le réchauffement climatique. Mais rien n’est perdu : il est tout à fait possible d’être consommateur de numérique, tout en réduisant son empreinte carbone. Il suffit de suivre une série de gestes simples, qui vont dans le sens de la “Green IT” et de la “sobriété numérique”.
Quelles sont les principales menaces numériques et comment s’en protéger ? Comment fonctionne la surveillance numérique ? Que penser de Signal ? Des mails ? Des smartphones ? Comment gérer ses mots de passes ? Que faire des réseaux sociaux ? Comment utiliser son ordinateur ? Ce guide de survie tente de présenter de manière synthétique des éléments de réponses à toutes ces questions.
Les attaques par rançongiciels connaissent une augmentation sans précédent. Depuis le début de l’année, l’ANSSI a traité 104 attaques par rançongiciels. Face à ce constat l’ANSSI, en partenariat avec la Direction des Affaires criminelles et des grâces (DACG) du ministère de la Justice, publie le guide de sensibilisation Attaques par rançongiciels, tous concernés - Comment les anticiper et réagir en cas d’incident ?. Le Groupe M6, le CHU de Rouen et Fleury Michon, tous trois victimes d’un rançongiciel en 2019, livrent un témoignage éclairant dans ce guide à destination des entreprises et des collectivités.
Des chercheurs français démontrent que les rendements des cultures sont plus élevés quand différentes plantes sont mélangées et qu’elles possèdent un patrimoine génétique diversifié. L’exact contraire de ce que fait l’agriculture depuis 60 ans.
Ce Kit de survie numérique propose des outils pratiques, des conseils et des éléments techniques pour apprendre aux net-citoyens à contourner la censure et sécuriser leurs communications et leurs données. Ce Kit à l’attention des net-citoyens, journalistes et citoyens-journalistes sera dévoilé progressivement, afin de donner à chacun les moyens de résister aux efforts des censeurs, gouvernements ou groupes d’intérêts qui tentent de contrôler l’information et de museler les voix dissidentes.
Le CECIL propose un livret, plus que jamais nécessaire, pour préserver nos libertés face aux dangers de la surveillance en ligne.
Vous avez sûrement déjà remarqué que vous étiez suivi sur Internet, principalement par la publicité.
Mais saviez-vous que, sur Internet, chacun de vos clics et de vos emails étaient analysés afin de dresser un profil de vos opinions et de votre caractère.
Hygiène numérique pour l’administrateur système
Sécurité et vie privée, démystifions les dangers d'internet
Comme chaque année, vous allez très certainement vous retrouver entourés de vos proches ce week-end. Au programme : un bon repas, un peu d'alcool et pas mal de sujets de discussion qu'on préfèrerait éviter. C'est peut-être l'occasion de propager la bonne parole (numérique).
Le chiffrement, s’il n’est pas encore dans tous nos usages — et loin s’en faut, chez la plupart des utilisateurs, est nettement devenu un argument marketing et une priorité pour les entreprises qui distribuent logiciels et services. En effet, le grand public est beaucoup plus sensible désormais à l’argument de la sécurité de la vie privée. Donc les services qui permettent la communication en ligne rivalisent d’annonces pour promettre et garantir une sécurité toujours plus grande et que l’on puisse activer d’un simple clic.
"Alors que le marché de la publicité devient fou, et que chaque jour les sites que vous visitez récoltent et diffusent vos données, nous avons décidé de passer à l'action. Nous allons ainsi mettre en place de nombreuses nouveautés, mais aussi proposer aux éditeurs de suivre nos engagements."
"Le tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône (Rhône) vient de relaxer, ce 15 décembre, le viticulteur Thibault Liger-Belair. Ce dernier était poursuivi en justice pour avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide, ce qu’exigeait un arrêté préfectoral en Saône-et-Loire (notre précédent article). Dans une vidéo extraite du documentaire « Insecticide mon amour », Thibault Liger Belair motivait les raisons l’ayant conduit à désobéir à la loi :"
"Une étude conduite par Google révèle que les priorités en matière de sécurité informatique sont très différentes entre les spécialistes ayant des compétences techniques et le grand public."
"La loi sur le renseignement fait craindre pour la protection de la vie privée. Mais les risques existent déjà, et certains s'en protègent mieux que vous."
"Révolté par les lois liberticides fomentées par le gouvernement, l'espionnage d'un patron paranoïaque ou celui de la NSA ? Horripilé par la curiosité d'un conjoint jaloux ou l'avidité commerciale des géants du Net ? Quelques recettes pour narguer les fouineurs."
"C’est une première : la famille d’un viticulteur décédé d’une maladie causée par les pesticides a décidé de porter plainte contre X, pour « homicide involontaire, omission de porter secours, abstention délictueuse et délit de tromperie ». James Bernard Murat, vigneron du Bordelais, est décédé en 2012 d’un cancer bronchopulmonaire. Le caractère professionnel de sa maladie a été reconnu en 2011 : il a traité ses vignes avec de l’arsénite de sodium, pendant 42 ans."
"Pour avoir refusé de traiter sa vigne avec des insecticides, contrairement aux injonctions préfectorales pour lutter contre une maladie mortelle pour la plante, un vigneron bio de Bourgogne est convoqué devant la justice. Thibault Liger-Belair est viticulteur de nuits-saint-georges et de moulin-à-vent, cette dernière appellation étant à cheval entre le Rhône et la Saône-et-Loire, où la réglementation n'est pas la même."
"Bis repetita. Après « l’affaire Emmanuel Giboulot » – un vigneron poursuivi en justice pour avoir refusé de traiter son vignoble avec un insecticide [1] – un autre vigneron bio, Thibault Liger-Belair, est convoqué au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône (Rhône) le 19 mai prochain. Son délit ? « Refus d’effectuer les mesures de protection des végétaux contre les organismes nuisibles en l’espèce : lutte insecticide contre le vecteur de la flavescence dorée », selon la convocation consultée par Basta !."
"« C’est une victoire de la mobilisation citoyenne ». Ce sont les premiers mots de soulagement lancés par Emmanuel Giboulot à la sortie du palais de justice de Dijon ce 4 décembre. La Cour d’appel vient de prononcer sa relaxe au terme d’une bataille remontant à juin 2013. A l’époque, ce viticulteur bio refuse de se plier à un arrêté préfectoral l’obligeant à épandre un insecticide pour lutter contre une maladie de la vigne, la flavescence dorée (lire l’article de Basta ! ayant révélé l’affaire). Aucun foyer de la maladie n’est à ce moment là identifié dans son département, la Côte d’Or. Mais le vigneron encourt jusqu’à six mois de prison et 30 000 euros d’amende. "