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Deuxième herbicide le plus vendu après le glyphosate en France, le prosulfocarbe se retrouve partout. L’air, l’eau et nos aliments sont contaminés par cette molécule. Son autorisation vient d’être renouvelée, malgré l’absence de données sur les effets chroniques sur la santé humaine.
Prosulfocarbe : des fermes bio doivent détruire leurs cultures contaminées par ce pesticide - Basta!
C’est une molécule chimique interdite en agriculture biologique, mais utilisée en très grande quantité en conventionnel. Le prosulfocarbe, très volatile, contamine les parcelles non traitées. Les agriculteurs bio se retrouvent contraints de détruire leurs cultures sans être indemnisés.
"En Corée du Sud, l’institut national de recherche environnementale procède, annuellement, à des analyses pour détecter la présence de plantes génétiquement modifiées (PGM). Cet institut a publié, en juin 2013, son rapport pour l’année 2012 et constate une augmentation notable de la présence de transgènes interdits à la culture mais autorisés à l’importation en Corée du Sud. 42 échantillons sur 626, prélevés dans 22 municipalités, se sont en effet révélés transgéniques. En 2009, des PGM avaient été détectées dans huit municipalités, dix en 2010, et de même en 2011."
" Un rapport de contamination des nappes phréatiques, une action en justice de citoyens contre des exploitants gaziers et une enquête journalistique pour tout comprendre des accusations portées contre l'exploitation des gaz de schistes.
Couverture du rapport préliminaire de l'EPA sur une contamination possible par l'exploitation des gaz de schistesL'Agence américaine de protection de l'environnement (EPA) a publié, à la fin de l'année 2011, un rapport préliminaire faisant état de la contamination des nappes phréatiques dans la région de Pavillion (Wyoming, Etats-Unis). Le rapport a déclenché une tempête de protestations et de controverses, les producteurs de gaz mettant en cause l'étude. Une autre étude, réalisée sur les mêmes puits par une autre agence fédérale américaine la U.S Geological Survey (l'équivalent de notre Bureau de recherche géologique et minière, BRGM) fait également état de contaminations (septembre 2012). Il faudra attendre 2013 pour que l'EPA publie son rapport final. "