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Alternatives éthiques aux applications et sites privateurs
Je n’aime vraiment pas l’évolution qu’a pris Piriform, et encore plus CCleaner, depuis leur rachat par Avast!, quoique c’était aussi limite un peu avant ce rachat. Et puis de manière générale, je préfère utiliser des logiciels libres, surtout si ces logiciels sont amenés à analyser mon ordinateur.
"Vous installez un logiciel gratuit. Vous cliquez rapidement sur les interminables conditions générales d'utilisation, sans les lire. Peu après, des fenêtres publicitaires polluent votre écran, la page d’accueil de votre navigateur a d’ailleurs été modifiée, etc. Une récente décision du Conseil d’État apporte d'importantes précisions face à ce genre de situation."
"La députée Isabelle Attard a posé il y a quelques mois une question au gouvernement afin d’obtenir les chiffres précis des dépenses ministérielles en matière de logiciels. De chiffres précis nulle trace, mais la réponse du gouvernement éclaire un peu les pratiques déployées. "
"Si vous vous trouviez en Chine, vous ne pourriez pas lire cet article. LeMonde.fr est en effet bloqué par la censure chinoise, et sans outils techniques spécifiques, impossible d'y accéder.
C'est ce type de blocage que Lantern veut rendre obsolète. Ce petit logiciel, lancé sur un ordinateur situé dans un pays qui ne s'adonne pas à la censure, sert de relais aux internautes censurés pour accéder aux sites bloqués dans leurs pays."
"Désormais conscients et informés que nos actions et nos données en ligne sont faciles à espionner et l’enjeu de monétisation en coulisses, il nous restait l’espoir que quelques pans des technologies de sécurité pouvaient encore faire échec à la surveillance de masse et au profilage commercial. Pas facile pour les utilisateurs moyens d’adopter des outils et des pratiques de chiffrement, par exemple, cependant de toutes parts émergent des projets qui proposent de nous aider à y accéder sans peine.
Mais quand les experts en sécurité, quittant un moment leur regard hautain sur le commun des mortels à peine capables de choisir un mot de passe autre que 123AZERTY, avouent qu’ils savent depuis longtemps que tout est corrompu directement ou indirectement, jusqu’aux services soi-disant sécurisés et chiffrés, le constat est un peu accablant parce qu’il nous reste tout à reconstruire…"
"Le dernier graphique de chez Information Is Beautiful compare les «codebases», ou total des lignes de code, des programmes informatiques qui nous entourent; des lignes qui se comptent aisément en dizaines de millions au sein d’un seul logiciel. Davantage que le travail humain fourni, ce graphique nous laisse entrevoir la complexité des rouages invisibles dont sont faites les machines de notre quotidien."
Avec retard toujours...
"Mise à jour : L’amendement n’est pas passé. Il n’a même pas été soutenu devant l’assemblée et n’a donc eu aucun effet sur nos députés. Thierry Noisette a interrogé le président Laurent Séguin, président de l’Aful (Association Francophone des Utilisateurs de Logiciels Libres), sur ZDnet.fr, « Des centaines de gens ont appelé les députés pour soutenir l’amendement, ils savaient que c’était important, et personne n’était là pour le défendre en séance… Soit c’est du réel amateurisme, soit c’est une manœuvre politique ». Sur Google + j’ironisai lors de la rédaction du billet en disant « Passera pas ». Finalement c’est encore pire, il n’a pas été présenté."
Avec retard...
"Déposé par les députés du groupe GDR (PCF et proches), l’amendement obligeant à donner les prix distincts des logiciels intégrés n’a pas été défendu cet après-midi. Colère de l’Aful."
"Un amendement au projet de loi Consommation instaurerait la transparence du coût des logiciels préinstallés lors de la vente des ordinateurs. Une proposition applaudie par trois associations libristes, l'Adullact, l'Aful et Framasoft."
"La Business Software Alliance publie une étude sur les chiffres du piratage en France, et sans surprise, l’on apprend que bons nombre de français piratent leurs logiciels. En effet, l’étude nous apprend que par exemple, 40 % des utilisateurs d’ordinateurs en France ont déjà acquis un logiciel illégalement."
Les chiffres sont sans doutes gonflés, mais bon, tout de même, il serait temps de passer aux logiciels libres ;-)