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Le sujet des fuites d’hydrogène et de l’impact qu’elles pourraient avoir sur le réchauffement climatique, prennent de l’ampleur. Tout d’abord, France Hydrogène soutient l’attention portée à ce sujet émergent : pour l’hydrogène comme pour l’ensemble des leviers de la transition énergétique, une analyse rigoureuse des émissions de gaz à effet de serre sur l’ensemble du cycle de vie, est nécessaire pour maximiser l’impact de décarbonation des solutions déployées. Néanmoins, il nous semble nécessaire de revenir sur quelques chiffres qui ont été relayés (notamment un pouvoir réchauffant supposément 200 fois plus élevé que celui du CO2), tant au niveau de l’impact réchauffant marginal du dihydrogène que des quantités potentielles d’émissions (de fuites) à considérer. Garder en tête les bons ordres de grandeur est impératif pour ne pas retarder la progression d’une filière structurante de décarbonation.
Une étude publiée ce vendredi par le département britannique de l’Economie, de l’Énergie et de la Stratégie industrielle (BEIS) a révélé que l’hydrogène est un gaz à effet de serre deux fois plus puissant qu’on ne le pensait auparavant.
Une étude publiée ce vendredi par le département britannique de l’Economie, de l’Énergie et de la Stratégie industrielle (BEIS) a révélé que l’hydrogène est un gaz à effet de serre deux fois plus puissant qu’on ne le pensait auparavant.