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Adobe is warning some owners of its Creative Cloud software applications that they’re no longer allowed to use older versions of the software. It’s yet another example of how in the modern era, you increasingly don’t actually own the things you’ve spent your hard-earned money on.
L'augmentation des prix continue de partout ! C'est désormais au tour du partenariat entre Adobe et Pantone de voler en éclat pour une formule payante.
Les catalogues de couleurs Pantone ne sont plus en libre accès sur Photoshop, Illustrator et InDesign
Toutes les occasions sont bonnes pour interdire les utilisateurs de continuer à utiliser des applications souvent très chères payées avec les éditeurs dont les priorités peuvent varier à d’un moment à l’autre. C’est comme dire aux utilisateurs : vous l’avez acheté avec votre argent, mais il n’est pas vraiment à vous. Les abonnés Adobe Creative Cloud savent de quoi il s’agit depuis cette semaine, du moins ceux qui ont déjà vérifié leurs boîtes de réception. Tous ceux d’entre eux qui n'avaient pas encore mis à jour leurs applications depuis un certain temps seront obligés de le faire maintenant contre leur gré et sous le coup de la menace. Adobe, la société de logiciels graphiques, a envoyé des courriels à ses clients les avertissant qu'ils risquaient de faire l'objet de réclamations potentielles pour contrefaçon par des tiers s'ils continuaient à utiliser des versions désuètes des applications Creative Cloud.
"La nouvelle politique commerciale d'Adobe va révolutionner les usages, mais tout le monde n'en a pas pris la pleine mesure. Adobe a activé tous ses relais pour désinformer les utilisateurs de ses logiciels. Partout dans le monde, les utilisateurs ont réagi vigoureusement et en nombre au traitement qu'Adobe leur a réservé et à l'aliénation dont ils ne veulent pas devenir les victimes en souscrivant au Creative Cloud.
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En bref : Le Creative Cloud pour les clients européens actuels, c'est la triple peine :
• Un tarif très supérieur à celui de la mise à jour (qui était biennale pour la Creative Suite),
• Une obligation de s'abonner à vie sous peine de se retrouver sans logiciels et de ne plus pouvoir ouvrir ses fichiers,
• Un tarif supérieur de plus de 30% à celui proposé aux clients US"
"Adobe a donc décidé de mettre fin à la progression de la plupart de ses logiciels par version tous les 2 ans ou tous les ans comme cela semblait se profiler. Adobe décide d’en finir avec la vente des boites et la vente des logiciels en ligne et impose la location par l’intermédiaire du créative cloud.
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Inconvénients : Vous êtes captif !! [...] Si Adobe décide d’augmenter ses prix vous êtes obligés de suivre, vous ne pouvez plus rester sur une ancienne version. Et d’ailleurs Adobe avec cette nouvelle formule a doublé ses tarifs !! En effet, avant si vous étiez un utilisateur honnête et que vous renouveliez votre version de Photoshop à chaque mise jour qui avait lieu tous les deux ans cela vous coûtait environ 250€ maintenant en deux ans vous débourserez 590€ !!"
"La nouvelle fut l’effet d’une bombe : la Creative Suite d’Adobe fera bientôt partie de l’histoire ancienne et les futures versions de Photoshop, Illustrator, Premiere, InDesign, Dreamweaver et cie ne seront proposées que dans le cadre d’un abonnement au nuage « Creative Cloud ». Ainsi, la prochaine version de Photoshop ne s’appellera pas CS7, mais CC.
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Après internet et le téléphone portable, le système d’abonnement est en train de devenir le nouveau fléau de notre époque. Il est à espérer que tous les éditeurs ne s’y mettent pas au risque de rendre l’utilisation de l’ordinateur très coûteuse, voire inaccessible au plus grand nombre…"
Une informatique sans abonnement ? Linux bien sûr !!!
"Il ne sera plus possible d'acheter des versions boîtes des outils Creative Suite d'Adobe. Les prochaines versions des Photoshop, Illustrator et autres InDesign ne seront désormais proposées que sur abonnement, dans le cadre de l'offre Creative Cloud d'Adobe."
En gros, à chaque utilisation, le logiciel se connecte au serveur Adobe pour vérifier que vous payez bien votre abonnement. Bon, au passage, il pourrait aussi communiquer vos habitudes d'utilisation, votre fréquence d'ouverture... Et puis quelles autres données ?