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A l’occasion du Paris Open Source Summit, un membre de l’équipe de développement de la ville de Munich est venu (un peu) expliquer, en son nom propre, la situation qui a conduit la mairie à débrancher LiMux pour revenir à Windows.
Introduite au Sénat le 8 décembre, l’obligation de publier le « code source » de tout projet de loi de finances aura tenu une semaine. Suivant le gouvernement, les députés ont fait disparaître ces dispositions censées permettre une meilleure visualisation des réformes fiscales proposées par l’exécutif.
Il y a quelques jours, de nouvelles révélations sur l’évasion fiscale ont eu lieu. Le consortium européen des journalistes d’investigation a, en effet, publié les résultats d’une enquête de longue…
Adopté lundi soir à l’Assemblée, cet amendement prévoit le remboursement de 339 millions d’euros de la dette de la société Ecomouv’ chargée de collecter la taxe, avant son abandon en 2014.
Le gouvernement vient de déposer un amendement visant à faire disparaître l’obligation, introduite la semaine dernière par le Sénat, de publier pour chaque projet de loi de finances le « code source » traduisant les réformes fiscales proposées par l'exécutif. Certains députés défendront une version de compromis.
La loi pour une République numérique adoptée l’année dernière nous réserve encore quelques surprises, plus d’un an après son entrée en vigueur. On en a eu une confirmation cette lors du Paris Open Source Summit 2017 pendant une session consacrée à la thématique « Administration publique ». Cette table-ronde était intitulée « Open Data / Open Source / Open Gov : ouvrir les données, les codes sources… et les administrations ? » et la première prise de parole a été assurée par Perica Sucevic, le juriste de la mission Etalab, qui a fait un résumé des principales conséquences de la loi République numérique.
Le rêve open source de la ville de Munich est mort. La municipalité a voté le projet de migration du parc de PC vers Windows 10 et Office. Elle dépensera ainsi 49,3 millions d'euros pour revenir au tout-Windows.
Une étude, publiée ce 14 novembre, estime le coût des cancers professionnels en Europe. « La facture est très lourde : entre 270 et 610 milliards (...)
Plus d'une décennie après son très remarqué passage au logiciel libre, la capitale de la Bavière est tout près de revenir à Microsoft. Un dernier vote, en principe acquis, a lieu le 23 novembre.
La loi de moralisation va bientôt priver les députés de leur indemnité représentative de frais de mandat (IRFM). Mais qu’ils se consolent : comme le montre un document que s'est procuré Marianne, les questeurs de l’Assemblée nationale proposent de rembourser grassement leurs menues dépenses !
L’enquête sur les sondages de l’Elysée privilégie des aspects formels, aux dépens d’éléments plus politiques qui pourraient nuire à l’ancien président de la République.
Au Sénat, une élue propose une résolution pour mettre en place une commission d’enquête sur les contrats passés entre Microsoft et le ministère des Armées.
La sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam (LR) a demandé mercredi la création d’une commission d’enquête parlementaire pour faire la lumière «sur les liens» entre le géant américain Microsoft et le ministère des Armées à la suite du renouvellement d’un accord d’exclusivité entre ces deux parties.
Quelques jours après la confirmation du renouvellement du contrat « Open Bar » Microsoft/Défense pour encore quatre années, la sénatrice Joëlle Garriaud-Maylam a déposé le lundi 16 octobre 2017 une « proposition de résolution relative à la création d'une commission d'enquête sur les contrats cadres passés entre le ministère de la Défense et Microsoft ». Depuis le 24 octobre 2016, prenant acte des révélations de l'émission Cash Investigation, l'April appelle à la création de cette commission. L'association de défense du logiciel libre salue donc la proposition salutaire de la parlementaire et appelle l'ensemble de ses collègues à la soutenir.
On connaissait déjà les conflits d’intérêts au cœur de l’équipe de candidature, les « primes de succès » et le coût astronomique du voyage de Lima. Voici maintenant les salaires délirants, les notes de frais douteuses et l’organisation défaillante de Paris 2024.
Second volet de notre enquête sur le prix des médicaments, avec l'exemple du Sovaldi. Cet antiviral agissant contre l'hépatite C, présenté comme (...)
Quels sont les médicaments les plus coûteux pour l'assurance maladie ? Basta ! a compilé les données de l'année 2016 et établi un classement des (...)
Dans un courrier daté du 4 septembre 2017, la DGSIC (Direction Générale des Systèmes d'Information et de Communication) nous a informés qu'elle répondait favorablement à notre demande de communication du troisième contrat Open Bar/Microsoft souscrit par le ministère des Armées. Les documents reçus, malgré le caviardage, nous confirment que l’administration est déterminée à s'enfermer toujours davantage dans le silo technologique privateur de Microsoft en dépit des nombreuses critiques émises. Illustration, s'il en était encore besoin, de la nécessité d'une priorité au logiciel libre dans les administrations publiques.
La municipalité va changer son service de boîte mail…
Alors qu’elle est soupçonnée de détournements de fonds publics, la droite sénatoriale fait tout pour étouffer le scandale. Mais pour la première fois, un homme parle. Jusqu’en 2014, Michel Talgorn, collaborateur du groupe UMP, a distribué des chèques en pagaille. Il raconte en exclusivité à Mediapart.