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Les élus, qui devront ratifier le texte, réclament plus de transparence sur l’accord de libre-échange entre l’UE et le Canada. Le gouvernement doit présenter un plan d’action pour prendre en compte les recommandations du comité d’experts le 25 octobre.
« Ceta : Ne signez pas un chèque en blanc aux multinationales ! » C'est l'intitulé de la banderole déployée ce matin, 20 septembre, devant le Sénat, par (...)
CETA : une cinquantaine d’organisations interpellent Macron pour suspendre l’application du traité
L’accord commercial entre l’Europe et le Canada entre provisoirement en vigueur le 21 septembre.
Le traité de libre-échange entre le Canada et l'Union européenne (Ceta) pourrait avoir un impact 'légèrement défavorable' sur l'environnement. De quoi mettre un terme aux négociations ?
"C’est un moment important pour la démocratie : malgré les pressions et les coups bas, le Parlement wallon a rejeté l’ultimatum européen et refusé d’accepter l’accord entre l’Union européenne et le Canada en l’état. La Belgique n’est donc pas en mesure de signer le CETA, dont l’avenir est incertain. C’est une victoire importante pour la société civile qui se mobilise contre cet accord depuis des années.
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Ils révèlent également au grand jour les pratiques douteuses de la Commission européenne qui écarte les critiques tant qu’un traité est en cours de négociation au prétexte qu’il faut attendre le texte final, avant de les écarter à nouveau lorsque le traité est enfin conclu au motif qu’il est alors trop tard pour le modifier."
"Les Belges francophones empêchent le gouvernement fédéral de donner son feu vert à la signature du traité de libre-échange entre l'UE et le Canada. Même si la Commission européenne espère encore sauver son bébé..."
"Grâce au "non" de la Wallonie, la Belgique permet de bloquer la signature du Ceta. Le vrai scandale n’est pas que 3,5 millions d’individus défendent le bonheur et l’honneur de 496,5 millions contre les représentants de cette majorité, mais que 27 nations aient accepté le déshonneur ou le risque du déshonneur."
"Le président du Parlement européen va rencontrer en urgence samedi matin la ministre canadienne du commerce puis le ministre-président de Wallonie pour tenter de sauver l’accord."
"Le traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada est suspendu à l’approbation de la Belgique."
"Les Wallons vont-ils empêcher la ratification du traité de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada (Ceta) ? Les 28 ministres européens du Commerce et l’exécutif européen se sont réunis le 18 octobre à Luxembourg pour tenter de débloquer la situation après le rejet du Ceta par la Wallonie, région francophone du sud de la Belgique. Quatre jours auparavant, le 14 octobre, le Parlement de la Wallonie a mis son veto au traité négocié entre l’UE et le Canada. Or le gouvernement belge ne peut pas signer cet accord sans le feu vert de ses parlements régionaux."
"Le gouvernement de la Wallonie, région belge, a maintenu jeudi son opposition au projet d’accord de libre-échange, et bloque ainsi sa ratification."
"Le refus des Wallons de donner leur feu vert à l’accord commercial avec le Canada pourrait tuer dans l’œuf ce traité cousin du Tafta."
Un grand merci aux Wallons :)
"Après des mois de tergiversations, la France a décidé d’en finir avec les négociations concernant le traité de libre-échange transatlantique (appelé TTIP ou Tafta), censé doper les échanges commerciaux entre les Etats-Unis et l’Union européenne. « A la fin du mois de septembre, lorsque les ministres du commerce extérieur se réuniront à Bratislava pour avoir un échange sur ce sujet comme sur d’autres, je demanderai, au nom de la France, l’arrêt des négociations sur le Tafta », a annoncé Matthias Fekl, mardi 30 août, sur RMC."
"Si la chancelière allemande ne cesse pas de se montrer favorable à la signature du traité de libre-échange transatlantique (TAFTA), son ministre de l'Economie, Sigmar Gabriel, a lui évoqué, ce dimanche 28 août sur la télévision publique allemande, "l'échec" des discussions avec les Etats-Unis."
"Il assure dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas. Sigmar Gabriel, vice-chancelier allemand et ministre de l’économie, a mis les pieds dans le plat en affirmant, dimanche 28 août, à la télévision allemande ZDF, que les négociations entre l’Union européenne (UE) et les Etats-Unis sur le traité transatlantique (le fameux TTIP ou Tafta) « ont pratiquement échoué, même si personne ne l’admet vraiment »."
"Après le secrétaire d'État Matthias Fekl et le reste de la classe politique, le premier ministre a fermement signifié le refus de la France de conclure à tout prix le traité de libre-échange entre l'UE et les États-Unis, le fameux «Tafta»."
"Le traité de libre-échange Tafta serait une aubaine pour la croissance et l’emploi, promet la Commission européenne. Ce n’est pas ce que pensent nombre de dirigeants de petites et moyennes entreprises en Europe, notamment en Allemagne et en Belgique. Ils se rendent comptent que les mirobolantes promesses de croissance et d’exportations profiteront principalement aux multinationales. La plupart des PME européennes et leurs salariés en pâtiraient. En Allemagne, en Autriche, et en Belgique, des groupements de PME se mobilisent carrément contre le Tafta."
"À défaut d’avancées avec les États-Unis, la commission de Bruxelles a réussi un joli coup lundi 29 février, en débloquant l’accord avec le Canada qui semblait enlisé. Le parlement européen se prononcera sur le texte d’ici la fin de l’année. Reste à savoir si les parlements nationaux, eux, auront aussi leur mot à dire."
"Alors que la conférence sur le climat doit s’achever ce samedi, un nouveau brouillon d’accord a été rendu public le 10 décembre. Toute référence aux secteurs de l’aviation et du transport maritime, qui constituent presque 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre, a disparu. Au même moment, l’Observatoire européen des entreprises révèle un document interne de la Commission européenne dans lequel elle promet d’éviter « toute mention explicite du commerce » dans le futur accord de Paris. En clair, les règles du commerce doivent prévaloir, même au prix de la planète."