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Dès le 29 septembre 2017, 14 pays européens, dont la France, ont enregistré la présence dans l’air ambiant d’un élément radioactif, le ruthénium 106. Sa source se situerait en Russie.
Du ruthénium-106 a été détecté dès fin septembre 2017 par plusieurs réseaux européens de surveillance de la radioactivité dans l’atmosphère, à des niveaux de l’ordre de quelques millibecquerels par mètre cube d’air. Les investigations de l’IRSN permettent d’apporter des éléments sur la localisation possible de la source de rejet ainsi que l’ordre de grandeur des quantités rejetées.
Repéré fin septembre, ce nuage témoignerait d'un accident nucléaire survenu en Russie ou au Kazakhstan. Il n'y aurait "pas de risque identifié pour la population en France".
L'ONG écologiste Greenpeace tire une nouvelle fois la sonnette d'alarme sur la sûreté des centrales nucléaires françaises. En cause : les piscines de (...)
Le gendarme du nucléaire a repris quasiment mot pour mot son avis provisoire de juin. Il exige des contrôles réguliers du fond de cuve et un remplacement du couvercle avant fin 2024. Les associations dénoncent une décision inacceptable. C’est le dernier épisode d’un feuilleton démarré fin 2014. Mercredi 11 octobre, l’Autorité de sûreté nucléaire (ASN) a validé définitivement la cuve de l’EPR de Flamanville (Manche), malgré ses anomalies. Une étape cruciale avant le feu vert définitif et le démarrage du (...)
Pour démontrer la vulnérabilité de la centrale nucléaire de Cattenom, en Lorraine, des militants de l’ONG s’y sont introduits, jeudi 12 octobre vers 5 h 30 du matin.
Greenpeace a remis un rapport sur la vulnérabilité des centrales face à une attaque terroriste.
L’ONG voulait montrer la « vulnérabilité » de certains bâtiments, alors qu’EDF assure que cette action n’a eu aucun impact sur la sûreté des installations.
Un rapport commandé par Greenpeace alerte sur la vulnérabilité des piscines d’entreposage des combustibles. Un danger réfuté par EDF.
Ce jeudi 12 octobre, à l'aube, des militants de Greenpeace se sont introduits dans une centrale nucléaire de Moselle et ont tiré un feu d'artifice. Une action qui ne remettrait pas en cause "la sûreté des installations" assure EDF.
L’ASN a finalement décidé de donner un avis favorable à la cuve de l’EPR de Flamanville. Tout en imposant un changement du couvercle d’ici à 2024, elle laisse le choix à EDF de démarrer ou non l’EPR en attendant. En refusant de trancher, l’autorité indépendante semble renoncer à la politique du zéro risque dans l'exploitation du nucléaire.
"L’Autorité de sûreté nucléaire vient d'exiger l’arrêt de 5 réacteurs nucléaires d’EDF pour effectuer des tests. Sept autres n'ont pas reçu l'autorisation de redémarrer. En cause : des anomalies dans l’acier enveloppant les générateurs de vapeur."
"L’Autorité de sûreté nucléaire a demandé à l’exploitant de procéder sous trois mois à des contrôles de la résistance des fonds des générateurs de vapeur."
"Sciences et Avenir a rencontré à Paris Yayoi Hitomi, militante anti-nucléaire qui vit toujours à 60 km à l'ouest de la centrale de Fukushima."
"Alors que le cinquième anniversaire de la catastrophe de Fukushima ravive l'attention internationale sur les dégâts de l’un des pires accidents nucléaires de l’histoire, la préférence française pour l’atome ne va plus de soi en Europe."
"5 ans après le tsunami, les mesures sur la radioactivité des eaux de l’océan Pacifique montrent un relargage continu de strontium et de césium par la centrale nucléaire japonaise de Fukushima."
"L’opérateur électrique Tepco évoque une maîtrise progressive des fuites radioactives dans la centrale de Fukushima-Daiichi. Des eaux contaminées sont encore présentes dans le fond des bâtiments, mais les travaux semblent en bonne voie. Le point sur la situation, cinq ans après la catastrophe."
"Les éditions de La Martinière présentent un ouvrage intitulé Fukushima – Fragments, pour commémorer les 5 ans de la catastrophe nucléaire, survenue sur la côte nord-est de l’île. Le séisme et le tsunami y ont causé la mort de plus de 18 000 personnes. Kosuke Okahara, né en 1980 au Japon, a arpenté pendant quatre ans ces espaces désertés. Il a photographié, au rythme de son compteur Geiger, la désolation des paysages et des habitants : « Je recueillais des fragments d’individus, de ruines, de paysages, des petites scènes étranges et quelques instants de beauté qui subsistaient au milieu même de la désolation (…). La seule chose que je puisse faire est de laisser ces images aux générations futures, pour qu’elles tirent un enseignement de l’histoire et tentent de comprendre ce que cette catastrophe signifie réellement », écrit-il dans la préface du livre."
"Fermeture de Fessenheim, transition énergétique, plaintes à l'étranger... Les sujets de flottement se multiplient autour de la filière."
"Doel 3 et Tihange 2, deux réacteurs nucléaires belges suspectés de ne pas répondre aux normes de sécurité, ne seront pas mis à l’arrêt, a décidé la justice belge, mercredi 9 mars. Une plainte visant à obtenir leur fermeture définitive avait été déposée par l’association Nucléaire Stop Kernenergie (NSK) à la fin 2015. La requête visait les défauts de ces deux réacteurs trentenaires, exploités par Electrabel, filiale belge d’Engie (ex-GDF Suez)."