417 liens privés
"bullshitQuand nous lisions hier le « rectificatif » publié (si , si .. il est bien publié mais le site est tellement ergonomique qu’il faut scroller vers le bas pour accéder au contenu, ça se passe sous le logo placard en milieu de page) sur le site de la fondation Carla Bruni Sarkozy, nous y décelions une tentative un peu gauche d’enfumage. Il faut dire que nous commençons à avoir l’habitude de ce genre de communiqué aussi court que possible qui dément sans apporter quoi que ce soit comme information pertinente visant à prouver ce qu’il défend. Bref le genre de communiqué qui semble rédigé par un Spin Doctor et facturé à la lettre."
"Selon un récent rapport de la Cour des comptes, le site de Carla Bruni Sarkozy a avalé 410 000 euros d'argent public entre 2011 et 2012. CarlaBruniSarkozy.org, désormais occupé par la Fondation de l’ex première dame, affirme cependant que tous les contenus visibles du site ont été « intégralement financés par la Fondation ». L'institution maintient pourtant ses déclarations. Décryptage."
"Plus de 57 000 personnes ont signé, au coeur de l’été, une pétition en ligne demandant à Carla Bruni-Sarkozy, l’ex-première dame de France, de rembourser les 410 000 euros qu’a coûté son site web lorsqu’elle était à l’Elysée, et dont le coût a été dénoncé par la Cour des comptes."
"Capture d’écran 2013-07-26 à 15.53.06On est en train de toucher le fond. Quand nous découvrions la douloureuse (PDF 1,2Mo) dans le rapport de la cour des comptes, ça picotait un peu derrière les yeux. Quand on observait le rendu, on commençait à rire un peu jaune. Quand la fondation démentait, on avait encore plus de questions que de réponses. On ne sait pas trop si l’article tout frais du Figaro va marquer l’épilogue de cette affaire. Et il ne faut pas être OPJ à la mondaine pour se rendre compte que ça sent quand même pas la rose…"
"C’est tout de même assez amusant de constater, que sur son site web désormais quasi complètement statique (la machine servant les contenus dynamiques répondant aux abonnés absents depuis un bon moment), la fondation Carla Bruni Sarkozy dément ce qui a été publié par la cour des comptes. Mais en fait, elle ne dément pas grand chose, n’apportant strictement aucun éclairage, la fondation se borne à expliquer que les contenus, ont été financés par ses soins. Regardons ce communiqué d’un peu plus près."
"Depuis deux jours, ça trolle assez sec sur Twitter au sujet du site web de Carla Bruni-Sarkozy. A l’origine, un rapport de la Cour des comptes [PDF], et un article publié sur Politique.net, qui révèlent que le site de l’ancienne première dame aurait coûté 410 000 euros au contribuable.
A ce prix-là, on s’attend naturellement à une véritable merveille, d’une qualité de code irréprochable, d’un design somptueux, d’une horde de hackers chinois qui met à jour le site toutes les heures… Bref, quelque chose de bling-bling et bien vivant.
Je suis donc naturellement allé jeter un œil, et assez rapidement, j’ai pu prendre la mesure de la catastrophe."
"Incroyable. L'information était passée inaperçue, elle vient d'être confirmée par la Cour des comptes : lorsque Nicolas Sarkozy était à l'Élysée, le coût du site web de la fondation de Carla Bruni était assumé par l'État. Soit une facture totale de 410 000 euros pour les années 2011-2012."
"La Cour des comptes et la commission des finances de l'Assemblée dénoncent les conditions accordées aux sociétés concessionnaires des autoroutes. Depuis la privatisation de 2006, l'argent entre à flots dans leurs caisses. Sans contrôle ou presque."
"La Haute Autorité ajuste à la baisse ses prétentions financières. Après avoir réclamé sans succès un budget de 12 millions d'euros pour 2013, l'instance a demandé 7,5 millions d'euros pour 2014.
Et sinon, en Norvège, ils font baisser les téléchargement illégal pour pas un rond... Cherchez l'erreur...
http://www.numerama.com/magazine/26542-le-piratage-s-effondre-en-norvege-sans-hadopi.html"
"Réglementation : Maillage territorial incohérent, gouvernance à revoir... La cour des Comptes pointe les lacunes de l'Etat en manière de systèmes informatiques."
"La Cour des comptes a publié le 11 juillet son rapport sur l'organisation territoriale de l'État. Elle n'est pas tendre avec l'organisation des systèmes d'information publics, qu'elle estime « défaillante »."
"La faillite de la banque a déjà coûté 6,6 milliards d’euros aux Français, selon la Cour des comptes. Mais les risques que fait peser son démantèlement sur les finances publiques sont loin d’être circonscrits. Dans un rapport assassin, la Cour des comptes détaille le fonctionnement d’une oligarchie qui a conduit à la catastrophe et demande qu’il soit mis fin à l’impunité des dirigeants."
"Censées aider les communes nécessiteuses, les réserves parlementaire et ministérielle ont aussi permis à des députés de préparer les élections à coups de subventions, à des parlementaires de financer leurs grands projets d’élus locaux, et à des ministres de ne pas se faire oublier sur leur terre d’élection."
"Mediapart met en ligne le détail des 153 millions d'euros de la réserve parlementaire 2011. À parcourir par parlementaire, commune ou département."
"LE CERCLE. Les sénateurs ont de la suite dans les idées, voici qu'à nouveau ils introduisent dans la loi un article demandant la priorité au logiciel libre dans des domaines relevant de l'éducation. Le gouvernement les a mis au pas il y a un mois, mais ils sont obstinés. Au-delà des jeux politiques, en quoi serait-il bon, serait-il légitime, de donner priorité au logiciel libre par la loi ?"
"Après un parcours du combattant administratif et judiciaire de près de 3 ans, tel que nous les connaissons bien à Anticor, Hervé Lebreton, Président de l’Association pour une démocratie directe et membre d’Anticor du Lot-et-Garonne, a obtenu du Tribunal administratif de Paris le 23 avril dernier l’obligation pour le Ministère de l’Intérieur de lui fournir la liste détaillée de toutes les subventions attribuées en 2011 par chaque parlementaire français, via leur réserve parlementaire, aux collectivités territoriales."
"On sait enfin comment les élus dépensent leur réserve parlementaire, cette dotation dont ils disposent pour subventionner des collectivités, des projets, des associations de leur circonscription. Sénateurs comme députés disposent chacun de cette réserve, qui provient des caisses respectives du Sénat et de l'Assemblée nationale."
"Un document d’un millier de pages, 150 millions d’euros de subventions : grâce à l’insistance d’Hervé Lebreton, président de l’Association pour une démocratie directe, l’utilisation de la réserve parlementaire de l’année 2011 est enfin publique.
[...]
Mais le millier de pages mis en ligne par l’Association pour une démocratie directe cache sans doute beaucoup d’autres secrets.
Rue89 vous propose donc de vous plonger dans le document, et d’examiner les informations concernant votre commune, votre député, votre sénateur. Une subvention vous étonne ? Partagez votre découverte dans les commentaires !"
"Après d'intenses débats, le parlement français vient d'inscrire pour la première fois dans la loi la priorité au logiciel libre pour un service public, avec l'adoption du projet de loi enseignement supérieur et recherche.
Cette disposition avait été introduite par le Sénat, puis confirmée fin juin 2013 par la commission mixte paritaire (CMP) qui s'était réunie pour réexaminer les dispositions votées non conformes dans les deux chambres (Assemblée nationale et Sénat). De nombreuses personnes s'étaient mobilisées suite à l'appel de l'April pour contacter les députés et sénateurs membres de cette CMP pour que la disposition en faveur du logiciel libre soit conservée.
L'Afdel et le Syntec numérique ont tenté de s'opposer à cette disposition notamment en arguant de prétendues « difficultés juridiques ». L'Inria a rejoint récemment le lobby contre la disposition en faveur du logiciel libre, générant plusieurs réactions dont l'Aful, François Pellegrini et des personnels de l'Inria. En contact avec les parlementaires et le gouvernement, l'April leur a communiqué une analyse sur la validité juridique d'une disposition législative donnant la priorité au logiciel libre.
Après le Sénat le 3 juillet 2013, l'Assemblée nationale a finalement adopté le 9 juillet 2013 le projet de loi relatif à l'enseignement supérieur et à la recherche. Le texte n'attend plus désormais que sa promulgation par le Président de la République.
L'article 9 du projet de loi précise que :
II. – Au même code de l’éducation, il est rétabli un article L. 123-4-1 ainsi rédigé :
« Art. L. 123-4-1. – Le service public de l'enseignement supérieur met à disposition de ses usagers des services et des ressources pédagogiques numériques.
« Les logiciels libres sont utilisés en priorité. »
"
"Comme l’avait annoncé la ministre de la culture Aurélie Filippetti fin mai, la coupure d’accès en cas de téléchargement illégal a finalement été officiellement enterrée par décret ce mardi matin. Le gouvernement suit ainsi les conclusions du rapport Lescure sur l’acte II de l’exception culturelle, qui préconisait la suppression de cette ultime étape de la « riposte graduée » de la Hadopi.
La suspension de l’accès à Internet sanctionnait le « défaut de diligence dans le maintien opérationnel du dispositif de sécurisation de l’Internet »."
Que de temps perdu, d'argent dépensé...
Tout ça pour aller inéluctablement vers la licence globale...