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Adobe is warning some owners of its Creative Cloud software applications that they’re no longer allowed to use older versions of the software. It’s yet another example of how in the modern era, you increasingly don’t actually own the things you’ve spent your hard-earned money on.
L'augmentation des prix continue de partout ! C'est désormais au tour du partenariat entre Adobe et Pantone de voler en éclat pour une formule payante.
Les catalogues de couleurs Pantone ne sont plus en libre accès sur Photoshop, Illustrator et InDesign
Toutes les occasions sont bonnes pour interdire les utilisateurs de continuer à utiliser des applications souvent très chères payées avec les éditeurs dont les priorités peuvent varier à d’un moment à l’autre. C’est comme dire aux utilisateurs : vous l’avez acheté avec votre argent, mais il n’est pas vraiment à vous. Les abonnés Adobe Creative Cloud savent de quoi il s’agit depuis cette semaine, du moins ceux qui ont déjà vérifié leurs boîtes de réception. Tous ceux d’entre eux qui n'avaient pas encore mis à jour leurs applications depuis un certain temps seront obligés de le faire maintenant contre leur gré et sous le coup de la menace. Adobe, la société de logiciels graphiques, a envoyé des courriels à ses clients les avertissant qu'ils risquaient de faire l'objet de réclamations potentielles pour contrefaçon par des tiers s'ils continuaient à utiliser des versions désuètes des applications Creative Cloud.
"Firefox 38 télécharge automatiquement le plug-in Content Decryption Module (CDM) d'Adobe, pour permettre la lecture dans le navigateur de contenus protégés par un DRM."
"David Bosman veille au grain lorsqu’il s’agit de la collecte de données personnelles.
Avec le dernier Lightroom, il a remarqué qu’en plus de devoir se connecter avec un ID Adobe pour activer le logiciel (il s’agit de la version autonome de Lightroom 6 et non de Lightroom CC), Lightroom collectait automatiquement des informations sur notre usage du logiciel.
C’est chose commune pour de nombreux éditeurs de logiciels, avec souvent un anonymat des données, mais ici celles-ci semble rattachées à votre compte Adobe ID."
"Confondue dans son espionnage des utilisateurs de sa suite logicielle Adobe Digital Editions 4, la firme a promis un correctif dans les meilleurs délais. Qui ne sont certainement pas les plus précis ? Cependant, cet AdobeGate prend de sérieuses proportions outre-Atlantique : la collecte d'informations n'est jamais anodine, surtout dans une période où les services secrets américains sont vilainement pointés du doigt..."
"Adobe a publié hier soir de nouvelles applications pour iOS, dont l’objectif est d’étoffer l’offre Creative Cloud. Mais alors que l’éditeur avait toutes les raisons de se réjouir de ces nouveaux produits et de la valorisation de son offre, le voilà pris dans la tourmente : son logiciel Digital Editions est particulièrement bavard, envoyant de nombreuses informations en clair aux serveurs de l’entreprise."
"Le logiciel de lecture de livres numériques Digital Editions, publié par Adobe, enregistre sans en informer ses utilisateurs un grand nombre d'informations, y compris chaque page lue, et transmet ces informations de manière non sécurisée aux serveurs d'Adobe, révèle The Digital Reader."
"Adobe a fait face à une panne importante de son Creative Cloud. Le souci n’est réparé que depuis quelques heures mais a provoqué la colère des utilisateurs. Une panne prolongée qui relance une fois de plus la question de la pertinence du cloud pour certains usages."
"Après les remous qu'a provoqués la société Adobe, annonçant que son DRM Musclor, plus résistant aux attaques de pirates, allait être installé prochainement, les utilisateurs sont en droit de se poser quelques questions. D'abord, pourquoi des DRM... Mais surtout, avec une pareille mise à jour, les anciens fichiers seront-ils lisibles de nouveau ? Excellentes questions, pas de doute. Dans tous les cas, il importe de préserver sa bibliothèque numérique, et pour ce faire, quelques solutions pratiques existent.
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La politique pro-DRM peut donc avoir un effet désastreux sur les expériences des consommateurs. Ce fut le cas de Linn, une cliente norvégienne d'Amazon. En octobre 2012, Linn a eu la très désagréable surprise de recevoir un e-mail lui annonçant que son compte dans le fameux magasin en ligne venait d'être fermé, et qu'elle ne pourrait plus lire les livres achetés pour son Kindle. En suivant la logique du format propriétaire d'Amazon, son compte ayant été supprimé, tous les droits de lecture associés ont été désactivés. Sa bibliothèque entière a disparu du jour au lendemain d'un simple clic.
Visiblement de bonne foi, la cliente n'a aucune idée de la raison qui a poussé Amazon à agir ainsi, et n'a pu obtenir aucune précision de la part du marchand. La société de Jeff Bezos s'est contentée de lui rappeler que le contrat d'utilisation d'Amazon l'autorise à supprimer un compte et des contenus « à sa seule discrétion« . On ne l'oubliera pas et on restera vigilant."
"Changement de calendrier, pour la firme Adobe. Alors que le week-end dernier, un vilain bug dévoilait les projets de la firme - durcir pour imposer son outil de protection des livres numériques - une vaste mobilisation des acteurs a abouti à une reculade en bonne et due forme. La mise à jour de différents outils de la firme américaine allait engendrer une incompatibilité, empêchant la lecture de fichiers anciens, et contraignant les développeurs d'applications et de lecteurs ebook à de grosses évolutions, dans un délai très court. Trop court."
"La décision d'Adobe, de renforcer sa politique autour de mesures techniques de protection pour les livres numériques, est loin de faire l'unanimité, bien au contraire. La firme américaine, qui a poussé le format EPUB, avec l'IDPF, vient de lancer son DRM Musclor, censé être plus résistant contre les pirates qui avaient pris l'habitude de le supprimer des ebooks achetés. Mais les conditions dans lesquelles s'opère cette mutation font grincer des dents."
"Les services communication d'Adobe ont dû s'échiner de longues heures devant l'annonce à faire : Adobe, fournisseur d'une mesure technique de protection parmi les plus utilisées par les fournisseurs de contenus (le fameux « DRM Adobe »), s'est fait pirater ses serveurs. Près de 2,9 millions de comptes utilisateurs seraient concernés, et des données personnelles se baladeraient dans la nature."
"La nouvelle politique commerciale d'Adobe va révolutionner les usages, mais tout le monde n'en a pas pris la pleine mesure. Adobe a activé tous ses relais pour désinformer les utilisateurs de ses logiciels. Partout dans le monde, les utilisateurs ont réagi vigoureusement et en nombre au traitement qu'Adobe leur a réservé et à l'aliénation dont ils ne veulent pas devenir les victimes en souscrivant au Creative Cloud.
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En bref : Le Creative Cloud pour les clients européens actuels, c'est la triple peine :
• Un tarif très supérieur à celui de la mise à jour (qui était biennale pour la Creative Suite),
• Une obligation de s'abonner à vie sous peine de se retrouver sans logiciels et de ne plus pouvoir ouvrir ses fichiers,
• Un tarif supérieur de plus de 30% à celui proposé aux clients US"
"Adobe a donc décidé de mettre fin à la progression de la plupart de ses logiciels par version tous les 2 ans ou tous les ans comme cela semblait se profiler. Adobe décide d’en finir avec la vente des boites et la vente des logiciels en ligne et impose la location par l’intermédiaire du créative cloud.
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Inconvénients : Vous êtes captif !! [...] Si Adobe décide d’augmenter ses prix vous êtes obligés de suivre, vous ne pouvez plus rester sur une ancienne version. Et d’ailleurs Adobe avec cette nouvelle formule a doublé ses tarifs !! En effet, avant si vous étiez un utilisateur honnête et que vous renouveliez votre version de Photoshop à chaque mise jour qui avait lieu tous les deux ans cela vous coûtait environ 250€ maintenant en deux ans vous débourserez 590€ !!"
"La nouvelle fut l’effet d’une bombe : la Creative Suite d’Adobe fera bientôt partie de l’histoire ancienne et les futures versions de Photoshop, Illustrator, Premiere, InDesign, Dreamweaver et cie ne seront proposées que dans le cadre d’un abonnement au nuage « Creative Cloud ». Ainsi, la prochaine version de Photoshop ne s’appellera pas CS7, mais CC.
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Après internet et le téléphone portable, le système d’abonnement est en train de devenir le nouveau fléau de notre époque. Il est à espérer que tous les éditeurs ne s’y mettent pas au risque de rendre l’utilisation de l’ordinateur très coûteuse, voire inaccessible au plus grand nombre…"
Une informatique sans abonnement ? Linux bien sûr !!!
"Il ne sera plus possible d'acheter des versions boîtes des outils Creative Suite d'Adobe. Les prochaines versions des Photoshop, Illustrator et autres InDesign ne seront désormais proposées que sur abonnement, dans le cadre de l'offre Creative Cloud d'Adobe."
En gros, à chaque utilisation, le logiciel se connecte au serveur Adobe pour vérifier que vous payez bien votre abonnement. Bon, au passage, il pourrait aussi communiquer vos habitudes d'utilisation, votre fréquence d'ouverture... Et puis quelles autres données ?