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Swiss food firm’s infant formula and cereal sold in global south ignore WHO anti-obesity guidelines for Europe, says Public Eye
Dans cette note de l’Anses transmise au gouvernement en octobre dernier, que franceinfo dévoile, des experts évoquent un "niveau de confiance insuffisant" pour assurer "la qualité sanitaire des produits finis".
Les guerres de l'eau ont-elle commencé ? Alors que les sécheresses s'intensifient, que le climat se réchauffe inexorablement et que l'eau vient à manquer régulièrement dans plusieurs départements français, les industriels continuent de pomper des millions de mètres cubes d'eau chaque année pour la mettre en bouteille. Elle est censée être pure, cette eau, mais patatras tout s'effondre : le Monde et Radio France révèlent qu'en infraction avec toutes les règles, Nestlé et Alma, qui produisent Perrier, Saint-Yorre, Vittel ou Hépar ont filtré leur eau, polluée à la source. De l'eau reconditionnée donc, parfois coupée avec celle… du robinet. Et vendue 100 fois plus cher que celle qui coule dans nos cuisines. Face à ces dérives, comment reprendre le contrôle de l'eau ? Bien commun en partie privatisé, l'eau sera-t-elle bientôt un luxe ? Quel rôle joue l'État dans cette mainmise des multinationales ?
L’association de défense des consommateurs dépose ce mercredi 21 février une plainte contre les deux groupes pour les traitements de désinfection auxquels ils ont eu recours sur leurs eaux telles que Vittel ou Perrier. Des pratiques sont courantes pour l’eau du robinet, sans risque pour la santé, mais interdites pour les eaux minérales naturelles.
Leurs eaux minérales n’étant plus pures, plusieurs grandes marques - Contrex, Cristalline, Hépar, Perrier, Saint-Yorre, Vichy, Vittel - auraient eu recours à des systèmes de traitement de l’eau tels que des filtres à charbon ou des filtres UV. Problème : il s’agit de traitements illicites, dont les eaux minérales ne doivent pas faire l’objet, selon Le Monde et la cellule investigation de Radio France. Cette dérive aurait duré sans être communiquée aux consommateurs et le gouvernement en aurait été informé dès 2021. Tristement habituée des ressorts des scandales sanitaires, foodwatch monte au créneau. L’association de défense des consommateurs va porter plainte dans cette affaire où plusieurs infractions aux codes de la consommation et de la santé publique sont caractérisées.
L'or bleu avait fait la fortune de cette petite ville des Vosges. Aujourd'hui, alors que le groupe Nestlé, propriétaire de Vittel, Contrexéville et Hépar, est accusé d'épuiser la ressource, les nappes phréatiques seraient de surcroît menacées de pollution par des décharges sauvages…
Après avoir tenté de les dissimuler pendant plusieurs années, Nestlé s’est décidé à nettoyer ses décharges illégales dans les Vosges. Les premières évaluations par les services préfectoraux donnent une idée de l’étendue des dégâts.
Sur le papier, Nestlé, Danone et Coca multiplient les actions pour estomper leur image de prédateurs de ressources en eau. En réalité, ces trois immenses producteurs mondiaux d’eau en bouteille placent leurs partenaires en situation de conflit d’intérêts, font taire des élus locaux et exagèrent leur impact.
Après la fuite de ce document, dévoilé par le "Financial Times", le groupe assure "travailler sur un projet à l'échelle de l'entreprise" pour mettre à jour sa stratégie en termes de nutrition et santé.
"Tout est mort" sur une portion de 7 kilomètres dans la rivière l’Aisne à hauteur de Challerange dans les Ardennes.
"Nestlé enchaine les campagnes marketing en ce moment, et quand ce n’est pas Pedobear qui est mis scène, c’est la technologie de géolocalisation. En effet, la marque vient de lancer un nouveau concours via ses barres chocolatées en Grande Bretagne, un concours qui permettra aux gagnants d’être retrouvés directement par la marque."