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Après avoir été suivi par différents corps de métiers en Suède, la grève s’étend aux pays voisins sous de nouvelles formes, y compris une pouvant menacer la stabilité du constructeur en bourse.
Le plus grand syndicat du secteur privé norvégien a déclaré qu'il commencerait à bloquer dans le courant du mois les expéditions de voitures Tesla destinées au marché suédois, dans le cadre d'un mouvement nordique croissant visant à soutenir les mécaniciens en grève en Suède.
Les travailleurs portuaires et les chauffeurs danois s'apprêtent à se joindre à l'action de grève menée en Suède contre le constructeur automobile Tesla.
Le syndicat danois des transports 3F Transport a rejoint son homologue suédois IF Metall dans une bataille contre l’entreprise automobile américaine Tesla, qui refuse toute signature de convention collective.
Tesla pensait pouvoir venir à bout facilement de la grève des mécaniciens de ses ateliers suédois. Sauf que la grève de quelques salariés tourne désormais à l’opération de boycott de toutes les entreprises qui traitent avec Tesla.
En Suède, des salariés de Tesla sont en grève pour dénoncer le refus du constructeur automobile américain de signer une convention collective sur les salaires. Un conflit social d'une rare dureté dans un pays où le modèle social repose sur les accords de branche et les négociations entre partenaires sociaux. Depuis une semaine, 130 ouvriers des ateliers Tesla répartis dans dix ateliers sont en grève, et ils sont rejoints depuis samedi matin 4 novembre par 470 mécaniciens qui ne répareront plus les voitures électriques du fleuron d’Elon Musk dans leurs garages.
La mesure phare des ordonnances qui ont réformé le Code du travail en 2017 est définitivement acceptée par la plus haute instance judiciaire française. C’est la fin de cinq ans d’une féroce controverse juridique, et une victoire pour le président de la République.
Objet d'une campagne de propagande qui a coûté plus de 200 millions de dollars, l’électorat californien a adopté la « Proposition 22 » soutenue par Uber et Lyft, excluant définitivement les travailleurs des « plates-formes » en ligne de la protection du travail.