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La conception par Chaumet des médailles olympiques et paralympiques n’est que le dernier exemple de l’investissement du leader mondial du luxe dans le sport.
Lorsque "Le Canard enchaîné" dévoile le taux d'imposition "riquiqui" de Bernard Arnault, début février, aucun média ou presque ne juge l'information digne d'intérêt. Le palmipède dénonce l'omerta en évoquant le poids de la publicité de LVMH dans la presse ? Il ne se passe toujours rien. La même semaine, les rédactions ont pourtant parlé sans souci de l'achat d'un tableau au musée d'Orsay "grâce" à l'homme d'affaires.
En avril, le groupe LVMH s’est offert une campagne de publicité dans des médias – d’ordinaire plutôt critiques à son endroit – qui survalorisait totalement son impact social, environnemental et économique, et vantant son action pour « le bien commun ». Trompeur, voire inquiétant.
La rédaction des "Échos" a massivement voté pour la grève ce 1er juin. Avec une demande simple de sa Société des journalistes (SDJ) : que les journalistes pigistes, parfois très occasionnels, n'aient pas de droit de vote dans le cadre de la confirmation du directeur de la rédaction qui remplacera Nicolas Barré, débarqué par Bernard Arnault pour manque de complaisance envers LVMH. On vous explique ce qui se joue à travers cette grève.
Le leader mondial du luxe a-t-il profité d’un dévoiement de la loi pour s’éviter un procès dans l’affaire Squarcini ? C’est la question qui a été posée à la cour d’appel de Paris par le député insoumis François Ruffin, qui fut victime d’espionnage de la part de la multinationale de Bernard Arnault.
La startup Qwarry rejoint la maison des startups de LVMH à Station F. La startup, créée en 2019, propose du ciblage publicitaire réalisé à 100% sans cookies. Qwarry rejoint une promotion de 25 startups accélérées par le groupe de luxe français.
L’ancien directeur du renseignement intérieur est soupçonné d’avoir mobilisé son réseau afin d’espionner François Ruffin, député de La France insoumise et réalisateur de « Merci patron ! », pour le compte de LVMH.
Le géant du luxe a signé dans la plus grande discrétion, mercredi, une convention judiciaire avec le parquet de Paris, acceptant de payer une amende négociée de 10 millions d’euros dans l’affaire des barbouzeries de Bernard Squarcini. Une audience de validation doit encore avoir lieu, vendredi, au tribunal.
Pour la première fois au congrès mondial de la nature, un CEO Summit, réunissant les PDG de grands groupes, a été organisé. Au-delà du réchauffement climatique, le déclin de la biodiversité est considéré comme une menace sur les entreprises dont le modèle économique repose sur des écosystèmes naturels en bonne santé comme L'Oréal pour la cosmétique ou LVMH pour le luxe. Toute la semaine, Novethic vous fait suivre le sommet de l’UICN.
L’ex-chef des services secrets intérieurs français a été mis en examen, le 28 juin, pour l’espionnage présumé illégal du futur député François Ruffin (LFI) et de son journal « Fakir » au bénéfice de la multinationale LVMH, dirigée par le milliardaire Bernard Arnault. Un nouveau front judiciaire dans une affaire tentaculaire.
Deux récents rapports de police détaillent par le menu les dessous d’un système d’espionnage mis sur pied par l’ancien chef de services secrets français, Bernard Squarcini, au profit du géant mondial du luxe LVMH, propriété du milliardaire Bernard Arnault. Leur cible ? Le futur député François Ruffin et son journal.
Ne voulant plus réaliser le projet de rachat de Tiffany qu’il jugeait désormais trop cher, Bernard Arnault a obtenu du ministre des affaires étrangères Jean-Yves Le Drian une lettre qui lui a permis d’annuler son acquisition. Jamais un gouvernement n’est allé aussi loin dans le soutien d’un groupe privé.