417 liens privés
Le bruit perpétuel des bips dans les hôpitaux exposerait le personnel soignant à une réelle fatigue et, pire, serait à l'origine de centaines de décès chaque année, selon une étude américaine.
La mortalité des cyclistes sur les routes a baissé de 8% en 2023 selon les chiffres de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière.
L’essor du vélo, amorcé au début des années 2010 avec les systèmes de libre-service dans les grandes villes, confirmé par l’explosion des ventes de vélos électriques, s’est renforcé avec la crise du Covid. Malheureusement, la mortalité a suivi la même pente ascendante. Les routes de campagne sont les plus meurtrières, principalement en raison de la différence de vitesse entre les véhicules impliqués.
Le chiffre est en hausse par rapport à l'année 2020, au cours de laquelle 238 000 personnes sont mortes prématurément des mêmes causes, selon un rapport de l'Agence européenne de l'environnement.
Selon les données officielles, il n’y a eu qu’un seul piéton tué par un cycliste en 2022, contre 524 par des motorisés, d’après la base accidents de la sécurité routière.
L'Inde, le Nigeria ou l'Indonésie sont les pays comptant le plus grand nombre de personnes qui pourraient être confrontées à une chaleur mortelle, selon une étude publiée lundi.
Dans un bulletin publié lundi, Santé publique France dresse le bilan sanitaire des épisodes de canicule de 2022. Entre le 1er juin et le 15 septembre, durant la période de surveillance, l'organisme a constaté 10 420 décès en excès et observé un excès de mortalité relatif plus important dans les départements placés en vigilance rouge (+19,9%).
La décision de repousser le troisième confinement à début avril aurait engendré un coût humain de plus de 14 000 morts, d’après de premières estimations avancées par Le Monde notamment. Pour l’ex-corapporteur de la commission d’enquête du Sénat, Bernard Jomier (apparenté socialiste), Emmanuel Macron a pris cette décision seul et contre les scientifiques.
"En Chine, les chiffres ont tendance au gigantisme. La pollution aussi. Les auteurs d’une étude publiée par les PNAS américaines ont trouvé un moyen spectaculaire pour souligner l’impact de la pollution de l’air sur les habitants du nord de la Chine. En multipliant la réduction de la durée de vie enregistrée par la population concernée, ils obtiennent une perte de 2,5 milliards d’années de vie. Un mode de calcul original qui montre le désastre sanitaire d’une décision de politique locale."