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Le bureau du procureur général du Nouveau-Mexique a déposé une plainte contre Meta, la société mère de Facebook, alléguant que près de 100 000 enfants sont harcelés sexuellement chaque jour sur ses plateformes. La plainte, basée sur des documents internes et des communications d'employés de Meta, accuse l'entreprise de favoriser la pornographie enfantine et de permettre aux prédateurs de solliciter des mineurs. Les enquêteurs ont créé des comptes-leurres d'enfants qui ont été exposés à des images sexuellement explicites, même sans intérêt exprimé. La plainte affirme que Meta a négligé la sécurité des enfants, nuisant à leur santé mentale et à leur sécurité physique.
Meta rejette les accusations, déclarant que la plainte dénature son travail et soulignant les mesures prises pour protéger les adolescents. Cette affaire s'ajoute à d'autres poursuites à l'encontre de Meta, soulignant les préoccupations croissantes concernant la sécurité des enfants sur les réseaux sociaux. La société a annoncé des mesures supplémentaires pour protéger les adolescents, mais les critiques persistent quant à l'efficacité de ses systèmes de modération de contenu.
Une censure « systémique » des contenus propalestiniens est à l’œuvre sur les réseaux sociaux du groupe Meta, dénoncent Human Rights Watch et plusieurs ONG. Rima Hassan en a fait les frais cette semaine.
Meta est poursuivi en justice par l’Etat du Nouveau-Mexique, qui l’accuse de ne pas avoir protégé les enfants sur Instagram. Selon des documents, rendus publics mercredi et datant de 2020 et de 2021, chaque jour, 100 000 enfants ont pu y être confrontés à des prédateurs sexuels.
Depuis le 30 octobre dernier, Meta impose aux internautes de choisir entre publicités ou abonnement payant pour accéder à Facebook ou à Instagram. « Les lois changent dans votre région« , assure la firme de Mark Zuckerberg sans préciser de quelles lois elle parle. « Nous vous proposons donc un nouveau choix concernant la façon dont nous utilisons dont nous utilisons vos informations pour les publicités« . Et la question à 13 euros par mois de tomber : « Voulez-vous vous abonner, ou continuer à utiliser nos produits gratuitement avec des publicités ?« .
Le message des deux réseaux sociaux offrant le choix entre publicité et abonnement, diffusé depuis novembre, a provoqué l’incompréhension. Car loin d’être une nouveauté, la collecte de données personnelles est effective depuis les débuts de ces plates-formes.
Meta l’avait annoncé, c’est désormais une réalité : vous pouvez utiliser les réseaux sociaux Facebook et Instagram « gratuitement avec des publicités » personnalisées, ou bien payer pour les utiliser « sans publicité ». Le tarif reste assez élevé (à partir de 9,99 euros par mois) surtout rapporté au revenu mensuel moyen d’un utilisateur européen.
En juillet, l'Autorité norvégienne de protection des données a jugé illégale la surveillance par Meta des utilisateurs de Facebook et d'Instagram à des fins de marketing comportemental, et a donc imposé une interdiction limitée dans le temps de cette pratique en Norvège. Cependant, Meta estime que l'autorité norvégienne de protection des données n'était pas autorisée à le faire et que la décision n'est pas valable. C'est la raison pour laquelle l'Autorité de protection des données a été poursuivie en justice. Meta demande ainsi au tribunal de district d'Oslo d'annuler la décision de l'Agence de protection des données.
"Nous sommes très heureux que le Conseil [européen] de la protection des données soit d'accord avec les évaluations de l'Agence danoise de protection des données et qu'il étende notre interdiction. L'objectif est que les citoyens européens bénéficient d'une meilleure protection de leur vie privée", déclare Line Coll, directrice de l'autorité norvégienne de protection des données.
Meta’s new Twitter rival wants to suck Instagram users’ data, including health, location, search history and sensitive information, into the new Threads service. Under EU data privacy rules, it faces higher hurdles than in the US or UK, where it is launching on Thursday.
Opération transparence pour Instagram. Dans un article de blog, son directeur Adam Mosseri détaille les éléments servant à choisir et hiérarchiser les contenus visibles dans l'application et évoque ouvertement la question du « shadowbanning », cette pratique qui consiste à cacher ou limiter la visibilité d’un compte.
Le groupe Meta travaille à la création d'un réseau social qui se rapprocherait de Twitter en s'inspirant de ce qu'a fait Mastodon.
noyb complaints: Meta's business model declared illegal in the EU according to WSJ. Facebook, Instagram and WhatsApp can no longer run personalized ads without user consent
The Big Tech firm looks set to soon face a huge regulatory bill for all three of its social networks, Facebook, WhatsApp and Instagram. Europe's privacy regulator body, the European Data Protection Board, is expected to issue decisions on Monday that target the three platforms, after which Meta's lead regulator in Ireland will issue a final decision within a month.
Le Centre de le Justice Intime indique que de nombreuses entreprises liées à la santé sexuelle des femmes voient régulièrement leurs publicités censurées sur Instagram et Facebook.
Le défi lancé par Amazon Prime Video pour définir une nouvelle "bio" sur son compte Instagram n’a pas eu l’effet escompté. Des centaines d’internautes lui ont rappelé ses pratiques d’optimisation fiscale.
Il y a quelques jours, le Wall Street Journal publiait une enquête sur le réseau social prisé par les jeunes, affirmant que la société était consciente qu’elle pouvait « causer du mal aux adolescentes », avec des documents internes à l’appui comme le rapporte The Verge.
L’enquête publiée il y a peu par le Wall Street Journal pourrait avoir de lourdes conséquences pour Instagram. Mardi, le média américain dévoilait des documents internes à l’entreprise, indiquant qu’Instagram avait non seulement conscience d’avoir une influence néfaste sur les plus jeunes, mais surtout que la filiale de Facebook n’avait pas vraiment l’intention de changer de cap.
Ce lundi, Facebook, maison mère d'Instagram, a annoncé "mettre en pause" le développement de son application "Instagram for kids", qui devait être dédiée aux moins de 13 ans. L'entreprise veut "mieux prendre le temps" de consulter des parents et des experts "pour démontrer la valeur et la nécessité" de cette appli.
Instagram fête ses 10 ans mardi 6 octobre. Entretien avec Sarah Frier, journaliste américaine spécialiste des réseaux sociaux, qui revient sur les dernières évolutions de l’application, et son intégration dans l’empire Facebook depuis 2012.
Fin août, la CNIL irlandaise a intimé au réseau social de suspendre le transfert des données de ses utilisateurs européens vers les Etats-Unis. Le groupe américain soutient que cette demande est irréalisable techniquement et pourrait l'empêcher d'exploiter Instagram et Facebook sur le Vieux Continent.