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Bien que la Free Sofware Foundation soit heureuse que des personnes utilisent les licences GNU pour distribuer et licencier des logiciels, elle condamne l'utilisation de dérivés non autorisés et déroutants de ces licences. Dans un article, elle explique comment les utilisateurs sont protégés contre les termes restrictifs introduits par des personnes utilisant les termes des licences GNU pour rédiger leurs propres nouvelles licences.
L'augmentation des prix continue de partout ! C'est désormais au tour du partenariat entre Adobe et Pantone de voler en éclat pour une formule payante.
Les catalogues de couleurs Pantone ne sont plus en libre accès sur Photoshop, Illustrator et InDesign
This infographic on Creative Commons licences illustrates your choices when you want to publish your own work under a CC license. Start with the locomotive on the left and make your choices at each switch. The graphic itself is published under CC BY SA 3.0 and can be downloaded here.
"Ceux qui pensent bénéficier de Windows 10 gratuitement grâce à leur licence Windows 7, 8 ou 8.1 risquent de déchanter quand leur machine mise à jour nécessitera une réinstallation. Il faudra alors passer à la caisse… "
"Dans exactement 5 jours, Windows 10 sera officiellement disponible pour le grand public. Les annonces se multiplient pour le bonheur mais aussi parfois pour le malheur des utilisateurs. Aujourd’hui c’est une mauvaise nouvelle que nous avons pour vous puisque la gratuité de Windows 10 a de nombreuses limite. Et ce que l’on vient de découvrir c’est que si votre PC plante, vous devrez payer une licence de Windows 10."
"Certains éditeurs de logiciels infligeraient à leurs clients des amendes de plusieurs millions d'euros.
Ils sanctionnent ainsi le non-respect des contrats de licences. "
"N'est pas logiciel libre ou open source qui veut. Pour éviter le droit d'auteur classique, il faut choisir une licence. Pas si simple : il en existe pléthore avec des nuances subtiles. "
"Le Ministère de la Culture a réalisé avec Creative Commons France, une petite vidéo qui vous permettra de comprendre exactement comment fonctionnent les licences CC.
Du coup, si les licences ouvertes ne sont pas très claires pour vous, je vous invite à regarder ce petit clip. Autrement, même si vous êtes un barbu de la licence, c'est toujours bon à avoir sous la main pour montrer à vos amis ou votre famille qui est peu ou pas familier avec ce concept."
"Après deux ans de travail, la version 4.0 des licences CC a été publiée le 26 novembre dernier.
Les licences 4.0 sont très bien adaptées aux gouvernements et aux éditeurs des informations et données du secteur public, en particulier de l'Union Européenne. Cela est dû à l'élargissement du périmètre des licences, qui couvre désormais le droit sui generis des bases de données qui existe dans un bon nombre de pays."
"La députée écologiste Isabelle Attard vient de transmettre une question écrite à chaque membre du gouvernement. L’objectif : connaître les suites qui ont été données à la circulaire Ayrault sur l’usage du libre dans l’administration. L’élue souhaite également que tous les ministres dévoilent « le montant des dépenses en logiciel, en distinguant les logiciels propriétaires des libres, au sein [de leur] ministère et des administrations qui en dépendent, pour chaque année de 2008 à 2012 »."
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Tout cela pour dire qu'il y a "connexion permanente" et "connexion permanente" et que justifier son acception par "mais vous êtes déjà connecté de partout" comme l'a fait récemment Microsoft pour sa prochaine Xbox n'est pas valide. On peut vouloir être connecté en permanence à Internet mais aussi refuser de rentrer dans un système tyrannique."
"Il y a le Microsoft que l'on aime : novateur avec la Xbox, audacieux avec Windows Phone. Et le Microsoft que l'on déteste : cupide, prêt à aliéner ses propres clients pour doper ses profits. C'est malheureusement ce Microsoft-là qui revient avec la dernière version d'Office.
On a beaucoup parlé d'Office 365 (voir notre dossier) et de sa commercialisation par abonnement. Mais on a vite oublié qu'Office 2013, sa déclinaison « boîte » vendue en magasin, n'est plus disponible que sous licence ultra restrictive. Jugez plutôt : installer Office 2013 le lie définitivement à la machine. Il est impossible de le désinstaller pour pouvoir le réinstaller ailleurs. Si la machine tombe en panne, on perd sa licence Office. Idem si l'on change d'ordinateur ou si on le revend, il faudra racheter un nouvel Office 2013 !"
Et pourquoi ne pas profiter de cette magnifique arnaque pour migrer vers LibreOffice ? C'est libre et gratuit...
"Comme le soulignait PCInpact récemment Microsoft interdit le transfert de la licence Office 2013 vers un autre PC. L’arrivée de la nouvelle version de la célèbre suite bureautique s’accompagne en effet d’un contrat de licence encore plus restrictif qu’auparavant, ce qui revient bien moins à acheter un logiciel qu’à le louer sur un seul et unique ordinateur en priant pour que ce dernier n’expire pas tout de suite (malgré son obsolescence programmée, ce qui est un autre sujet).
Du coup, certains utilisateurs, même parmi les plus fidèles, réalisent (enfin) qu’on les prend vraiment pour des vaches à lait et lorgnent (enfin) du côté de GNU/Linux et LibreOffice."
"Voilà une nouveauté dont se seraient bien passés les consommateurs : les versions boîtes d’Office 2013 sont vendues avec des licences qui ne peuvent pas, dans l’état actuel, être transférées d’un ordinateur à un autre. Un changement radical qui bloque aussi bien l’utilisateur dans la réutilisation de son logiciel sur un nouveau PC que la revente.
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Notez que cette modification s’inscrit dans un contexte où le marché de l’occasion est pris pour cible. Ainsi, de nombreuses rumeurs courent actuellement sur les prochaines Xbox et PlayStation de Microsoft et SONY. Des consoles qui auraient la capacité de bloquer l’exécution d’un jeu s’il devait être lancé depuis un autre compte utilisateur. On notera d’ailleurs que le marché de l’informatique et, plus globalement, du dématérialisé permet des verrouillages qui n’ont guère d’équivalent. On imagine difficilement par exemple l’acheteur d’une voiture ou d’une maison être interdit de revente."
"Les logiciels Microsoft sont souvent mis en avant dans les marchés publics. Que ce soit des autorités centrales, locales ou des autorités indépendantes comme la Hadopi, on ne compte plus les marchés publics qui visent expressément les produits made in Redmond. Isabelle Attard, députée écologiste veut justement que soit jaugée la part des logiciels Microsoft dans la fonction publique."
"Nombreux sont les commentaires soulignant le rôle libérateur joué par la technologie lors des soulèvements survenus au Moyen-Orient ; il y aurait encore plus à dire sur le rôle des soulèvements dans la libération de la technologie dans la région.
La semaine dernière, la page Facebook officielle du Premier ministre égyptien a publié le compte-rendu de l’une de ses dernières réunions de conseil. On y apprend que le gouvernement égyptien a accepté de payer 43,8 millions de dollars afin d’acquérir des licences et des logiciels auprès de Microsoft. De nombreux citoyens égyptiens ont réagi vivement à l’annonce de cette nouvelle"
"Deux parlementaires, les députés Gwenegan Bui et Richard Ferrand, viennent justement de rebondir sur le sujet pour interroger Bercy sur le recours aux logiciels propriétaires. Ils constatent que « la plupart des administrations utilisent des logiciels non libres ». Ils demandent ainsi au ministre du Budget de fournir « le coût global approximatif de l'achat et de l'utilisation de logiciels non libres dans l'ensemble des administrations publiques sur une période donnée de cinq ans ».
Une question très courte mais aux retombées potentielles lourdes. Si elle est possible, la réponse chiffrée permettra de jauger à la fois des données de la circulaire Ayrault, mais aussi de la part des licences propriétaires dans le budget public. Soit un excellent moyen pour établir une comparaison et orchestrer les choix futurs."
"Depuis le mois d’avril 2012, la fondation Creative Commons International a annoncé qu’une nouvelle version de ses licences (la 4.0) allait être publiée et un appel à commentaires a été lancé pour inviter la communauté à participer à la réflexion.
Des modifications importantes sont envisagées, comme le fait de globaliser les licences pour ne plus avoir à les adapter pays par pays, en fonction des législations nationales. Mais c’est une autre question qui s’est imposée dans les discussions : celle de la conservation ou non de la clause Non Commercial – Pas d’Utilisation Commerciale (NC)."
"Rendre les moyens de production aux travailleurs : douce utopie ? Pourtant, dans le monde des licences libres, les exemples concrets et aboutis existent bel et bien, qui pourraient bien faire émerger une économie des communs. Voire davantage si affinités.
Dans une chronique précédente, j’avais pris parti dans le débat à propos de la clause Non-Commerciale des Creative Commons, dont certains réclament la suppression à l’occasion du passage à la version 4.0 des licences.
Je défendais l’idée que cette clause devait être maintenue, dans l’intérêt même de la Culture libre, notamment parce que la notion de Non Commercial est importante pour espérer parvenir un jour à une légalisation des échanges non marchands, seule solution pour mettre fin à la guerre au partage qui sévit actuellement."