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Quel immense décalage entre l’ambition des 150 et les réponses du Président !
Retrouvez ici mon analyse des 4 heures d'échanges
« Comment, en minorant nos propositions, vous pensez atteindre un objectif qui est aujourd’hui 15 % supérieur à celui sur lequel nous avons travaillé ? »
Question de Christine, membre de la #ConventionCitoyenne au Président de la République
Ignorer les signaux faibles, laisser la catastrophe survenir, tenter de soigner plutôt que de prévenir : c’est l’approche de la majorité des gouvernements dans la crise liée au Covid, en France et ailleurs.
Tribune. En réponse aux propos du chef de l’Etat sur « Brut », le cinéaste demande le respect de l’engagement à soumettre, « sans filtre », au Parlement ou par référendum, les propositions de la convention pour le climat.
La Nouvelle-Zélande fait partie des pays qui se sont engagés à atteindre l'objectif de neutralité carbone pour les gaz à effet de serre d'ici à 2050. Le pays s'est également engagé à produire 100% d'énergie renouvelable d'ici 2035.
Dans une tribune publiée samedi dans "Le Monde", l'un des garants de la Convention citoyenne pour le climat a de nouveau demandé au président de la République de respecter ses engagements vis-à-vis du collectif citoyen.
Le gouvernement britannique s’est fixé l’objectif d’une réduction des émissions de gaz à effet de serre d’au moins 68 % d’ici à la fin de 2030 par rapport au niveau des émissions nationales en 1990.
Une étude de l’Inrae et AgroParisTech publiée par le Parlement européen souligne la distorsion entre les ambitions du « pacte vert » européen et la politique agricole post-2020 en cours de négociation.
Dans une décision rendue jeudi 19 novembre, le juge administratif donne trois mois au gouvernement pour prouver qu’il respecte ses engagements en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une décision historique.
La colère monte chez les citoyens de la Convention pour le climat. Seuls pour « affronter les lobbies », déçus que nombre de leurs propositions aient été retoquées ou détricotées, certains fatiguent, d’autres montent au front.
Les associations de défense de l’environnement regrettent que les propositions ont été retoquées, détricotées ou repoussées.
Intégrée dans le second volet du projet de loi finances, sur lesquelles les discussions débutent ce mercredi à l’Assemblée, la mesure portée par la Convention citoyenne sur le climat a été fortement limitée par le gouvernement.
Le seuil de déclenchement du malus CO2 a été revu à la hausse, ce qui impactera moins de véhicules neufs. La surtaxe maximale, qui devait atteindre 40.000 euros l'an prochain, est ramenée à 30.000 euros.
Officiellement, le gouvernement était opposé à la cession de Suez à Veolia, votée lundi au conseil d’Engie. Mais en coulisses, le pouvoir a tout fait pour organiser son impuissance, comme si on lui forçait la main, allant jusqu’à demander aux administrateurs de la CFDT de ne pas voter.
Des dizaines d’aéroports français sont très peu utilisés et ne survivent que sous perfusions de subventions publiques. L’aide publique à certaines lignes aériennes peut ainsi atteindre 1700 euros par passager ! Autant d’argent en moins pour soutenir le développement d’alternatives comme le train, alors que 15 milliards seront consacrés par le gouvernement pour soutenir le secteur et ses aéroports fantômes.
La loi dite de « simplification » de l’action publique est discutée par les députés cette semaine. Ce texte poursuit à marche forcée le démantèlement du droit de l’environnement, dénoncent ses détracteurs. Il facilite par exemple l’implantation de sites industriels au moment même où Lubrizol a démontré la nécessité d’une meilleure surveillance.
Le Réseau Action Climat regrette qu’après la douche froide du Plan de relance vert pâle qui a mis fin à l’élan vers le "monde d’après" et qui signe la reprise de la politique écologique des petits pas, le PLF n’apporte aucune avancée significative sur les chantiers prioritaires de la transition écologique et solidaire.
Les grandes puissances doivent impérativement s'unir face au changement climatique, ou "nous sommes perdus", alerte le patron de l'ONU Antonio Guterres.
Le secrétaire général de l'ONU, un dangereux gauchiste !!
La loi sur l’état d’urgence sanitaire a permis la suspension de différentes dispositions juridiques jusqu’à la fin de la pandémie. Mais, comme l’explique l’autrice de cette tribune, les dispositions économiques sont, elles, pérennisées. Ce qui permet aux préfets de déroger au droit de l’environnement. De façon illégale et en dépit des affichages écolos de l’exécutif.
Le gouvernement a accordé aux betteraviers la possibilité de déroger à l’interdiction des néonicotinoïdes, ces insecticides qui contribuent à la disparition des pollinisateurs. D’après le projet de loi qui sera présenté ce 1er septembre au Conseil national de la transition écologique, la dérogation pourra être demandée pour tout néonicotinoïde... Pourquoi un tel recul alors que 80 % des populations d’insectes ont déjà disparu en Europe ?