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L’agronome Marc Dufumier dénonce l’incapacité de l’Etat à respecter ses engagements écologiques, et préconise d’étendre les surfaces en légumineuses aux dépens de cultures dont il est difficile de vendre les excédents à l’export.
Le professeur Seralini revient sur son combat contre la firme Monsanto, à la lumière de milliers de documents confidentiels rendus publics par la multinationale, depuis absorbée par Bayer. Ces documents montrent l’obsession de ces fabricants d’herbicide à l’encontre de M.Seralini ainsi que le dévoiement des réglementations sanitaires.
Trois ans après, la promesse d’Emmanuel Macron de ne plus utiliser l’herbicide controversé n’a pas été tenue.
Glyphosate: Monsanto aussi condamné parce que son "Roundup" a "considérablement" contribué à la maladie d'un plaignant
Une étude pilotée sous l’égide du ministère de la Transition écologique et solidaire révèle une hausse des ventes d’insecticides, fongicides et herbicides depuis 10 ans en France. Un bilan alarmant.
Le glyphosate est l'herbicide à large spectre le plus utilisé au monde. Selon des chercheurs de Rennes 1, l'exposition régulière à cette molécule modifie le cerveau, la flore intestinale et le comportement des rats.
Faux journalistes, faux scientifiques, fausses études, faux paysans… Depuis des années, le producteur de glyphosate et d’OGM Monsanto, racheté par Bayer, tente par tous les moyens d’influencer l’information qui le concerne.
Selon les documents d'"Envoyé spécial", Monsanto aurait recruté des agriculteurs et leur aurait livré des textes à publier dans la presse, visant à promouvoir l'utilisation du glyphosate.
Manipulation de la science, fichage, « astroturfing »… « Les Jours » désherbent le lobbying de la firme.
Cet herbicide pourrait entraîner des modifications génétiques, selon une étude sur des rats publiée dans « Scientific Reports ».
Le grand groupe agrochimique avait été condamné, en octobre, à payer 78,5 millions de dollars de dommages et intérêts à un jardinier états-unien souffrant d’un cancer.
Depuis la fusion effective des deux groupes, en juin, la valeur du nouvel ensemble ne cesse de fondre. Les investisseurs s’inquiètent du risque environnemental que constitue le glyphosate.
Le nouveau ministre de l'Agriculture assure toutefois que la France verra la fin du glyphosate lors du quinquennat.
Huit premières plaintes ont été enregistrées à la mi-juin contre des fabricants et des décideurs qui autorisent l’herbicide de Monsanto, filiale de Bayer.
Un lobby de la société Monsanto a créé des groupes de "faux agriculteurs" chargés de se prononcer en faveur du glyphosate, révèle la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique "The Independent".
L’information est énorme et, pourtant, elle ne surprend même plus tant nous sommes désormais habitués à ce genre de manipulations grotesques : selon Greenpeace et le journal britannique The Independent, Monsanto aurait créé des groupes de faux agriculteurs pour défendre le glyphosate !
Mosanto a piloté de faux groupes de fermiers contre l’interdiction du glyphosate en Europe. C’est ce que révèle une enquête de la cellule d’investigation de Greenpeace et du quotidien britannique The Independent, que RMC vous révèle ce mercredi.
La colère gronde chez des agriculteurs qui travaillent en biologique. Au mois de juin, leur fournisseur en huiles essentielles a été contraint de cesser son activité suite à un contrôle de la répression des fraudes, pointant un défaut d’ « autorisation de mise sur le marché ». « On ne peut pas utiliser les huiles essentielles, mais on laisse courir le RoundUp ! », s’insurge l’un d’eux. Alors que les essais en laboratoire démontrent une certaine efficacité des huiles essentielles contre certaines maladies des plantes, Basta ! a enquêté sur une réglementation qui empêche leur développement, alors que le glyphosate est, lui, épandu librement.
Le syndicat L’Abeille de l’Aisne a porté plainte contre la société chimique allemande, qui vient de boucler le rachat du géant américain des pesticides Monsanto.
C'est encore le glyphosate, substance présente notamment dans les herbicides, qui est accusé : il ne tuerait pas les abeilles directement mais affaiblirait leurs défenses contre des agents pathogènes opportunistes.