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La menace d'une démission imminente de Nicolas Hulot plane-t-elle vraiment, ou s'agissait-il plutôt d'un coup politique pour peser dans les discussions sur les futurs dossiers du ministre de l'Ecologie…
Le projet de loi, dont les députés ont achevé mercredi 4 octobre l’examen, prévoit des exceptions à l’arrêt en 2040 de la production française de pétrole et de gaz. Une « sécurisation » pour le ministre, une « renonciation » pour les ONG.
C’est la première loi « climat » du quinquennat Macron : l’Assemblée nationale a terminé mercredi l’examen du texte mettant fin à la recherche et à l’exploitation des hydrocarbures. Mais les pétroliers et le vieux monde institutionnel se battront jusqu’au bout contre les restrictions.
Le 4 octobre 2017 - L'Assemblée nationale vient d'examiner en première lecture le projet de loi Hulot “mettant fin à l'exploration et l'exploitation (...)
Suppression d’aides à l’agriculture bio, projet de loi ambigu contre les hydrocarbures, JO parisiens, ratification du CETA… La transition écologique restera lettre morte tant que son ministre servira (...)
L’Assemblée nationale est appelée à adopter le projet de loi Hulot qui sonne la fin d’un modèle basé sur les hydrocarbures. Au nom de la transition écologique et de l’Accord de Paris, les députés ne doivent plus faire de concessions, affirme un collectif de militants écologistes, à l’initiative de Naomi Klein.
"Voici le texte que l'Envoyé spécial de François Hollande pour la protection de la planète à fait parvenir à Sciences et Avenir après la signature de l'accord de Paris."
"La secrétaire nationale d'EELV, Emmanuelle Cosse, évoquant dimanche 8 juin sur France 3 le retard de la loi de transition énergétique, a mis en cause des « lobbies », jusqu'au sein du gouvernement, incluant le ministre de l'économie, Arnaud Montebourg."
""Peu de gens le savent, mais nous payons trois fois notre alimentation", c'est ce que rappelle la Fondation Nicolas Hulot : "une première fois à la caisse quand nous réglons nos achats ; une deuxième fois avec nos impôts puisqu’une partie, environ 110 euros par an, est dédiée au budget européen de la Politique Agricole Commune (PAC) ; et une troisième fois, toujours via nos impôts, pour compenser les effets induits par nos modes de production agricole sur l’environnement et la santé : algues vertes, crise de la vache folle, traitement de l’eau potable, santé des consommateurs et des agriculteurs"... Donc l’avenir de l’agriculture nous concerne donc tous. C’est ce message que la Fondation Nicolas Hulot souhaite faire passer à travers un mouvement intitulé « I Field Good », en français «J’me champs bien »"
"Hier soir, il y avait deux événements à ne pas manquer dans le petit monde de l’écologie et du développement durable. Le premier était lié à l’inauguration du centre de réflexion (think tank) de la Fondation Nicolas Hulot. Le second au lancement de la "révolution des colibris" (mouvement initié par Pierre Rabhi).
Ces deux initiatives partagent une volonté commune : accélérer la transition écologique et engager de vraies propositions politiques. Avec des approches sensiblement différentes"
"C’est le 1er janvier que démarrera officiellement la mission de Nicolas Hulot. Un rôle « inédit dans un contexte inédit, celui d’une crise écologique planétaire », nous a-t-il déclaré depuis sa maison en Bretagne. Une mission qui « sera de faire percevoir d’une manière permanente, constante et non cyclique les enjeux environnementaux à l’ensemble des acteurs économiques, politiques et aux sociétés civiles »."
"L'écologiste Nicolas Hulot, candidat malheureux à la primaire d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV) et président de la Fondation Nicolas Hulot pour la nature et l'homme, dénonce dans un entretien au Monde l'incapacité des grands partis à prendre en compte l'épuisement des ressources et le changement climatique."
Le mot environnement est même absent du programme électoral de certains candidat (Nicolas Sarkozy par exemple). Je reste sidéré par un tel aveuglement !!