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TotalÉnergies investit (faiblement) dans les renouvelables « pour faire passer la pilule de nouveaux projets fossiles », dit Swann Bommier, de l’ONG Bloom. L’association publie un rapport cinglant sur la multinationale.
Tribune "TotalEnergies est très loin de prendre en compte les conclusions du Giec" : des scientifiques dénoncent l'instrumentalisation de leurs rapports par le géant pétrolier
Un document interne au groupe rassemble des éléments de langage pour répondre aux critiques. Ce prêt-à-penser sur l’expansion pétrolière de la firme, ses superprofits ou son controversé projet en Ouganda, élude les faits les plus préjudiciables pour la firme.
Le géant pétrolier a utilisé ses superprofits record de 2022 pour investir toujours plus dans les énergies fossiles. D’ici à 2025, la firme est en passe d’approuver de nouveaux projets pétrogaziers qui rejetteront près de quatre fois les émissions annuelles de la France.
TotalEnergies utilise les énergies renouvelables pour verdir ses plateformes pétrolières | Mediapart
L’ONG Bloom dévoile dans un rapport inédit comment la multinationale déploie des énergies renouvelables en marge de ses nouveaux projets fossiles, pour communiquer sur le fait qu’elle produit du pétrole et du gaz « propres ».
En Belgique, un mégacomplexe pétrochimique de TotalÉnergies inonde les terres et les cours d’eau de ses billes de plastique. Un préjudice inestimable, qui n’est pas près de s’arrêter.
Dans une tribune du Monde, des scientifiques s’opposent au projet du plus long oléoduc chauffé au monde, porté par Total. Des conséquences sur le réchauffement climatique, la biodiversité et les droits de l’homme sont dénoncées.
Dans une tribune au "Monde", le collectif appelle les actionnaires de l'entreprise française "à voter contre la stratégie climat de la firme".
Dans une tribune au « Monde », un collectif de 188 scientifiques et experts, parmi lesquels Valérie Masson-Delmotte, Philippe Descola ou Jean Jouzel, dénonce la « bombe carbone » que représente le projet d’oléoduc en Ouganda de la multinationale française.
Une poursuite juridique est longue et coûteuse, des représailles que peut se permettre TotalEnergies, dont les ressources juridiques sont surdimensionnées.
Le document demande à TotalEnergies d'aligner ses objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre sur l'accord de Paris sur le climat pour 2030.
Avant même le premier rapport du Giec, le géant pétrolier a prédit avec précision les impacts de la catastrophe climatique si les groupes énergétiques continuaient de produire des énergies fossiles. Malgré cela, Shell a sciemment opté pour le « business as usual », conduisant aux résultats dévastateurs qu’il avait décrits.
Dans une tribune publiée sur franceinfo, une dizaine d'auteurs du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) critiquent la stratégie du groupe pétrolier, qui a récemment utilisé leurs travaux pour justifier la poursuite de ses investissements dans les énergies fossiles.
Mediapart dévoile des documents internes au gouvernement congolais et des témoignages prouvant que TotalEnergies s’est approprié des terres d’agriculteurs sans leur libre consentement. Le but ? Créer à la place de leurs cultures une plantation industrielle d’arbres pour que le pétrolier puisse continuer ses activités climaticides.
Ces dix dernières années, Total a touché plus d’argent de l’Etat qu’il n’a payé d’impôts sur les sociétés en France. Malgré des bénéfices record et sans jamais être inquiété par le fisc. Enquête.
Le géant français Total a été sélectionné pour devenir le « premier partenaire international » de la compagnie Qatar Energy en vue de prolonger l’exploitation du gisement de gaz naturel (GNL) North Field, au large des côtes qataries. Décryptage de ce projet considéré comme la « pire bombe climatique au monde » par les scientifiques, dans le cadre notre opération #SauverLePrésent, en partenariat avec Le Parisien, Les Échos-Planète et France Culture.
Comme si être le plus gros pollueur de France ne suffisait pas, TotalÉnergies vient à nouveau d’obtenir la première place d’un podium : d’après un rapport international (en anglais) publié mardi 15 novembre, la multinationale française est le plus gros développeur pétrolier et gazier en Afrique.
A trois jours de l’ouverture de la COP27 qui aura lieu cette année à Charm el-Cheikh, en Egypte, nous publions un rapport dans lequel nous réévaluons les émissions carbone du groupe TotalEnergies. Attention, spoiler (ou non) : les résultats sont accablants.