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Les assureurs, représentés par la fédération Insurance Europe, « regrettent que la proposition de règlement établissant un Espace européen de données de santé (European Health Data Space, EHDS) leur interdise d'accéder aux données de santé », relève L'Usine digitale : « ils appellent la Commission européenne à revoir sa copie ».
Interrogé au sujet des moyens du renseignement et de la DGSI, Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, s’est prononcé en faveur de portes dérobées dans les messageries chiffrées, afin de lutter plus efficacement contre le terrorisme. Un sujet aussi technique que polémique, débattu bien des fois.
La Cour suprême du Colorado juge que les policiers ont agi de bonne foi en demandant à Google une liste de personnes ayant recherché certains mots clés. La haute juridiction précise néanmoins que si des « problèmes dystopiques apparaissent, elle pourrait prendre des mesures ». Un « cas fascinant » estiment certains juristes, qui en inquiète d'autres, dont l’EFF.
Vous avez aimé FranceConnect ? Moi aussi. En revanche, si vous êtes comme moi, il y a des chances que vous aimiez beaucoup moins FranceConnect+…
Le problème n’est pas nouveau. Les lunettes à réalité augmentée de Google, les Google Glass, n’étaient même pas encore disponibles pour le grand public qu’elles avaient déjà soulevé ce débat sur la protection de la vie privée. Un homme avait été mis aux arrêts par le FBI à la demande de la MPAA (Motion Picture Association of America) pour avoir regardé un film équipé de ces dernières. Avec la récente présentation des nouvelles lunettes intelligentes Ray-Ban par Meta le problème revient sur la table. En effet, ce sont des lunettes connectées à 299 dollars équipées de caméras qui peuvent permettre de filmer des individus à leur insu. Pour ou contre l’adoption à large échelle de tels dispositifs ?
Dans le cadre d’un projet de loi sur la sécurisation et la régulation de l’espace numérique, un député a fait adopter des amendements qui imposent un calendrier de déploiement de l’identité numérique en France. Elle devra concerner tout le monde d’ici à 2030.
L’ONG autrichienne Noyb a porté plainte et demande à la Cnil d’ordonner « la suppression de l’ensemble des données illégalement traitées ».
Sur son site web ou sur son application iPhone, impossible d'éviter la fuite de vos données personnelles
Votre voiture en sait plus sur vous que vous ne le pensez. Ces données collectées à votre insu sont dans certains cas revendues par les constructeurs. La fondation Mozilla dénonce la pratique et lance un appel à pétition.
Ah, the wind in your hair, the open road ahead, and not a care in the world… except all the trackers, cameras, microphones, and sensors capturing your every move. Ugh. Modern cars are a privacy nightmare.
Car makers have been bragging about their cars being “computers on wheels" for years to promote their advanced features. However, the conversation about what driving a computer means for its occupants' privacy hasn’t really caught up. While we worried that our doorbells and watches that connect to the internet might be spying on us, car brands quietly entered the data business by turning their vehicles into powerful data-gobbling machines. Machines that, because of their all those brag-worthy bells and whistles, have an unmatched power to watch, listen, and collect information about what you do and where you go in your car.
All 25 car brands we researched earned our *Privacy Not Included warning label -- making cars the official worst category of products for privacy that we have ever reviewed.
Les marques de voitures les plus populaires au monde sont un cauchemar pour la vie privée des utilisateurs, collectant et vendant des informations personnelles à l’ère du numérique, selon une étude publiée mercredi par la fondation Mozilla. L’organisation à but non lucratif basée en Californie a passé en revue 25 marques de voitures et a déclaré qu’aucune d’entre elles ne respectait pleinement ses normes en matière de confidentialité et qu’aucune autre catégorie de produits n’avait jamais reçu un aussi mauvais avis, y compris les fabricants de jouets sexuels ou d’applications de santé mentale.
L'European Digital Rights (EDRi), qui fédère une cinquantaine d'ONG de défense des droits humains à l'ère numérique, a compilé une impressionnante liste d'arguments s'opposant à ce qu'elle qualifie de « projet de loi européen le plus critiqué de tous les temps ».
Mi-juin, une affaire d’AirTag retrouvé dans un sac à main a agité la toile. Si ce type d’affaire permet d’attirer l’attention sur le détournement de technologies à des fins malveillantes, certaines associations craignent qu’elle ne participe à invisibiliser des envahissements plus « classiques » de la vie privée, notamment dans le cadre de violences de genre, pour lesquels la sensibilisation reste à faire.
La proposition du député Ugo Bernalicis d’exclure les sex-toys du champ des appareils électroniques pouvant être activés à des fins d’écoute dans des enquêtes a fait jaser. Mais elle rappelle que le champ de cette nouvelle disposition est particulièrement large.
Déjà validée par le Sénat, cette disposition controversée du projet de loi de programmation pour la justice cristallise les inquiétudes de la gauche, d’avocats et d’associations.
Déjà impressionnant dans sa capacité à identifier et à trier les images, Google Photos apporte son lot d’améliorations au fil du temps. La dernière en date ? Identifier les personnes, même lorsqu’elles sont de dos.
Le 23 mars dernier, l'Assemblée nationale adoptait le projet de loi relatif aux Jeux Olympiques et Paralympiques de 2023, légalisant ainsi la vidéosurveillance algorithmique et l’expérimentation avec les premiers logiciels de détection du mouvement dans l’espace public. Depuis plusieurs mois, des collectifs, organisations internationales et associations pour la défense des droits dans les espaces numériques alertent des dangers de cette automatisation de la police et de l’interventionnisme croissant de l’intelligence artificielle dans les équipements de surveillance.
Noémie Levain, juriste à la Quadrature du Net, est invitée par Blast à expliquer la situation.
Chiffrer ses communications est une pratique banale qui permet qu’une correspondance ne soit lue par personne d’autre que son destinataire légitime. Le droit au chiffrement est le prolongement de notre droit à la vie privée, protégé par l’article 8 de la Convention européenne des droits de l’homme, qui garantit à chacun le « droit au respect de sa vie privée et familiale, de son domicile et de sa correspondance ».
Le Sénat a voté lundi une proposition de loi autorisant pour trois ans l’expérimentation de cette technologie particulièrement intrusive. De quoi s’inquiéter pour les libertés publiques.
Une récente découverte dans le navigateur Edge de Microsoft a suscité des préoccupations en matière de vie privée et la colère de certains internautes. Il a été découvert que la fonction d'amélioration d'image intégrée à Edge envoyait automatiquement l'URL de l'image affichée sur le navigateur à Microsoft pour traitement. Les commentaires révèlent que les utilisateurs ne sont pas enthousiastes face à l'idée selon laquelle toutes les images qu'ils visualisent sont transmises à Microsoft. Ils critiquent Microsoft pour ce choix, affirmant qu'il s'agit d'une intrusion dans leur vie privée. Cependant, Microsoft assure que la fonctionnalité respecte la vie privée des utilisateurs.