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Avec la sortie de Windows 11, Microsoft a dévoilé les derniers tenants de sa stratégie pour Edge. Intégré au système, impossible à désinstaller, difficilement contournable, le navigateur de la multinationale tente de s’imposer coûte que coûte sur les environnements Windows.
When Microsoft launched Windows 10, one of the things that the company did introduce was the classic version of Edge. Edge would replace the aging Internet Explorer browser along the way. To give Edge a boost, Microsoft decided to invent the microsoft-edge:// protocol and started to use it in some internal applications. The protocol was designed to open links only in Edge.
Documents reveal the lobbying push by Microsoft, Google and other tech giants to influence secretive trade talks that could change the future of the internet.
Microsoft va également intégrer les processeurs 64 bits à double cœur dans sa nouvelle base de référence pour les PC sous Windows 11.
Microsoft Round Island One is ‘tax resident’ in Bermuda, with no employees except directors
L’entreprise américaine, qui se présente comme la championne de la cybersécurité, a vu sa messagerie Exchange piratée. Les dégâts s’annoncent énormes
Eric S. Raymond fait la prédiction fracassante que Microsoft se prépare à utiliser le noyau Linux pour Windows. Quel sens cela aurait pour cette entreprise hégémonique et privatrice d'abandonner son code source propriétaire alors qu'elle est toujours en position ultra-dominante ?
Contestable en matière de sécurité, le projet de centralisation des données de santé des Français est inconciliable avec le respect des droits à la protection des informations personnelles, alertent des associations, personnalités publiques, syndicats des secteurs de la santé et de la défense des libertés.
Avec cet hébergeur unique qui centralise les informations de santé des Français, il suffit de croiser quelques données simples pour identifier une personne, s’inquiètent les épidémiologistes Marcel Goldberg et Marie Zins, dans une tribune au « Monde ».
La Plateforme pour centraliser les données de santé, organisme public également appelé « Health Data Hub », a été créée fin novembre 2019 afin de faciliter le partage des données de santé afin de favoriser la recherche. Certaines de ces données sont notamment utilisées pour les besoins de la gestion de l’urgence sanitaire et de l’amélioration des connaissances sur le virus covid-19. D'ailleurs, au nom de l’état d’urgence, le gouvernement français a accéléré la mise en place du Health Data Hub. Nous pouvons citer des mesures comme l’arrêté du 21 avril qui autorise le Health Data Hub, ainsi que la Caisse nationale de l’assurance-maladie (Cnam), à collecter, « aux seules fins de faciliter l’utilisation des données de santé pour les besoins de la gestion de l’urgence sanitaire et de l’amélioration des connaissances sur le virus Covid-19 », un nombre considérable de données.
I stepped away from my computer for dinner, halfway through writing a story for The Verge. When I got back, I couldn’t believe my eyes. Windows 10 had restarted my computer without permission yet again — to install yet another forced OS update onto my solid state drive.
Dans le cadre d’un recours visant la suspension du Health Data Hub, projet de plateforme pour centraliser nos données de santé, le gendarme de la vie privée a transmis au Conseil d’État un mémoire demandant aux acteurs de cesser de confier leur hébergement à Microsoft ou toute société soumise « au droit étatsunien ».
C'est l'entreprise américaine, sélectionnée pour héberger la plateforme de gestion des données de santé créée à la suite de la remise du rapport Villani, qui sera notamment utilisé dans le cadre de la lutte contre Covid-19. Un choix de prestataire critiqué depuis son annonce.
Le gouvernement veut rapatrier la plate-forme française de données de santé pour la recherche, aujourd’hui hébergée par l’américain Microsoft, à la suite de l’annulation récente d’un accord sur les transferts de données entre l’Union européenne et les Etats-Unis, a indiqué jeudi le secrétaire d’Etat au numérique Cédric O.
Le géant américain Microsoft a été choisi pour héberger une grande plateforme regroupant l’ensemble des données de santé des Français. Un choix qui fait débat à l’heure où le gouvernement plaide pour le retour d’une souveraineté en matière de santé.
Saisie par le Gouvernement, l'Assurance maladie a refusé de donner son avis sur un projet de texte actant la mise en oeuvre du Health Data Hub. Elle appelle la Cnil à se prononcer en premier et réclame "une analyse rigoureuse" de l'annulation du Privacy Shield, les données de santé compilées étant actuellement hébergées par l'Américain Microsoft.
Le Health Data Hub se retrouve de nouveau en difficulté : une coalition de 18 organisations et personnalités annonce un recours devant le Conseil d’État pour empêcher tout transfert de donnée de santé aux USA. Et, de fait, pour pousser en faveur d'un hébergement par une société française ou européenne.
L'Etat a lancé un appel d'offres de 8,3 millions d'euros pour équiper de "solutions Microsoft" les services de l'Education nationale et de l'Enseignement supérieur. Pour le Conseil national du logiciel libre, le choix d'un acteur américain est contestable et écarte la concurrence française et européenne. Un raisonnement qui rappelle les critiques formulées à l'encontre du Health Data Hub.
« Parce qu'il est une composante essentielle de son système d'exploitation, il ne peut être désinstallé. » Voilà l'explication de Microsoft pour justifier l'impossibilité de désinstaller son navigateur Edge sur Windows.
Aujourd’hui, notre gribouilleur Gee nous cause de la « Plateforme » (aussi nommée Health Data Hub), une nouvelle porte ouverte aux GAFAM sur nos données de santé…