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On sait que facebook se torche le cul avec notre vie privée, on sait qu’il fait des trucs plus sales que ça encore mais on ne sait pas vraiment à quel point et en quoi ça nous concerne vraiment. Salim Virani était un des premiers à pousser ses proches à l’adoption du réseau social le plus connu au monde, mais aujourd’hui il a réalisé un texte (lu plus d’un million de fois) pour expliquer à ses proches « pourquoi il a choisi de quitter facebook » et pourquoi chacun devrait considérer sérieusement cette idée
Quatre bénévoles de la Quadrature du Net ont demandé à leur opérateur de téléphonie mobile français (Free Mobile, Orange, Bouygues Telecom, SFR) d'accéder aux données personnelles que ces derniers conservent sur eux. N'ayant pas reçu de réponse satisfaisante au bout de 3 mois, nous venons de déposer 4 plaintes contre ces opérateurs auprès de la CNIL.
Annoncée début janvier, l’expérimentation à Nice de l’application Reporty a été pilonnée de critiques par la CNIL. La ville a finalement décidé d’y mettre un terme, non sans un communiqué cinglant de Christian Estrosi.
La Cour de justice de l'Union européenne a rendu un arrêt dans un conflit juridique entre Facebook et l'Autrichien Maximilian Schrems. L'institution judiciaire confirme que l'intéressé à le droit de poursuivre le réseau social dans son pays, mais il ne peut pas engager une action collectif pour d'autres Européens.
Présentée par Christian Estrosi, Reporty est une application de la Ville de Nice. En test pendant deux mois, Reporty permet aux habitants de filmer des actes d'incivilité. Mais selon deux associations, l'application cache des mouchards et collecte des données sur ses utilisateurs.
La loi pour une République numérique adoptée l’année dernière nous réserve encore quelques surprises, plus d’un an après son entrée en vigueur. On en a eu une confirmation cette lors du Paris Open Source Summit 2017 pendant une session consacrée à la thématique « Administration publique ». Cette table-ronde était intitulée « Open Data / Open Source / Open Gov : ouvrir les données, les codes sources… et les administrations ? » et la première prise de parole a été assurée par Perica Sucevic, le juriste de la mission Etalab, qui a fait un résumé des principales conséquences de la loi République numérique.
"Le Sénat a clôt hier les discussions relatives au projet de loi sur la gratuité des données publiques, en adoptant définitivement le texte porté depuis cet été par Clotilde Valter. Même si la question de l’Open Data promet de s’inviter à nouveau au Parlement dans le cadre du projet de loi numérique d’Axelle Lemaire, Next INpact vous propose une lecture détaillée des mesures votées par le Parlement."
"L’inscription dans la loi du principe d’ouverture par défaut des données publiques attendra. Le gouvernement a finalement décidé de légiférer sur l’Open Data en transposant dans un premier temps la directive européenne sur la réutilisation des informations du secteur public. La gratuité devrait donc devenir la règle, même si le texte porté par Clotilde Valter laisse la porte ouverte à l'instaurationde redevances, en particulier s'agissant des données culturelles."
"Des informations continuent à paraître, à propos des partenariats public-privé de numérisation de la BnF, qui correctement recoupées, laissent entrevoir de nouveaux prolongements particulièrement contestables, dans une affaire qui en compte déjà beaucoup."
"« Aujourd'hui, 87 départements proposent sur Internet des archives numérisées. Tous ces sites sont gratuits, sauf un, celui du Calvados. Et prochainement, un autre département, celui de la Charente, devrait rejoindre ce "club" très fermé des sites Web d'archives payants » se plaint sur son site la fédération française de généalogie qui vient d'attaquer en justice le département de la Charente.
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Cette polémique soulève la question de l'accès gratuit aux données publiques financées par les impôts des citoyens."