417 liens privés
Ce n’est pas une mince affaire de distinguer le message des manifestations hebdomadaires, tant son expression semble, la plupart du temps, mu d’abord par une acrimonie contre le pouvoir, les médias dits ‘mainstream’ et à peu près tous les partis.
Singapore Police Force can obtain TraceTogether data for criminal investigations: Desmond Tan
Companies collecting data for pubs and restaurants to help them fulfil their contact-tracing duties are harvesting confidential customer information to sell.
Proposed legislation would allow information on patients' movement and contacts, as collected by the Health Ministry and army, and possibly the Shin Bet security service, to be used for criminal investigations
NHS COVID-19, l'application britannique semblable à StopCovid, connaît un démarrage difficile. Si son succès est indéniable, puisqu'elle a été téléchargée des millions de fois outre-Manche, son efficacité pour tracer les contacts est moins évidente.
Loin de se limiter au recensement des contacts « à moins d’un mètre pendant au moins quinze minutes », l’application mise en place par le gouvernement collecte, et transfère le cas échéant au serveur central, les identifiants de toutes les personnes qui se sont « croisées » via l’appli. De près ou de loin.
Bonjour Asma Mhalla, je vais commencer par vous. Vous êtes maître de conférences à Sciences Po, spécialiste des enjeux de l’économie numérique, vous intervenez également à l’ESCP Europe, une école dont vous êtes vous-même diplômée.
En Inde, une application smartphone contre le Covid-19 enregistre désormais les déplacements et rencontres de 102 millions d'Indiens.
Editorial. L’incapacité des Européens à s’entendre sur un système commun d’identification des personnes côtoyées par les malades et l’entrée en scène des Gafam risquent d’aboutir à des résultats désastreux.
Le Premier Ministre a annoncé mardi dernier que l’application StopCovid, encore en développement, ferait l’objet d’un débat ultérieur. La ligne et la méthode sont claires :
La stratégie du gouvernement pour lutter contre une reprise de l’épidémie repose sur un suivi des « cas contacts ». Les autorités prévoient un « système d’information », reposant sur deux bases de données médicales.
À l’heure où toutes les puissances de la planète se mettent à réfléchir à des solutions de traçage de contact (contact tracing), les GAFAM sautent sur l’occasion et Apple et Google proposent leur propre protocole.
On peut donc se poser quelques minutes et regarder, analyser, chercher, et trouver les avantages et les inconvénients de ce protocole par rapport à ses deux grands concurrents, NTC et DP-3T, qui sont similaires.
Commençons par résumer le fonctionnement de ce protocole. Je me base sur les documents publiés sur le site de la grande pomme. Comme ses concurrents, il utilise le Bluetooth ainsi qu’un serveur dont le rôle est de recevoir les signalements de personnes infecté·es, et de communiquer aux utilisateurices de l’application les listes des personnes infectées par SARS-Cov2 qu’elles auraient pu croiser.